Pendant que je marche en suivant le jeune homme, je m'interroge.
Comme : où es ce que je suis ? Ou encore, qui est ce garçon ? Et surtout QU'ES CE QUI SE PASSE ? Pourquoi tout le monde doit m'emmener a plein d'endroits différents ? Et ensuite une question plus important, POURQUOI je suis ici et POURQUOI, il y a plein de trucs bizarre qui m'arrive ? C'est quand même pas juste, ça n'arrive qu'à moi des choses comme ça. Ou alors je dors encore une fois, où je deviens folle au choix. Personnellement je préfèrerai dormir que devenir folle après c'est mon point de vue.
Le jeune homme s'arrête et me regarde un instant en voyant que je suis plongée dans mes pensées. Avant qu'il ne retourne la tête, j'ai le temps de voir ces magnifiques yeux violets.
"Au fait, demande-je, comment tu t'appelles ?
- Je m'appelle Hippolyte. Maintenant ne me pose plus de questions, je ne suis pas sensé te parler, me dit-il d'un ton froid."
Bon, bas je crois que je ne vais pas être amie avec lui, je crois qu'il ne m'aime pas le gars, mais bon c'est pas grave. Attend-il s'appelle Hippolyte, on peut dire que ce n'est pas commun, comparer a mon nom. Et puis qui appelle sont enfant comme ça franchement.
Au bout de quelques minutes on arrive dans une pièce qui a en son sein, une grande table ronde. Autour de cette table ronde, il y a une vingtaine de personnes qui discutent et parmi eux, je vois Élionet et Elora.
Hippolyte sort de la pièce et me laisse planter au milieu de la pièce comme une débile. Je maudis intérieurement Hippolyte, quand Elora me fais un petit signe de la main pour que je la rejoigne. Doucement, je me dirige vers elle, quand soudain tout le monde ce mets à me regarder.
Gêné j'avance jusqu'à Elora et m'assoie sur la chaise qu'elle me montre. Puis tous le monde arrête de me regarder et se tourne vers une porte qui est à l'opposé de la porte par laquelle je suis rentré.
Une femme au longs cheveux roux et lisse rentre par là-dite porte. Elle est magnifique, elle porte une magnifique robe violette. Elle doit avoir environ 25 ans, à ces côtés apparaît un homme cheval, enfin un centaure.
Attendait, je suis dans la même pièce qu'un CENTAURE, c'est une blague. Alors tous n'étais pas faux ? En plus je suis sûr que je ne rêve pas.
Je trouve que ça fait beaucoup pour une journée, je commence à voir flou. J'en tends vaguement la dame dire qu'elle s'appelle Myrtille et que l'homme (enfin si on peut l'appeler homme) s'appelle Chiron. J'entends qu'ils parlent mais je ne comprends pas ce qu'ils disent après.
J'ai la tête qui tourne, il faut que je sorte de cette pièce et vite. Je me lève d'un bond faisant tomber la chaise sur laquelle j'étais assise. Tout le monde me regarde, enfin je crois parce que, je ne vois pas très bien.
Je pars en courant, je ne sais pas où je vais, tous ce que je veux c'est partir loin de cette folie, être loin de toutes ses choses bizarroïdes qui m'arrive. Tous cela bouleverse trop mon monde, j'ai besoins de retrouver toutes mes certitudes.
Je pense que je suis assez loin de la salle et je me laisse tomber contre le mur. Je me mets à pleurer silencieusement, pour évacuer le stress et toutes les choses qui se sont passé dernièrement.
Je reste comme ça, en me berçant et en pleurant pendant une bonne dizaine de minutes. Quand je me calme enfin, je ne bouge plus en regardant le mur d'en face.
D'un coup, j'entends des sanglots étouffer. Malgré mon état assez pitoyable, je me lève doucement pour voir qui pleure. Je marche dans quelques couloirs, jusqu'à ce que je voie un petit garçon qui ne doit pas avoir plus de 6 ans pleurer.
Je m'approche de lui et m'assoie à ces côtés.
" Qu'est-ce qu'il y a ? Demande-je d'une voix étouffer par mes précédents sanglots.
- Rien, me dit-il.
- Comment tu t'appelles ?
- Lio et toi ?
- Julie.
- Je t'ai entendu pleurer, pourquoi ?
- C'est moi qui dois te poser cette question, dis-je en souriant un peu.
- Moi c'est à cause de mon père et toi ?
- C'est compliqué.
- Et c'est grave ?
- Oui ..................... Non............... Je ne sais pas, répondis-je."
Il me sourit avec un sourire trop chou et me fais un câlin avec un grand sourire. J'aimerais bien avoir 6 ans, on est tellement insouciant à cet âge-là Et puis, on peut passer du rire aux larmes en quelque seconde.
Il part en courant en me faisant un petit sourire et un signe de la main. Ce petit garçon est spécial mais il a au moins réussi l'exploit de me faire sourire.
Voilà un nouveau chapitre, j'espère qu'il vous plait. N'hésitez pas à commenter. Si vous trouver qu'il y a des incohérences, n'hésitez pas à me le dire.
J'espère que vous passez de bonnes vacances, et que vous aimez toujours mon livre.
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Julie Enfant Du Ciel
ParanormalBonjour, je m'appelle Julie Barnets, dans ma vie j'avais tout, je me passionnais de mythologie grecque, j'avais une mère attentionné, un père sympas, en gros j'avais tout ce que je souhaitais. Mais un jour, plus précisément, une après midi, ma vie...