Robin + Regina Outlawqueen Love Storie

Chapitre 18 : Même les cauchemars ont une fin

Le matin pointait à peine à l'horizon des tour du château de Locksley que Robin donnait les dernières instructions avant de partir dans le royaume du Nord pour y rencontrer Cora, son messager était parti dans la nuit et serait sûrement là-bas avant Robin afin d'avertir Cora et Henry de savenue. Il ne se fessait aucune fausse idée à la pensée de les revoir : ils seraient difficiles à convaincre de l'aider, malgré les mois qui avaient passé, ils seraient sans doute toujours autant remplis de haine à son égard. Mais Robin pensait malgré tout de même qu'il demeurait un faible espoir : le bébé. Regina était tout de même enceinte avant que le Ténébreux ne l'ensorcelle, et ensemble, ils auraient tout de même du réfléchir un jour ou l'autre à dire à Cora et Henry qu'ils étaient grand-parents...

Des son côté Regina n'avait plus bougeait du lit depuis qu'ils était rentré au château. Et il était inutile à ses yeux de se mentir, Ni Cora ni Henry ne ferait quoique se soit pour eux. Elle les avait trahi pour l'homme qu'elle aimait et avait renoncé à tout ce à quoi ils avaient aspiré pour elle, elle les avait blessés et déçu au plus haut point ; Son propre père n'a même pas voulu lui dire au revoir avant de lesquitter. Quand à sa mère elle lui avait dit de sortir à jamais de sa vie. Désormais Regina ne sentait même plus la douleur provenant de son ventre qui la fessait tant souffrir, non, désormais la douleur provenait de la peine qu'elle ressentait en réalisant qu'elle allait perdre ce à quoi ils avaient rêvé avec Robin depuis des mois et qui la rendait déjà tant heureuse : leur enfant. Elle savait très bien que si elle le perdait, plus rien ne serait pareil par la suite. Robin ne pourrait plus jamais la regarder en face sans cet air attristé et inquiet comme elle l'avait déjà constaté depuis à peine quelques heures ; Dès qu'elle avait été ausculté par le médecin de la cour Robin avait eut ce regard mêlant la tristesse, le chagrin, la colère et l'inquiétude la plus profonde alors qu'il pensait que ni le bébé ni Regina ne survivrait à un tel changement dans son corps. Robin ne pourrait par ailleurs plus jamais imaginé concevoir un autre enfant avec la même sincérité que la première fois si elle venait à le perdre.

Quand les préparatifs du voyages furent achevés, Robin fût immédiatement prévenu et se rendit directement au chevet de sa femme pour lui dire au revoir, mais à chaque marche des escaliers de la tour qui menaient à leurs appartements, il sentait son cœur tressaillir dans sa poitrine ainsiqu'un pincement au cœur de devoir la laisser seule pendant une semaine. L'impression que la moindre marche le guidait vers l'atroce image de sa douce et précieuse Regina faible et fatigué par safaute pensait-il, il ne serait pas la pendant une semaine et ces mots résonnait dans son esprit comme la traduction de la laisser durant des siècles, elle et leur trésor, pour lequel il espérait que tout allait bien. La santé de sa femme et de son enfant à naître devait être une source de motivation et elle ne l'était que trop bien. Il devait se montrer fort devant sa femme, il savait que rien ne comptait plus à Regina que son bonheur, et elle savait qu'elle enétait depuis toujours la source vive de son bonheur ; alors voir que Robin ne supporterait pas de la voir dans son état actuel lui briserait sûrement le cœur...

Quand il fût devant la chambre deRegina, il croisa Gaius qui sortait de la consultation de Regina et qui affichait une petite mine des moins réjouit. Robin vint vers luile plus rapidement possible pour connaître le diagnostique du médecin qu'il connaissait depuis sa plus tendre enfance.

Robin : Gaius, alors comment va-t-elle ? Quel est votre avis ? Etle bébé, comment va mon enfant ? Robin ne tenait pas en place, il avait besoin d'être mis au courant,l'enchaînement de question était en réalité le simple fait qu'il avait besoin d'entendre de bonne nouvelles avant de partir.

Gaïus : Pour être tout à fait honnête Sir, je suis pour la première fois, et même en connaissant votre femme et sa force, très peu optimiste.