La fille du Général Krause [ TOME 1 ]

Chapitre 2 : La maison enflammée

Cela fait déjà une semaine passer depuis mon anniversaire. Je n'ai toujours pas répondu à la lettre que m'as envoyé mon père. Je ne compte pas luis répondre, t'en d'années qu'il me promet de venir mais il ne le fait pas.

Il est temps que je me réveille. Aujourd'hui j'ai énormément de travail. Je travaille dans un atelier de couture. Je me lève de mon lit puis je me prépare. J'ai finie de me préparer donc je descend en bas pour rejoindre mes cousin est ma tante. Arriver en bas je salut tout le monde mais j'aperçois que ma tante n'est pas la.

- Ou est tante Térésa ? demandais-je a mes cousins.

- Elle a du partir tôt ce matin, dit Joseph en buvant son café tout en lisant le journal.

- Mais elle ne m'as rien dit.

- On l'as appeler ce matin en urgence, puis tu sais ils ont beaucoup de travaille a l'hôpital cet temps-ci. Me dit Abram en buvant lui aussi son café. Ma tante travaille en temps qu'infirmière elle est débordée ses jours ci.

Je prend mon petit déjeuner avec mes cousins puis je vois Joseph recracher son café tout en écarquillant les yeux.

- Qui a t'il ? demanda Samuel.

- Il... les juifs... il les mettent dans des ghettos. Dit joseph tout paniquer puis il reprend, il y en a déjà un à Varsovie.

Attrister par cette nouvel, on se regarde sans rien dire. Joseph et Abram se lève de table puis partent travaillés.

- Faut que nous aussi on porte l'étoile, dit Samuel a voix basse.

- Non ! faut pas qu'on le porte ils vont nous arrêter ! dis-je en haussant ma voix, Samuel fais de même.

- On ne peux pas niet ce qu'on est Amélia ! Faut que nous aussi qu'ont la portes on a pas le choix, ils vont bien nous arrêter un jours ou l'autre !

- Samuel tu ne pense pas ce te tu dis !

- Si je le pense et je pense aussi que l'on devrais être dans ce ghetto à Varsovie avec tous ses gent qui sont comme nous !

- Arrête Samuel tu... Sans même que je finisse m'as phrase Samuel ce lève puis ce dirige vers la porte d'entrer en prenant un brassard ou l'étoile est inscrit dessus puis claque la porte d'entrer. Je me lève a mon tour sans avoir fini de déjeuner est rejoins Samuel.

- Samuel ! Attend ! Tu ne peux pas partir comme ça revient ! dis-je en lui criant dessus. Mais celui-ci ne m'entend pas, il est bien trop loin.

C'est vrai qu'il n'a pas tord, on ne peux pas niet se qu'on est. Je rentre dans la maison pour prendre mes affaire. Je regarde l'horloge il est presque neuf heure, je suis en retard.

Il y a des énormes nuages gris dans le ciel. Il pleut, je prends donc mon parapluie. Sur le chemin je croise une camionnette avec des officier allemands. Ils s'arrêtent puis me
demande :

- On vous dépose quelque pars mademoiselle ?

- Oui je veux bien merci. Dis-je sans refuser leurs demande.

- Très bien alors monter.

- Comment ça ce fais une très jolie femme marche toute seul sous ce temps la ? me demande un autre officier.

- Et bien dis on qu'il faut que j'aille travailler est que c'est pas très loin de chez moi. Dis-je en tremblant de froid toute tremper.

- Je vais vous passer mon manteau, dis l'officier.