La fille du Général Krause [ TOME 1 ]

Chapitre 12 : Frieda

Ça  fais déjà deux jours que le rendez-vous de John et moi c’est passé. Je part demain et je n’ai encore rien dis à mon père. Je pense lui dire ce matin.
Je descend en bas, je ne vois personne dans le salon. D’habitude il y a Angélique et Hilda, mais cette fois ci c’est Frieda.

Ça fais longtemps que je ne l’ai pas vu. Elle passe ses journées à étudier dans ça chambre, trois fois par semaine il y a un prof particulier qui vient lui donner des cours. Mon père veut que Frieda étudie et qu’elle a un bonne avenir. Celui-ci est plutôt dure avec elle. Frieda devrait profiter de ça jeunesse, sortir avec ses amis. Mais aux lieux de ça, elle reste enfermée dans sa chambre à étudier. Tout ça parce qu’elle a peur de décevoir mon père.

Je me dirige vers elle.

- Bonjour Frieda, où est Angélique ?

- Bonjour Amélia. Elle est partie avec Hilda aux marché. Dit Frieda avec rapidité.

Elle n’est pas comme d’habitude.

- Frieda tu te sent bien ?

- Oui ça va je me sent bien, et toi tu te sent bien ? Dit elle toujours avec rapidité.

- Oui ça va mais…

- Si tout le monde va bien, alors tant mieux ! Dit-elle en me coupant.

Elle se lève. Je remarque qu’elle a maigri, ce qui m’inquiète. Avant qu’elle quitte complètement le salon je prend sont bras pour la retenir.
Celle-ci ce retourne. Et sont visage… Elle ressemble à un fantôme. Ces joues sont creuses, sa peau est pâle, elle a des cernes et ses yeux sont écarquillés. Mais qu’est-ce qui lui arrive ?

- Frieda t’es… t'es sur que ça vas ?

- Oui ça va ! Maintenant lâche moi ! Je dois aller réviser ! Dit-elle en me hurlant dessus.

Je la lâche puis elle pars d’une vitesse folle. Elle n’a jamais réagi comment ça, ça m’inquiète vraiment. Je vais dans le bureau de mon père, il n’est pas la non plus. Je dois absolument lui parler aujourd’hui.

J’ai attendu toute la matinée dans ma chambre. On est qu'au début de l’après-midi est mon père n’est pas encore rentré. Angélique et rentré avec Hilda il y a pas si longtemps que ça. Elles préparent un gâteaux. J’entends la porte d’entrer s’ouvrir puis se fermer.

Je me précipite de descendre est d’allé dans le bureau de mon père. Quand je rentre dans sont bureau mon père s’écroule sur son siège de bureau. Il est épuisé. Je n’ai pas envie de le déranger mais je dois vraiment lui parler.

- Excuse moi de te déranger mais je dois te parler.

- Amélia c’est pas le moment je suis fatiguée.

- Oui mais je dois vraiment te parler c’est important.

- Qu’est-ce t’as de si important à me dire !  Dit il agacé.

- Voilà sa fais maintenant assez longtemps que je suis ici. J’ai promis d’écrire à Madame Fischosky mais je n’ai pas eux le temps donc j’aimerais lui rendre visite. De plus Cracovie me manque est j’aimerais aussi passer un peut de temps là bas.

Il ne répond pas. Il me regarde puis il ce lève. Il s’approche ensuite de moi.

- Tu voudrais partir quand ?

- Demain si c’est possible.

- Demain ! Amélia il fallait au moins que tu me dise ça une semaine en avance. Dit il surpris.