J'ouvre doucement les yeux. Je suis dans un lit, mon lit ? J'ai fais un horrible cauchemar. C'étais la maison qui étais en feux, que tout avais brulé . Il y avait personne au tour de moi puis une silhouette d'une femme est apparu devant moi et ensuite plus rien. Je me lève doucement de mon lit mais que je remarque très vite que ce n'ai pas mon lit. Je regarde autour de moi et je remarque que je suis dans une chambre mais cette chambre n'est pas l'as mienne.
Je reconnaît cette chambre, c'est la chambre ou je fessai mes sieste quand madame Fischosky me gardait les après-midi. Pourquoi suis-je ici ? Je remarque aussi un homme qui dors dans un fauteuil qui ce trouve près de mon lit. Il est beaucoup plus âgé que moi. Il est impeccablement bien coiffé est raser. Il porte un uniforme, je reconnaît cet uniforme c'est un uniforme nazi. Sur sont uniforme il y a beaucoup de médailles il doit être quelqu'un de très important. Sans vraiment me préoccuper de cet homme je me dirige vers la fenêtre qui celle-ci les rideaux son fermé.
Au moment d'ouvrir les rideaux quelqu'un m'en empêche. Je me retourne, je vois cet homme qui dormait et qui se mit à parler.
-Non Amélia n'ouvre pas les rideaux tu n'est pas encore prête ! Dit-il le ton sévère
-Mais qui êtes-vous pour me dire ce que je doit faire ! Dis-je en lui criant dessus puis reprends, prête à quoi hein !? Laisser moi les ouvrir !
Il ne dis plus un mot est me laisse les ouvrirs. Je vois m'as maisons qui est cramée. Alors ce n'est pas un cauchemar, c'est un cauchemar bien réel ! Je cours en direction de la porte et sort de la chambre.
-Amélia ! Non ! Dit-il, puis cours luis aussi en essayant de me rattraper
Je descends ensuite les escaliers qui mènent au salon de madame Fischosky.
Celle-ci me regarde partir en courant en direction de la porte d'entrer et cet homme essayant de me rattraper.Arrivé devant la maison tout est en ruine. Je rentre à l'intérieur et il y a des cendres partout. L'étage de la maison est détruite y compris m'as chambre. Soudain je pense à la photo de maman qui était posée que la commodes. J'essaie de fouiller partout, de fouiller sous les décombres, mais rien. C'était la seul photo qui me restait d'elle. Je m'écroule par terre à bout de force en larme. Je suis en chemise de nuit qui celle-ci est recouverte de suie. En levant la tête j'aperçois cet homme qui m'a suivie et s'accroupit pour essayer mes larme avec son pouce.
-Mais qui êtes-vous ? Dis-je la voix toute tremblante.
-Amélia, tu me reconnais pas? Je suis ton père. Ne pleure pas ma chérie je suis là je vais m'occuper de toi. Dit-il d'une voix douce en me serrant dans ses bras.
Sans dire un mot je reste dans ses bras toute tremblante. Il se lève est me lève aussi.
-Regarde toi, tu es recouverte de suie, mais que cherche tu ?
-La photo de maman, c'est la seul photo qui me restait d'elle.
Mon père dis pas un mot est sort un médaillon dans la poche de ça veste.
-Prend le, dit-il. Je vois que tu en à besoin bien plus que moi.
Je le prends puis ouvre le médaillon. À l'intérieur il y a une photo de maman qui sourit et à côté une photo de moi bébé.
-Mais ...
-Dit rien, considère ça comme un cadeau d'anniversaire.
-Alors c'est le plus beau cadeau d'anniversaire qu'on puisse m'offrir.
Je le remercie et le prend dans mes bras.
Il sent bon, sentir son odeur me rassure. J'arrive pas à y croire il est là tout près de moi. Mon estomac grogne j'ai énormément fin comme si je n'avais pas manger depuis des jours, mais combien de temps étais-je endormi ?

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La fille du Général Krause [ TOME 1 ]
Ficção Histórica1942 Amélia vie avec ça tante et ses cousins en Pologne étant donné que ça mère est décédée à ça naissance. Tout ce passer bien quand l'armée allemande envahis la Pologne ainsi que toute l'Europe. Les arrestation des juifs son plus fréquent. Ça fam...