Chapitre 6 : Kurt Gandzman

181 10 0
                                    

Ce matin je suis dans le jardin avec Frieda assis sur un banc. Elle me pose énormément de question sur ma vie passée en Pologne. Elle me parle aussi de ses études qu’elle voudrait faire à l’université. Elle est aussi gentille avec moi.

Dans l’après-midi mon père reçoit du monde dans sont bureau. C’est des généraux est des lieutenants qu’il en reçoit ces jours ci. Souvent je les écoute à travers la porte. Il parle de la guerre et d’autre nouvelles qui se passe à l’extérieur. Faut dire que depuis que je suis ici je ne suis pas sorti de la résidence.

- Nous instaurons une solution finale dans les camps ces prochain mois. Nous disposons déjà des chambres à gaze dans certain camps, Dachau en dispose un. Dit un des généraux.

- Nous renforcerons les exécutions, ils ne doivent plus en rester aucunes ses vermines. Dit un autre des généraux.

- Oui je suis d’accord. Dit mon père. Mais ce qui m'inquiète le plus c'est ses résistants, ils ont fait une nouvelle attaque. Je veux qu'on trouve leurs planque et qu'on contrôle plus les habitants de Munich ! Il doivent bien ce planqué quelque part ces fumiers !

Mais de quoi parlent ils ? Camps, solution finale, exécution, résistance ? Que cela veut-ils dirent ? Tous ce que je sais est que c’est pas bon du tout. Une personne se trouve derrière moi est me murmure à l’oreille, ce qui me fait frissonner.

- C’est pas bien d’écouter aux porte, on vous a jamais dis que la curiosité est un vilain défaut ? Dit-il.

Je sursaute puis me retourne. C’est l’homme de l’autre fois que j’ai trébuché.

- Eh… Non j’écouté pas aux porte, je me trouver juste là par hasard c’est tout.

- Ah oui ? On ces pas déjà vu quelque part ? Votre visage me dis quelque chose. Il réfléchit avant de répondre. Oui tu es la fille qui à trébuché sur moi l’autre fois. Comment ne pas oublié ce jolie et doux visage.

Je réponds pas est je rougis en baissant la tête l’air gêné.

- Je m’appelle Kurt Gandzman, et vous c’est Amélia comment ne pas oublié votre nom.

- Oui… c’est Amélia. Dis-je timide.

Quand je le vois je me dis qu’ils n’a pas pu dénoncer nous dénoncer. Il me regarde encore ses yeux bleus pose sur les mienne. J’avoue que c’est un belle homme, il a des cheveux châtains, une mâchoire tracée, et il est musclé. Non Amélia tu peux pas penser de ça de ton ennemi. La porte du bureau de mon père s’ouvre, mon père et un des généraux nous regardent.

- Je vois que votre charmante fille à déjà fais connaissance de mon fils. Dit un des généraux sui nous regardent.

- En effet, dit mon père.

- Venez donc dîner demain soir, votre fille et mon fils feront plus connaissance et entre nous elle ferait une très bonne épouse pour mon fils.

- C’est d’accord, nous venons demain.

- Bien soyez la demain pour vingt heures, venez avec Angélique.

- Je n’y manquerais pas.

Ils se serrent la main puis part vers la direction de la porte d’entrer. Avant de partir Kurt me dis au revoir.

- Je vous vois demain charmante demoiselle.

Puis part avec sont père.
Non mais j’y crois pas, on vas dîner chez eux demain. En plus j’ai même pas donné mon accord. Puis le « elle ferait une bonne épouse pour mon fils » alors non ! Je n’épouserait pas un nazi. Mon père ferme la porte après avoir dit au revoir à tous ses collègues. Je regarde mon père les bras croisés.

- Amélia c’est pas le moment. Dis mon père en allant dans sont bureau. Je le suit.

- Pourquoi as tu accepté je n’ai même pas donné mon accord ! Dis-je énervé.

- Ne sois pas aussi rabat-joie, tu n’avais pas à le donner ton accord ! Puis c’est pas polie de refuser une invitation.

Sans dire un mot et toujours énerver, je part du bureau de mon père puis monte m’enfermer dans ma chambre. Il n’a pas le droit de m’obliger à y aller, je suis majeur et j’ai l’âge de prendre mes décisions toute seul.

Pendant tout le reste de la journée et de la soirée je reste dans ma chambre. J’entends une discussion dans le couloir entre Angélique et mon père.

- Tu ne crois pas qu’elle est assez grande pour prendre ses décisions toute seul ! Après tu t’étonnes qu’elle s’enferme dans ça chambre ! Dit Angélique en hurlant sur mon père.

- Tu vas pas commencer toi aussi ! Faux bien que Amélia ce marie un jours, en temps que père c’est à moi de décider ce qui est bon pour elle ainsi que sont futurs époux. Et crois moi qu’elle me remerciera.

- Ce qui est mieux pour elle est que tu l’as laisse vivre est prendre ses propres décisions. Ce n’est pas à toi de commander ça vie !

- Angélique tu vas baisser d’un et toute suite !

- Sinon quoi ! Hein ! Tu vas me frapper comme ta frapper t’as fille !

Un claquement à surgi dans tout le couloir. Angélique ces pris une gifle.

- Ne dis plus jamais des sottises pareil ! Je vais me coucher.

J’ouvre légèrement la porte est vois Angélique au sol. Elle me fait signe de refermer la porte puisque mon père arrive.

- Lève toi et vas coucher Hilda elle te réclame !

Comment peut-il faire ça à ça femme ! Il est complètement barge ! Angélique n’a rien demandé elle cherchait juste à me défendre, qu’elle est vraiment gentille. Je m’en veux tellement ce que mon père lui a fait, c’est de ma faute.
Je vais sur le balcon de ma chambre est regarde le ciel étoilé.

Ça frappe à la porte, j’ouvre c’est Frieda. Elle rentre, elle est en pleure. Je ferme la porte et la prend dans mes bras.

- Que ce passe t’il ma chérie ?  Luis dis-je avec une voix douce.

- C’est… c’est papa il à encore frappé maman. Et j’aime pas ça.

Alors c’est donc pas la première fois qu’il pose la main sur ça femme. Quels enfants aiment que sont père frappe ça mère !

- Je peux dormir avec toi ?

- Bien sûr que tu peux Frieda. Chutt…calme toi. Dis-je en là rassurant.

Je me met donc en chemise de nuit puis je rejoint Frieda dans mon lit. Elle pose ça tête et s’endort contre moi. Elle s’endort plutôt rapidement. Je là regarde dormir en lui caressant les cheveux. J’arrive pas à dormir je pense à demain. Je vais dîner chez Kurt, et je me pose beaucoup de question sur lui.

Je sais pas vraiment si il est pour quelque chose par rapport de l’incident qui c’est produit chez moi. D’après ce que m’a dit Madame Fischosky elle est venu trop tard. Mais pourquoi aurait-il fais ça ?  Pourtant quand je regarde dans ses yeux je vois une personne bien.

Toute ses questions me fatigue, je m’endors rapidement.

La fille du Général Krause [ TOME 1 ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant