Machine T2 / K.Thg. [FINI]

Promesses

Yoongi
"Elle est réveillée ?"

Jungkook
"Je ne sais pas vraiment...mais son rythme cardiaque a accéléré à l'instant."

Jimin
"Jungkook...tu as trop d'espoirs et c'est mauvais."
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Taehyung
"Mei, tu me manques...ne me fait pas encore attendre je t'en prie."

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Jimin
"Je suis venu te rendre visite ! Je t'ai manqué ? Tu sais...ça a été dur de les convaincre de me laisser te voir. Honnêtement, je regrette."

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Yoongi
"Je ne te l'ai pas encore dit ? [...] Ah oui, l'autre jour Taehyung s'est emmêlé le pied dans le fil de sa canne à pêche [...]"

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Jimin
"Je crois qu'il t'aime beaucoup. Il semble souvent absent en ce moment. Je suis presque sûr qu'il ne fait que penser à toi."

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Jungkook
"C'est assez frustrant à vrai dire."

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Taehyung
"Mei ça suffit, j'admets avoir cru à ta mauvaise plaisanterie alors...ouvre les yeux."

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Yoongi
"Ce n'est pas du sédatif qu'ils lui ont mit...pas vrai...?"

Jungkook
"Overdose...son corps ne l'a pas supporté. C'est déjà un miracle qu'elle soit en vie.

Jimin
"Je n'appelle pas ça vivre. Et ce n'est pas une vie pour Taehyung non plus. Il l'attends..."

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Taehyung

"Quand tu te réveilleras, j'aurais quelque chose d'important à te dire. Je t'assure que tu ne dois pas manquer ça...tu sais, c'est vraiment dur pour moi de te le dire. Je t'attendrai le temps qu'il faudra Mei. Je serais là."

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"Cette fois-ci ne m'oublie pas."
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La légère brise matinale caressa mes paupières, et cette sensation de volupté sur ma peau me rendit particulièrement euphorique. Dans un réflexe habituel je m'étire alors tout du long, en bâillant un bon coup. J'avais l'impression d'avoir fait un somme ayant duré plusieurs millénaires.

J'ouvre ensuite légèrement les yeux, et mon regard se pose sur la fenêtre ouverte qui laissait passer ce léger courant d'air. Les rideaux jaunes sublimés par le soleil dansaient élégamment, laissant leur ombre les suivre à la manière d'un miroir sur ce carrelage si épuré.

Je ne reconnaissais pas cet endroit.

En me relevant doucement, je sentis une douleur me tirailler les mollets. Il faut vraiment que je marche...combien de temps ai-je dormi ?

Tout était si calme...mais quel était ce bruit que j'entendais au loin ? Si reposant...la mer.

Le bruit des vagues s'écrasant sur le sable fin, dévoilant des coquillages plus merveilleux les uns que les autres. Un cadre tout à fait idyllique.

Je me sentais bénie par les dieux, dans un endroit coupé de la réalité anxiogène. Le paradis ? Ici il n'y avait que moi...cependant il manquait quelque chose.