20 - Franchir l'étape

17 3 0
                                    

20h30

PDV inconnu

Mon enfant et moi venions de finir de dîner.

Je le couchai dans sa chambre, me retournai pour aller dans ma chambre quand il me serra fort par le poignet.

Depuis près de trois mois, il a un comportement assez étrange.

Il fait des cauchemars et ne cesse de répéter qu'il a la trouille.

Il n'a, malgré toutes mes tentatives rien voulu me dire.

- Reste avec moi maman. J'ai peur ; affirma-t-il

- Calme-toi mon chéri. Je suis là.

-  ....

- Mais je pourrais te porter assistance si tu me disais ce qui te fait si peur. Aide-moi à t'aider ! Dis-je désorientée.

- ....

Toujours, aucune réponse.

- OK, c'est comme tu veux.

Une telle situation ne saurait perdurer

La seule solution qui se présente à moi est de faire appel à l'unique personne en qui je porte tout espoir.

             

                         ****

PDV d'Inès

Nous arrivâmes après trois heures de route dans une pampa.

Mon cœur se mit à frémir quand nous commençâmes à sortir de Gueram ; mais la confiance qu'il s'est creusé en moi m'aida à surmonter cette peur.

Il immobilisa le véhicule puis demanda à ce que nous continuons à pied. L'endroit était en effet devenu inaccessible aux véhicules.

Nous marchâmes donc jusqu'à un manoir.

Oh ! Quel magnifique adret !

Juste formidable !

- Si Monsieur m'avait dit qu'il m'emmenait camper, j'aurais pris mes dispositions, dis-je.

- Monsieur ne se serait pas permis de gâcher la surprise ! Affirma-t-il souriant

- Ouais.

- Où sommes-nous ? lui demandai-je.

- Au manoir de Tourneville. Certains touristes en quête de calme  viennent ici bivouaquer.

- Wooow !!

Nous prîmes une tente puis il passa commande du dîner.

La cuisine catalane était au rendez-vous. Tout était délicieux.

Après le dîner, il entreprit de m'emmener à la montagne admirer ce beau paysage qui de loin m'attirait bien fort.

Nous nous posâmes à la montagne.

Pendant une trentaine de minutes, je restai à admirer ces étoiles filantes, mais lui restait à m'admirer.

Il finit par  détourner son regard vers les étoiles puis affirma :

- Si ces étoiles étaient humaines, elles n'oseraient guère de même par leur beauté rivaliser contre toi.

Cette déclaration ne me laissa pas indifférente.

Il fixa les étoiles de plus belle puis repris :

- Inès, il y'a cinq mois en arrière, je venais de perdre mon emploi et ma vie basculait dans le néant.
Je comprends aujourd'hui que DIEU ne fait jamais ses choses au hasard.
Et comme le dit l'adage "Quand une porte se ferme, ce sont des fenêtres qui s'ouvrent".
Au delà de trouver un emploi, j'ai trouvé une femme ; une femme qui a su dès cet instant que j'ai posé le regard sur elle, m'éblouir de par sa beauté, de par sa carrure, de par ses manières.
Tu dois sûrement te demander si je suis véridique dans mes propos. Peut-être pas. Mais s'il y a une chose dont je suis actuellement sûr, certain et qui reste indubitable, c'est que << JE T'AIME !! >>

Puis il tourna son regard vers moi.

Je vis deux larmes couler sur mes joues. Était-ce de l'émotion ? Peut-être.

- Ces larmes voudraient-elles signifier que c'est réciproque ?

Je fis oui de la tête, puis il me prit dans ses bras.

Je me blottis contre lui et sentis sa chaleur recouvrir mon corps.

Il se détacha lentement, pris mon visage entre ses mains et commença à tendrement m'embrasser.

PDV d'Éric

Nous nous embrassons avec désir et patience.  

Je la posai délicatement au sol, dos contre terre puis lui retirai sa chemise.

Elle se laissa faire, puis m'emboîta le pas en retirant la mienne.

Mais je m'arrêtai un instant pour m'assurer de ce qu'elle voulait bien de cela.

- T'en es sûre ?

- Oui, répondit-elle excitée.

PDV d'Inès

Quand nous nous eûmes retiré nos vêtements, je découvris un corps semblable à la sculpture d'Achille.

Ses belles noisettes témoignent de ce que mon bel étalon sait prendre soin de son corps.

Il continua à m'embrasser avec passion.


PDV d'Éric

Je lui embrasse  tendrement le cou, descend progressivement vers sa belle poitrine.

Ses seins sont tellement magnifiques, une forme parfaite, pas trop parfaite, ni trop grosse. Je me mis à les léchés.

Elle gémit et cela m'encouragea à poursuivre.


PDV d'Inès

Ma culotte était déjà toute mouillée. Je ne pus m'empêcher de gémir, quand il plongea son doigt en moi.

Je n'arrivais plus à penser à quoi que ce soit.

Je passai les jambes autour de ses hanches et m'offris à lui.


Merci à MarinaKounle ! 🙏

Dad's KillerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant