Celui que je suis censé être. (part 3)

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Chiyo - Ca va aller Midoriya d'accord ? N'angoisse pas.

Madame Chiyo place la fiole pleine de mon sang dans une grosse machine un peu poussiéreuse.

Chiyo - J'espère qu'elle marche encore, elle a pas servie depuis des années.

Elle parle plus a elle-même qu'elle ne s'adresse à nous. Pourquoi mon sang doit être analysé dans une machine préhistorique ? C'est vraiment bizarre. Madame Chiyo appuie sur quelques boutons et l'engin émet un grondement plus aigu que ce à quoi je m'attendais. Je peux voir la fiole pleine de mon sang se metre à tourner de plus en plus vite pour finalement s'arrêter. Madame Chiyo la prend alors, je comprends que mon sang a en fait été centrifuger, par conséquent mes globules rouges sont toute au fond de la fiole tandis qu'au dessus flotte un liquide jaunâtre. Madame Chiyo sépare les liquide, je la regarde faire de plus en plus intrigué, puis elle nous demande d'attendre le temps qu'elle passe avec un coup de téléphone.

Un silence assez gênant règne dans la pièce même si ça ne semble pas vraiment déranger Tamaki.

Chiyo - Oui, ben c'est bon, c'est bon ! Tu sait quoi ? On arrive.

Madame Chiyo revient visiblement contrariée.

Chiyo - Bon, venez avec moi, on rejoint l'infirmerie de l'école.

Nous la suivons silencieusement jusqu'à arriver devant l'infirmerie. Monsieur Aizawa est se tient devant la porte.

Aisawa - Ils sont à l'intérieur. Tu crois que c'est une bonne idée qu'il vienne ?

Chiyo - Oui, j'ai ma petite idée sur ce qui les a mis dans cet état. Je suis sûr que toi aussi.

Notre professeur ne répond et ouvre la porte, nous permettant d'entrer dans l'infirmerie. Une odeur immonde s'en dégage, tellement que ça me pique les yeux. Les garçons sont là, chacun allongé dans un lit tous plus ou moin recroquevillé sur eux-mêmes. Je regarde à ma droite, la ou est positionner le lit le plus proche de moi. C'est Eijiro qui s'y trouve il a le visage livide et transpire beaucoup. Il a les yeux fermés et froncé comme si il tentait de résister à la douleur. Ca me fait mal au cœur de le voir comme ça, je m'approche de lui. Je veux vérifier qu'il n'a pas trop de fièvre. J'approche ma main de son front et au moment où mes doigts frôlent sa peau il ouvre les yeux en grand. Surpris, je retire ma main mais il la saisit et frotte sa joue dessus. Une odeur plus douce apparaît alors. Je dois me concentrer pour la sentir car elle est camouflée par les autres mais ça sent comme la fumée dans les manèges à la fête foraine.

Chiyo - Midoriya viens là s'il te plaît.

Je m'écarte d'Eiijiro de plus en plus troublé. Et me met au pied de son lit pendant que Madame Chiyo s'approche de lui pour l'examiner.

Chiyo - Bon, apparemment tout va bien. Tu veux bien me décrire ce qu'il c'est passé exactement Kirishima ?

Eijiro - Heu... oui bien sûr. C'est un peu confus pour moi aussi. En fait j'étais en train de dormir dans ma chambre. J'ai commencé à sentir une odeur... comme du patchouli ou du monoï, je pensais que c'était juste dans mon rêve alors au début j'ai pas fait attention. Mais c'est devenu de plus en plus fort et une odeur sucrée à commencer à s'y mélanger. Ca a finit par me réveiller et c'est la que j'ai remarqué que...

Eiijiro se met à rougir fortement... il a clairement pas envie de finir sa phrase.

Chiyo - Tu est a l'infirmerie ici, tu peux tout nous dire. Tu n'as pas à être mal à l'aise.

Il acquiesce ferme, les yeux et souffle une bon coup. Je peux presque l'entendre se dire "allez comporte toi en homme".

Eijiro - En fait je... j'avais une érection. Je ne sait pas pourquoi ni comment mais je savais que c'était à cause de cette odeur. Elle venait d'en dehors de ma chambre. Je ne voulais pas y aller mais ça m'obsédait alors j'ai décidé de la suivre.

Il marque un temps de pause puis me fixe, des questions pleins les yeux.

Eiijiro - Ca m'a mené droit à ta chambre. Quand je suis arrivé il y avait déjà Bakugo. Il fixait la porte et dégageait une tonne de phéromones...

Chiyo - Quels phéromones ?

Eijiro - Heu... ceux qu'on relâche pendant l'accouplement.

Je crois que je n'ais jamais été aussi mal à l'aise de ma vie. Sûrement qu'Eiijiro non plus.

Eijiro - Mon corp a réagi tout seul et j'ai commencé à relâcher des phéromones de possession. Il c'est alors rendu compte de ma présence et m'a lancé un regard noir. A ce moment Todoroki est arrivé et puis les autres un par un. On c'est retrouvé avec tout les alphas mâles devant la porte d'Izuku. L'ambiance était à coupé au couteau. Personne ne bougeait. J'avais l'impression que tout mes sens etais en alerte, de devenir un animal. Et puis Bakugo a touché la porte et c'est parti en couilles. On c'est tous précipité dessus comme des animaux en grognant. L'odeur venant de la chambre de d'Izuku etais tellement attirante que j'ais cru devenir fou. Ensuite la porte a craqué et la je me souviens plus très bien. Tout ce que je sais c'est qu'à un moment l'odeur changé. Je ne saurai pas comment la décrire mais c'était du rejet pur et dur. C'était horrible... j'avais l'impression que ma vie était foutu... Apres je me rappel de rien avant d'avoir repris conscience ici.

Chiyo - D'accord je vois... Midoriya  est-ce qu'a un moment tu a du rejeter quelqu'un ?

Izuku - Heu oui...

Chiyo - Et quand tu a touché Kirishima a l'instant, qu'est-ce que tu ressentais ?

Izuku - Humm... j'avais peur pour lui. Ca me faisait mal eu coeur de le voir comme ça. Je voulais qu'il se sente mieux.

Chiyo - Kirishima tu pourrais me sentir ça s'il te plaît.

Je la vois lui tendre la fiole avec mon sang ou il ne reste plus que les globules rouges. Il l'ouvre puis la sent. Immédiatement ses cannine s'allonge et il me saute dessus pour venir lécher mon coup. Mais rien de sensuel, plus comme si il marquais son territoire.

Eijiro - T'es un Omega.

Attends, QUOI ?!

Je suis de retour !
Pour vous jouer un mauvais tour !

Nan... en fait juste pour vous publier ce chapitre mdr. Je sais que je suis longue en se ce moment mais que voulez vous j'ai plein de choses à faire. Gomenne ! J'espère que ça vous aura plus. N'hésitez pas à me donner votre avis et a voter si ça vous a plus.

A bientôt pour la suite 🥰

Espèce disparue.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant