Chapitre 26

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Tu me rends fou murmure t-il à mon oreille en embrassant mon nez, mes oreilles, mon coup, la sensation que je ressentais à cet instant n'était comparable nulle part ailleurs. Ces mains baladeurs caressaient mes cheveux avant de descendre tout au au long de mon dos pour ouvrir la fermeture de ma robe, en profitant de mon manque d'inattention il pénétre avec le bout de sa langue chaude l'intérieur de mon oreille tout en descendant le long de mon coup en le mordillant, je fremissais de plus belle. Et comme si ce n'etait pas suffisant, il attrape mes deux nichons qui n'étaient pas couvert par un quelconque soutif en les suçant jusqu'à en perdre le souffle.
C'était profond, sensuel et fougueux, nos lèvres s'entrelaçaient à l'aide des mouvements circulaires pour ensuite se titiller le palais, l'intérieur des joues sans pour autant oublier de les mordre délicatement à chaque fois que cela semblait nécessaire.
J'étais sur un autre monde, dans les vapes certainement, la sensation était tellement indescriptible et inexplicable que j'avais l'impression de m'évanouir. Je tremblais de partout, mes pieds ne me tenaient plus, et pour dire vrai j'étais trempée jusqu'aux os et l'excitation était plus qu'au rendez-vous. Il ne m'avait jamais embrasser de la sorte, aucun autre homme d'ailleurs ne m'avait fait voyager avec autant d'ardeur et d'audace rien qu'à travers un baiser, c'était comme s'il voulait me marquer au fer en laissant sur chaque parcelle de mon corps ses empruntes et si c'était réellement le cas, je peux vous assurer qu'il l'a réussi haut les mains.
C'est quand les baisers se font rares que je me rend compte qu'il n'était plus dans la pièce en ouvrant les yeux, qui sait depuis combien de temps il est parti déjà ?
Je boucle la fermeture de ma robe tout en repensant à ce qui venait de se passer avant d'aller vers le miroir pour ordonner un peu mes cheveux qui étaient complètement en bataille tout en oubliant pas de retoucher mon maquillage avant de plisser un peu ma robe qui avait l'air froissé avant de décider enfin d'aller de nouveau dans la salle de réception.
Mon cœur battait si vite et à une vitesse tellement démesuré que je croyais qu'il allait sortir de ma poitrine, juste pour vous faire savoir à quel point mon cœur était en désordre.
Je sors et je vois Cynthia s'amuser à merveille comme la folle qu'elle est, alors j'ai pas voulu la dérangé. Tout ce que je voulais en ce moment c'était de rentrer chez moi et me reposer pour repenser à tout ceux qui venaient de se passer cette nuit dans la toilette avec Ismael. J'ai toujours dû mal à le croire, j'ai l'impression d'être dans un conte de feue. Alors j'opte pour prendre un taxi et je décide de lui envoyer un message une fois arrivée pour ne pas qu'elle s'inquiète pour moi.
Une fois dehors, j'helte un taxi qui a eu la malchance de braquer son far sur un homme de dos embrassant une jeune fille à l'angle du bâtiment de la salle de réception. Une silhouette que je reconnaitrais d'ailleurs entre 1000. N'est-ce pas Ismaël qui embrasse la jeune fille avec qui il est venu à la soirée ?, Est-ce sa maîtresse ? Sa copine ? Pourquoi m'a-t-elle embrassé tout à l'heure ? Je ne cesse de demander ce qu'il voulait se prouver, était ce un jeu pour lui ?
je reste là une ou deux minutes, je ne sais pas trop à les relooker avant que je ne décide de m'en aller. Il était trop occupé pour me voir alors j'ai préféré que cela reste ainsi. De toutes les façons, qu'est-ce qu'il pouvait bien me dire pour m'expliquer ce que mes yeux ont déjà vu ?.
J'avais dit au taximan de me déposer à l'hôtel du coin où je voulais passer la nuit. Mais après avoir passer deux heures là-bas à réfléchir, je décide finalement de rentrer à la maison. A quoi bon de fuir là où je loge? De toutes les façons, le fait de déménager n'était pas une décision que je devrais prendre à la hâte surtout qu'il ne m'a pas encore chassé. En plus c'est lui qui m'a amené dans cette ville sous prétexte qu'il peut prendre soin de moi, je crois que si sa ne va pas, le mieux serait que je rentre au pays auprès des miens.
Il était une heure du mat quand j'arrive à la maison, mon téléphone n'arrêtait pas de sonner et j'avais pas la tête à parler à qui que ce soit. Peu importe ce que la personne avait de si urgent à me dire, je crois que sa peut bien attendre.
Je monte les escaliers quand je vois les lumières du salon d'en haut allumer. Il était de dos à moi passant des coups de fil
J'avais pas envie de lui adresser la parole en jouant aux hypocrites alors je me dirige vers ma chambre quand j'attends une voix derrière moi
_ tu peux me dire d'où tu viens ? Je n'ai cessé de te chercher partout. J'ai même appeler ta copine qui m'a dit que tu lui as envoyé un message depuis plus de deux heures pour lui signaler que tu étais rentrée
Quand il termine avec son monologue, je le regarde comme pour lui dire genre "t'es sérieux" pour ensuite rentrer dans ma chambre sans lui adresser un mot. Je commence à me défaire de cette satanée de robe qui me rappelle les souvenirs de la veille avant que des larmes ne tombent en cascade sur mes joues
_leila, qu'est-ce que t'a dit il en essayant de toucher mon épaule, chose que j'ai refusé avant qu'il n'ajoute tu es toute pâle. Dit moi ce qui ne va pas s'il te plaît
* Tu peux me laisser seul, je suis fatiguée et j'ai envie de me reposer dis-je agressivement sans pouvoir me contenir
_ pourquoi j'ai l'impression que tu es en colère contre moi? Qu'est-ce que j'ai fait ?
* Tu n'as pas entendu ce que je viens de dire où tu veux que je sors pour te laisser ma chambre dis-je en me retournant vers lui. Prête à partir. Il me regarde comme s'il voulait lire en moi avant de décider enfin de partir. Je ferme ma porte à clés avant de rentrer sous la douche où j'ai pleurer tous les larmes qui étaient maintenu dans ma gorge depuis assez longtemps. Moi qui croyais que cette soirée allait être génial, me revoilà à la case départ. Les hommes sont tous pareils pensais je. On dirait des chiens en chaleur. Ne peut-il pas se la garder dans leur pantalons pour éviter de briser le cœur des innocentes filles ? A croire que j'ai pas de chance en amour, pourquoi est-ce si dur pour moi de trouver celui qui m'aime à ma juste valeur ? Je ne demande que sa, être aimer, est-ce si compliqué ? Je ne demande la lune que je sache.
C'est avec toutes ses pensées que je décide de sortir de la salle de bain avec les yeux complètements enflés pour rentrer sous la couverture. Je commençais à avoir froid et j'eternuais. Voilà, il a fallut que je prenne froid pour quelqu'un qui n'en à rien à cirer de moi.

A SUIVRE* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

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