Iron Man = Tony Stark (+ Manon Stark)

Prologue

Six mois après la première apparition d'Iron Man.

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Quelque part en Russie, un ancien scientifique s'éteint, un jeune homme orphelin et rempli de haine pour le nom des Stark et déterminé à se venger en employant leur propre technologie.

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«Le vent se lève à 2.7.0 à 30 nœuds, maintenez cap actuel à 15 000 pieds. Accès autorisé à la zone de parachutage. »

L'armure d'Iron Man quitta la plateforme de largage de l'avion et vola au milieu des feu d'artifice pour se poser sur une scène devant des centaines de personnes. L'armure se démonta pour révéler un Tony Stark en costume avec, en arrière-plan, un groupe de danseuse vêtue de vêtements rappelant la combinaison du milliardaire qui saluait le public.

À la fin de la chanson, alors que le génie applaudissait les danseuses qui quittaient la scène, il fut rejoint par sa sœur vêtue d'une robe noire sans bretelles qui descendait presque jusqu'au sol à l'arrière et juste au-dessus des genoux sur le devant. Le tissu soyeux était recouvert d'un fin voilage noir et une élégante ceinture dorée faisait le tour de la taille. Le tout était accompagné de jolies chaussures argentées.

Une fois les danseuses toutes les parties, les deux bruns se tournèrent vers le public puis l'aîné prit la parole «Oui, c'est bien nous. Nous vous avons manqué?

-VOUS ÊTES DE LA BOMBE !!!", intervint quelqu'un dans la foule.

-Nous de la bombe? C'est vrai, on s'éclate. Ce n'est pas à nous de dire que le monde connaît aujourd'hui sa plus longue période de paix ininterrompue uniquement grâce à moi, et à ma sœur. Ce n'est pas à nous de dire que renaître des cendres de la captivité, nous à permit d'incarner les plus merveilleux phénix de l'histoire de l'humanité. Ce n'est pas à nous de dire que l'Oncle Sam peut se la jouer peinard sur un transat en sirotant un thé glacé parce que nous avons rencontré personne qui ait suffisamment de tripe pour un corps-à-corps avec nous sur notre propre terrain. »

La foule applaudit puis Manon pris la parole.

«Je vous en prie, il ne s'agit pas de nous. Il ne s'agit pas de vous. Il ne s'agit même pas de nous. C'est un problème d'héritage. De ce que nous souhaitons léguer à l'humanité, aux générations futures. Et c'est pourquoi pendant l'année à venir et pour la première fois depuis 1974, les meilleurs et les plus brillants hommes et femmes des nations et des entreprises du monde entier mettront en commun leurs ressources, partageront leur vision collective, pour laisser derrière eux un avenir meilleur pour tous. Il ne s'agit pas de nous. Nous sommes donc venus vous dire, à défaut d'autre chose, heureux de vous revoir à la Stark Expo. À présent, un invité exceptionnel, venu d'outre-tombe qui vous expliquera ça beaucoup mieux que nous. Notre père, Howard. »

Sur ces paroles, les deux Stark sortirent de scène pour laisser place à une vidéo mise en scène Howard Stark qui récita un discours devant une maquette de la Stark expo. «Tout est réalisable grâce à la technologie. Une vie meilleure, une santé solide et, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, la possibilité d'une paix mondiale. Donc, de la part de nous tous ici chez Stark Industries, je voudrais vous présenter personnellement la ville du futur. La technologie offre des possibilités infinies pour l'humanité, et débarrassera un jour la société de tous ses maux. Bientôt, la technologie affectera la façon dont vous vivez votre vie au quotidien. Finit les travaux fastidieux, accepter plus de temps aux loisirs et à la douceur de vivre. La Stark Expo. Bienvenue. »

Pendant le discours de leur père, Tony fit un test de toxicité sanguine qui donna un résultat à 19%. Il échangea un regard quelque peu angoissé avec sa sœur qui lui répondit par un regard confiant avec tout de même un peu d'inquiétude sur les bords.

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Dans les couloirs des coulisses, Happy les mis en garde sur l'important nombre de personnes dehors. En entrant dans la salle, les deux génies ont été assaillit de gens, ils signèrent de nombreux autographes (surtout Tony) et serrèrent de nombreuses mains avant de sortir du bâtiment sur une magnifique voiture de sport blanche quatre places, un nouveau modèle, avec une jolie femme en attente à côté.

À l'extérieur, l'aîné entama une conversation avec leur garde du corps, «C'était un peu calme.

-C'était pas si mal.

-Oh non, c'était parfait.

-Regardez-moi ça.

-Ha, le nouveau modèle. Elle est livrée avec la caisse?

-Ha, je l'espère.

-Bonsoir.

-Bonsoir.

-Et vous êtes?

-Marchal.

-Irlandaise. J'adore.

-Ravi de vous rencontrer Tony, Manon.

-Je prends le volant. Ça vous va. Manon avant ou arrière? Vous êtes d'où?

-Je vais derrière, prends l'avant Happy.

-Bedford.

-Et vous faîtes quoi ici?

-Je vous attendais.

-Hein ... dîtes moi tout. Qu'est-ce que vous avez là?

-Une citation à comparaître.

-Aïe. Happy, s'il-te-plaît.

-Ils n'aiment pas qu'on leur donne des trucs.

-Ouais, c'est personnel.

-Je le garde.

-Vous devez tous les deux comparaître devant le comité sénatorial des forces armées demain matin à neuf heures.

-Je peux voir votre plaque?

-Il veut voir ma plaque.

-Ouais, j'adore les plaques. »

Quand Happy fini de parler, la jeune femme montra sa plaque puis reprit, «Celle-là aussi?

-Oui. On est loin de Washington Manon?

-D'ici ... 400 kilomètres. »

Sur cette réponse, la voiture partit à toute vitesse.