Don't call me « Sensei »

15│La sensation d'être vivante - Partie 3

🎈NDA : Comme dit au précédent chapitre, mais je préfère quand même le prévenir une seconde fois : Ce chapitre comporte un lemon, mais pas de panique grâce à la crème anti... Euh, je voulais dire, pas de panique, pour ceux qui ne sont pas du clan des lemontiens, un petit marque sera mise au cours du chapitre pour vous prévenir du début et de la fin, le début du lemon quoi (『♡』).

Je vous souhaite une bonne lecture, et s'il vous plait, restez jusqu'à la fin, ce serait sympa de lire quand même ce que j'écris à la fin du chapitre... Merci :)

🎐EDIT 28.02.24 : Pour ceux qui lisent, ou prévois de lire, Je ne serai qu'une gêne, une petite information, le chapitre 15 (qui est commun à la base) n'est pas le même entre les deux fictions. Je m'explique : Dans cette partie de la fiction, donc avec le PDV de Lucy, j'ai ajouté un scène de lemon, tandis qu'avec le PDV de Natsu, j'ai pris l'initiative de ne pas l'ajouter. J'ai écris cette scène une fois, je ne vois pas l'intérêt de l'écrire une seconde fois, juste avec un changement de point de vue. Donc, ici, la scène de lemon (de cucul) et dans la fiction avec le PDV de Natsu, il aurait un autre scène pour remplacer celle-ci. Merci de votre compréhension, et encore une fois, une bonne lecture !

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🌟Lucy│Dimanche 24 avril, Appartement de Lucy, 01 heure 35

1 jour après le Jour J

Il ne faisait que m'écouter tout le long de mon discours, j'avais l'impression qu'il était suspendu à mes lèvres, je n'arrivais plus à le quitter des yeux et c'était la même chose pour lui, j'étais totalement envouté par son regard si pesant sur ma conscience.

— Tu dis toujours des choses si insensé pour moi, soupira – t – il.

— À ce point ? rigolé – je doucement toujours coincé entre lui et le matelas.

Je n'ai pas pu m'empêcher de rigoler, car ça ne m'étonnais même pas : Je dis souvent des choses incompréhensible selon lui. Je me suis doucement redressé, avant de passer mes bras autour de son cou.

— Qui a – t – il Lucy ? me demanda – t – il surpris.

— Rien du tout, je me disais juste que tu n'avais pas changé, tu es toujours le même, souris – je, c'est peut – être pour ça... C'est peut – être parce que tu as toujours gardé ton côté enfantin que je suis si amoureuse de toi... Qui sait, rigolé – je doucement.

— Ha, ha, ha, et je dois le prendre comment ? demanda – t – il agacé, mais quand même un petit sourire en coin.

— Prends le comme tu le sens, mais je suis honnête si c'est ça qui t'embête dans ce que j'ai dit, aucune taquinerie à l'horizon dans mes mots, lui avoué – je en me redressant toujours les bras autour de son cou.

J'ai continué de sourire bêtement, tandis que lui soupiré en ce grattant l'arrière de la tête. Après ce petit moment, nos regards se sont à nouveau croisés, mais comparé aux fois précédentes, ce regard était différent, totalement différent, il y avait une étincelle que je n'avais pas encore remarqué dans son regard, cette étincelle a commencé à se dessiner aussi dans mon regard, la même étincelle était en train de briller dans nos regards. Je ne comprenais pas vraiment d'où pouvait venir cette étincelle, puis j'ai compris, la réponse était si évidente que ça...

Je me suis rassise sur le lit, en tirant Natsu par les bras, il était toujours debout, mais c'était penché légèrement vers moi. Mon corps bougeait tout seul, je ne comprenais plus vraiment quoi faire, j'ai donc décidé de le laisser faire, comme si c'était quelque chose de normal. J'ai doucement pris la main de Natsu pour qu'il la pose sur ma main, je l'ai obligé à la laisser à cet endroit précis, avant de fermer les yeux et m'approché pour une énième fois de son visage. Quand mes lèvres se sont posés sur les siennes, j'ai doucement fait glisser ma main de la sienne, pour qu'elle tienne toute seule sur ma joue. Ce baiser était bien différent des autres, il était plus charnelle, si je pouvais dire ça comme ça, j'avais l'impression que nos lèvres se cherchaient beaucoup plus d'avant.