chapitre 2

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- Tu dois savoir.

- Je dois savoir quoi ?

- La vérité sur cette endroit...

Et là, elle commença un récit qui me laissa sans voix...

Depuis maintenant plusieurs années, moi et mon mari appartenons à une association clandestine. Moi je n'aie jamais voulut participer à cela et c'est pour ça que je préviens les enfants lorsqu'ils ont 16 ans.
En fait, ils kidnappe des enfants de mage pour pouvoir abusé de leur pouvoir. Lorsqu'ils deviennent trop vieux ils deviennent des esclaves.

Je comprends maintenant ceux qui partait en calèche...

Ce n'est pas tout. De ta génération, il y en avait 7. Sauf qu'il y à 10 ans, les mages ont réussi à retrouver 6 des 7 enfants et ils ont arrêté tout les kidnappeurs sauf nous. Mon mari à alors décidé de partir d'ishgar et de se cacher à Arbaless.

On à tous de même pus aller à l'école donc je connais la géographie d'ici.

- Donc je suis une fille de Mage, je n'aie pas été abandonnée mais bien enlever et je viens d'ishgar !!!

Je venais de prendre pleinement conscience de ces révélations. Moi qui détestait tant mes parents ils m'ont sûrement chercher partout...et mon grand frère...

- Écoute moi bien, c'est très important ! Il est bientôt être 3h du matin. Il ne vous reste plus beaucoup de temps pour fuir. Par avec les enfants et je vais vous couvrir.

Elle était prêt à faire ça pour nous. Elle aussi était victime de son mari. Je ne pouvais pas l'abandonner. Même si tout ce que je venais d'apprendre me choquait, je ne pouvais pas la laisser ici.

- D'accord mais tu viens avec nous.

- Non je dois vous couvrir. Je veux que vous vous en sortiez.

- On va s'en sortir ensemble. Si j'ai survécu jusqu'ici avec le sourire, une 1 heures de plus ou de moins ne changeront rien.

- Tu es forte ma chérie, ça m'a rendu heureuse de vous avoir avec moi. Je crois que si mon mari à perdue la raison, c'est en partie à cause du fait que nous n'avons pas pu avoir d'enfant.mais sache que moi je vous aie toujours considéré comme mes enfants.

C'est paroles me rappelais le bon vieux temps. Celui où elle soignait mes blessures comme une vraie maman. Son mari n'a jamais été comme un père mais elle.. C'est ma mère adoptive. Alors c'est pour ça que je ne vais pas l'abandonner. Nous ferons partie d'une guilde tous ensemble je me le suis promis.

- Allons-y !

- Vous contiez aller où comme ça ?..

La panique me submergea. J'étais tellement concentré dans mes encouragements et mes buts que j'ai totalement oublié son existence.

- Je savais que quelqu'un mettait les jeunes au courant. Tu ne mérites pas d'être ma femme.

Il voulut la frappé mais je me mis devant et je pris le coup à sa place. La gifle me fouetta tellement fort que ma tête tourna à 90°.

- Chérie est-ce-que ça va ? Dit elle apeuré

- Je t'aie dit de la fermer.

Par la suite, malgré mes efforts il parti avec elle et moi. Il enferma Louise dans une chambre. Il lui chuchota quelque chose à l'oreille. J'ignore quoi mais elle afficha une mine horrifié.

- NON ne lui fait pas c...

Il ferma la porte. Toujours avec moi sur l'épaule. Sans que je ne puisse réagir, j'étais dans la grange menottée au mur. Je connaissais cela, c'était sa salle de torture personnelle. Je n'y avais jamais eu de séance mais chaque fille que j'ai vue en sortir y restait traumatisé. Malgré tout, je décidais de me pas laisser la panique me gagner. Peut importe se qu'il allait me faire je resterais forte pour Louise.

Il commença par me fouetter. Malgré la douleur je ne produit aucun son. Malheureusement ça sembla l'énervé. Ile frappa avec toute sorte d'objets. Encore là je gardais la bouche fermée.

- C'est comme ça que tu le prends? D'accord, je voulais commencer par m'amuser un peu mais on va aller directement au sort réservé au mauvaise fille.

Je ne compris pas sur le coup mais lorsqu'il dechira mes vêtements, je compris se qui m'attendait....

Le viol...

*****

Lorsqu'il stoppa son "travail" je n'avais plus la force de bouger. J'avais craqué. Tout la tristesse que je gardais depuis tout ce temps, depuis que je connaissais la vérité sur mes parents, tout... Se déversa, je pleurais avec le restant de mes forces. Mes poignets et mes chevilles me faisait atrocement mal. Je me sentais sal, humilié. J'avais échoué.. je disais être forte pourtant j'étais faible. Je suis désolée Louise...

" La dernière chose qu'elle remarqua avant de tomber dans les pommes fut un vent glacial qui sembla gelé tout sur son passage jusqu'à son horrible agresseurs. Puis ses paupières se scellèrent..."

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Alors déjà 2 chapitre de fini, qu'en penser vous?

DisparueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant