Chapitre VIII

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Shoto se réveilla difficilement, un mal de crâne l'empêchait de penser correctement. Que s'était-il passé hier soir ? Il avait un vague souvenir d'un chamois et d'un Katsuki inquiet. Il tourna lentement la tête et vit des aspirine et un verre d'eau sur la table de nuit. Le bicolore se redressa difficilement, et mis une aspirine dans le verre. Le blond entra doucement dans la chambre et lui fit un petit sourire.

Katsuki : Ça va? Pas envie de vomir ? Mal à la tête ?

Shoto :Mal de tête. Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

Katsuki : Vous avez bu la moitié d'une bouteille de Génépi, et vous m'avez parler d'un chamois qui broutait le canapé, j'ai pas tout compris. Enfin bref, je vous ai aidé à monté ici et maintenant vous devez vous tirez une magnifique gueule de bois.

Shoto : Est-ce que j'ai fait des choses déplacer ?

Le plus petit réfléchis quelques instants avant de répondre.

Katsuki :Non.

Flashback

Katsuki aida le gendarme à se levé, l'amenant en bas des escaliers.

Shoto :T'es gentil toi, en plus t'es beau.

Le blond n'y prêta pas attention, Shoto était complètement soûl. Ils mirent environ cinq minutes à monté les marches. Arrivé en haut l'ancien suspect fit une pose pour reprendre son souffle. Le bicolore l'entraîna contre lui, se plaquant lui même au mur et l'embrassa avant que Katsuki n'est pu faire quoique ce soit. Il se recula comme s'il s'était brûle et rencontra le regard brillant du gendarme.

Shoto :S'il te plaît, prends-moi ça me fera du bien.

Le blond rougit violemment.

Katsuki :N..non je peux pas faire ça. Vous allez vous coucher et faire un gros dodo, on en reparlera demain.

Shoto hocha la tête même si il n'avait absolument rien compris.

Fin flashback

Bien entendu Katsuki préféra gardé cette partie pour lui-même. Le bicolore n'était pas dans son état normal et avait eût un moment de faiblesse, fin de l'histoire. Même si au fond de lui le plus petit en espérait un peu plus.

Shoto :Quel heure est-il ? Je dois aller bosser.

Katsuki : J'ai appeler la gendarmerie, je leur ai dis que vous étiez malade et que vous ne pouviez pas aller travailler. Je crois que c'est le gendarme qui vous avait accompagné quand vous étiez venu pour m'interroger que j'ai eu au téléphone.

Iida, qu'est-ce que le brun avait bien pu dire.

Katsuki : Il a dit qu'il s'occuperait de tout en votre absence et m'a demandé de vous transmettre un message : ils on localisé un certain AFO. Il m'a dit que vous comprendrez.

Le gendarme hocha la tête, le blond commença à s'en aller.

Shoto : Merci, pour l'aspirine, le boulot... Vous étiez pas obligé.

L'ancien suspect lui fit un petit sourire.

Katsuki : D'une certaines manière c'est un peu mon boulot de prendre soin des gens, donc c'est normal.

Il sortit de la pièce. Shoto bu son verre et se rallongea sur le côté. Pourquoi avait-il bu déjà ? Il ne s'en souvenait même plus, tout ce qu'il savait c'est qu'il n'avait pas touché une goutte d'alcool depuis six ans et que ça faisait extrêmement mal de se remettre à boire. Il ferma doucement les yeux, juste cinq minutes seulement. Le bicolore se fit réveillé par une délicieuse odeur qui venait de la cuisine. Il se leva et s'appuya contre le mur pour descendre. Katsuki s'affairait en cuisine, faisant revenir des légumes à la poêle, il offrit un grand sourire au gendarme lui disant de s'asseoir. Il lui servi le plat qui semblait encore plus délicieux maintenant qu'il le voyait. Il mangea lentement, de peur que son estomac n'apprécie pas, sous le regard bienveillant du blond.

Je Suis InnocentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant