𝑹𝒆𝒍𝒊𝒆́ 𝒑𝒂𝒓 𝒍𝒂 𝒎𝒂𝒇𝒊𝒂

Chap 10: retrouvailles

Chapitre 10: Retrouvailles

Point de vue: Carlos.

Ça fait plus de 20minutes que j'ai un bandage sur les yeux, et Adalia aussi. Je ne sais même pas où on est. J'entends juste les pleurs d'Adalia mais je ne la vois pas et j'imagine qu'elle aussi elle a les yeux bandés. J'aurai aimé la serrer dans mes bras mais ils sont attachés derrière mon dos et je suis assis sur mes genoux. Elle pleure depuis qu'on est là et je ne sais pas quoi dire parce que c'est moi qui n'ai pas pue la protéger...

-Adalia... essaye de te rapprocher de moi grâce au son de moi voix et je vais faire la même.

Je commence à avancer sur mes genoux et je l'appelais toujours pour essayer de la trouver. Et je pense qu'elle essaye de faire ce que je suis ai demander parce que je sens ses reniflements plus proches de moi.

Quelque chose a cogner mon torse et je pense que c'est sa tête.

-Je.. Carlos.. j'ai... j'ai peur..

Et elle recommence à pleurer. J'aurai tant voulu te prendre dans mes bras ma Adalia...
j'aurai aimé faire de ta peur une joie...

-Ne t'inquiète pas Adalia. Je ne te laisserai plus seule.

Et le silence reprit place dans la pièce laissant les pleurs d'Adalia reprendre place.

Point de vue: Inaya.

Je suis restée sur ce canapé toute la nuit. Je n'ai pas pu fermer l'œil pourtant je suis épuisée. Je ne veux pas rester ici. Encore moi dans cette pièce. Je veux juste sortir. Ici je n'aime personne et ils se prennent tous de haut avec moi.

J'attend sur ce fauteuil. J'attend que quelqu'un vienne me sortir de la ou que quelqu'un vienne pour que je puisse l'embêter. Mais personne..

Je commence à m'ennuyer. Je n'ai toujours aucune notion du temps mais je pense qu'on est le matin parce que les bruits de leurs réveil se sont fait il y a pas longtemps de ça.

Je me lève de ce « siège » et je commence à avancer dans la chambre. Je l'explore malgré qu'elle soit petite. Bon bah, il n'y a rien d'interessant.. juste 4 murs quoi.

Je m'approche de la porte de la pièce et je commence à taper dessus:

-Putain vous êtes tous morts ou quoi?!

Et je continue à taper. Personne ne vient. D'ailleurs je suis toujours habillée de mon jeans et de mon débardeur. Je ne porterai pas ces vêtements. Et c'est mon dernier mots. On ne m'a pas donner de quoi attacher mes cheveux alors ils touchent toujours mon dos. Et ils se sont enmêlée parce que je ne les ai pas brosser. Et quoi de pire pour Inaya?!

Je continue à taper sur la porte et je reprend mes cris:

-Estemerde t'es où?! Pourquoi tu ne viens pas? Sors moi de la putain RÉPOND MOI!

Et sur ces mots la porte s'est ouverte et m'a fait reculer en arrière. Mais je tire encore plus là tronche quand je vois que celui qui ouvre la porte est celui qui m'avait conduite ici : Le fameux Pablo.

-J'peux savoir pourquoi tu crie grosse pute?

-Me confond pas avec ta soeur.

Et là il s'est approcher de moi et m'a soulever en serrant sa main sur mon cou:

-Toi j'vais te faire bouffer le mur salope tu crois ma soeur c'est une pute à être comme toi la?! Reparle encore une fois d'elle et si je démarre pas la tienne je m'appelle pas Pablo!