𝑹𝒆𝒍𝒊𝒆́ 𝒑𝒂𝒓 𝒍𝒂 𝒎𝒂𝒇𝒊𝒂

Chap 7: Avec celle que j'aime

Chapitre 7: Avec celle que j'aime

Point de vue: Esteban.

Ça fait maintenant une heure que nous sommes rentrés. Entre temps Sara est venue chez moi. C'est moi qui lui ai demander de venir. Elle doit juste déposer quelques vêtements pour la fille et repartir.

Sara, c'est ma cousine. Elle porte le même nom de famille que moi. Je suis fils unique depuis 7ans. C'est une personne qui est chère à mes yeux. Elle joue un rôle de petite sœur.

Je suis assis au salon avec Ryan et Sara est assise avec nous.

-Et vous comptez faire quoi avec elle?

-Je ne sais pas. Je veux d'abord savoir pourquoi elle s'en ai prise à Tiago. Et pour la suite je verrai. Tout dépendra d'elle.

-D'accord. Fait attention à elle.

Ryan n'a rien dit. Il nous observe.

Sara se lève, remonte un peu son jeans, ajuste son petit gilet et prend son sac qu'elle avait posée sur le canapé où elle était assise.

-Bon les garçons, j'y vais. Prenez soin de vous et si vous avez besoin de moi appelez moi.

-Fait attention à toi en chemin. Tu veux pas que je te dépose? Dit-Ryan.

-Non ne t'inquiète pas. Tu dis ça à croire que j'habite loin!

-Non mais je vais quand même venir. Je reviens Esteban à plus.

-Orh.

-D'acc.

Et ils ont tous les deux quitter la sale.

Point de vue: Ryan.

On sors de la maison. Et on commence à marcher l'un à côté de l'autre. J'aurai pu prendre ma voiture mais vu qu'elle n'habite pas loin je préfère marcher avec elle.

Elle ajuste son sac à main sur son épaule.
Et elle fini par couper ce silence.

-Elle va bien ta mère ?

-Oui ça va. Et la tienne?

-Mouais. Elle est un peu malade mais rien de grave.

-Si tu as besoin de quelque chose tu me dis hein.

-Ne t'inquiète pas.

Je sais très bien qu'elle ne veut pas de mon aide. Mais je ne le prend pas mal. Parce que je sais qu'elle aime se débrouiller seule. Elle n'a pas besoin des autres. Mais moi je ne suis pas les autres. Alors je veux que, si un jour elle a un problème, qu'elle m'en parle.

On continue à marcher et il a un léger vent qui nous souffle dessus. On est en avril donc il fait un bon temps.

Il y'a un blanc et c'est un peu gênant.
Elle reprend:

-Pourquoi tu voulais absolument m'accompagner? Tu sais très bien que je n'habite que quelques mètres.

-Parce que le danger n'est jamais loin. On est pas dans le monde de Dora. Ici tout peux arriver à n'importe quel moment. Ne l'oublie pas.