Survivre.

Chapitre 4. La malheureuse panne.

Point de vue de Cloé.

Chicago est loin derière nous maintenant. Une bonne centaine de kilomêtres nous en sépare dorénavant. Pour s'accorder un petit temps de répis physique et psychologique, d'un comme un d'accord avec les Jack on autorisa Aaron à se mettre au volant, à son plus grand bonheur

Aaron : Mais vous m'aidez, hein ?

Jack J : Ta soeur va t'aider !

Cloé : Mais je viens de conduire ! J'ai pas le droit à une pause moi ?

Jack G : "Une pause" ? *souriant* On dirais qu'on te surmènes !

Cloé : C'est presque ça !

Jack J : Et bien prend ta "pause", je vais m'occuper de notre danger ambulant

Aaron : Tu sais que je t'ai entendu ?

Jack G : *en tapant Aaron dans le dos* Au volant champion !

Et comme on s'y attendais Aaron réussi à nous faire passer un bon moment durant les heures qui suivirent sans qu'il ne s'en rendre compte, il était tellement drôle derière le volant à essayer de respecter des règles qui n'avaient plus d'intéret.

Jack J : Mais si on te dis que faire les stop ne sert à rien !

Aaron : Et bien je les fait quand même !

Jack G et moi qui étions à l'arière admirèrent avec un grand sourire la scène de ménage qui se passait à l'avant. Scène du ménage qui fut intérrompu par un drôle de bruit du moteur lorsque Aaron redémara après son arrêt au stop.

Jack J : Arrête toi que j'aille y jeter un oeil.

Aaron obéi aux ordres et stoppa la voiture en plein milieu de la chaussée en oubliant tout ses règles à deux balles de conduites, il avait compris que la situation était assez critique.

Jack J : *après avoir passer quelque minutes la tête sous le capot* On est dans la merde. Une des roues qui faisait tourner la courroie de distribution est morte.

Cloé : On est bloqué là alors ?

Jack J : J'en ai bien peur ...

C'est pas possible ! Pas ici en plein milieu de cette ville qui nous est complètement inconnu et qui donne encore moins envie de la visité avec l'obscurité qui s'installe doucement en même temps que le soleil disparaît dérière les bâtiments.

Si il y a bien quelque chose qui me térifie au plus haut point c'est la nuit ! Le faite de ne rien voir, et d'être réduis dans mes capacitées visuelles. Dans le noir profond de la nuit il est difficile de bien se repéré pour nous, les humains, alors que eux, les zombies, voilent comme si il faisait jour. Avantages à eux à notre détriment.

Aaron : *sortant de la voiture avec son revolver* Il va falloir qu'on s'abritent pour la nuit alors !

Jack G : *en faisant de même* Je suis bien d'accord, on prend tout et on y va !

C'est donc avec nos peu de bagages que l'on abandonna la voiture en plein milieu de la ville, chacun l'arme en main nous avancions en scrutant les moindre coins de nos champs de vision pour ne pas être surpris par quelconque attaques de zombies.

Jack J : *la désignant* Y a une épicerie là ! On pourrait peut être aller y jeter un oeil !

Aaron : Ah oué ! Je meurs de faim !

Jack G : Comme toujours !

Cloé : J'y vais, qui viens avec moi ?

Jack G : Moi !

Jack J : On reste devant au cas ou !

Cloé : D'accord

Ainsi avec Jack G je rentre dans l'épicerie et part directement vers les boites de conserves qui sont les seuls denrées encore mangeable. Et c'est qu'on hésitait entre petit pois et haricots que des coups de feu retentirent à l'extérieur.

Aaron : *sans cessé de tirer* Sortez ! Y en a qui arrivent !

Malgrès l'urgence avec Jack G on pris quand même le risque de tarder dans l'épicerie pour remplir nos sacs des conserves.

Jack J : Putain dépéché !

Jack G : Oui ! On est là

Aaron : Ils sont trop nombreux !

Cloé : Ils faut qu'on parte !

Jack G : *tout en tirant vers la or-de de zombies qui approchait* Prèt à courir ?

Aaron : *me prenant la main* C'est partit !

C'est donc dans la direction opposé de la or-de de mort-vivant que l'on partit au pas de course en espérant les semer au plus vite et, également, trouver un abri pour la nuit qui avait déjà commencé à s'installer.

Fuir comme ça, changeais bien de notre "habitude" si l'on puisse appeler ça ainsi. Fini la planque dans notre "appartement" et re-bonjours les gardes de nuit et les imprévus.

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