Chapitre 15.

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« You, you know you impress me girl »

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« You, you know you impress me girl »

Paris.
Angelo,

Les femmes.
J'ai jamais vraiment appris à les aimer, à prendre soins d'elles et tout.

Ma mère et moi, on s'entend très bien pourtant mais même avec elle parfois c'est compliqué.
Mes relations ne durent pas longtemps, environ un mois ou deux.

Elles partent toutes parce que je suis trop nerveux, parce que je n'arrive pas à leurs montrer mes sentiments.
Parce que j'ai un coeur en "pierre".

On m'a dit que c'était parce que je vivais sans père, en tant normale j'aurais du prendre exemple sur lui, de la manière dont il traitait ma mère.
Mais je ne l'ai jamais connu, il est parti à ma naissance.

C'est l'une des raisons.
Maintenant si je devais associer ça à Gabriella.
Je dirais juste que cette fille m'énerve et me stresse.
Elle m'énerve à être bête parfois. Elle m'énerve à faire tout comme une idiote sans cervelle.

C'est fatiguant pour moi.
J'ai constamment l'impression de devoir la surveiller et de devoir la protéger, pourquoi ? Aucune idée.

Puis le fait qu'elle se laisse toujours marcher sur les pieds, qu'est-ce que ça m'irrite.
J'essaye de la former pour qu'elle puisse prendre en confiance et assurance mais, je ne sais pas comment m'y prendre.

Alors j'agis parfois durement avec elle, en m'attendant à une réaction féroce de sa part mais qu'est-ce qu'elle fait cette idiote ? Elle baisse les yeux ou elle reste calme.
Réagis purée ! C'est ce que j'ai envie de lui dire à chaque fois.

Elle est faible cette fille, du moins c'est ce qu'elle montre.
Je sais qu'au fonds, c'est une tigresse.
Et c'est bizarrement une chose qui m'attire.

— Tu penses à quoi ? Entends je.

Je sursaute et tourne mon regard vers la personne qui m'a déconnecté de mon monde.

Encore elle.

— Mais tu fais quoi ici toi encore ? Soupire je, Tu veux quoi ?

— Je mange toujours avec vous en faite, ricane t'elle.

Putain cette Noa.
Si elle aurait été un gars je lui aurais foutu une grosse tarte dans la gueule.

Que elle me colle cette folle.
Je souffle et décide de ne pas faire attention en détournant mon regard vers Gabriella, qui mange seule comme à son habitude depuis que sa pote Noa la folle, est ici.

𝐘𝐨𝐮𝐫 𝐡𝐚𝐭𝐞 𝐢𝐬 𝐥𝐨𝐯𝐞. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant