Chapitre 20.

1.4K 114 86
                                    

"Paris, Everyday I love you, Everyday I want youNothin without you"

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

"Paris, Everyday I love you, Everyday I want you
Nothin without you"

Paris, France
Gabriella,

Dix huit heures pile.
La bruit de la sonnette retentit, m'avertissant de la présence de Angelo.

Comment est-ce que je me sens ?
Eh bien, c'est comme lorsque que vous voyez un garçon pour la première fois.

L'angoisse, le coeur qui bat vite, la curiosité, l'excitation mais pour moi, je rajoute l'incompréhension.
Pourquoi est-ce qu'il est devenu soudainement aussi, aussi...présent ?

Non, pourquoi est-ce qu'il est devenu soudainement aussi mignon, attentionné avec moi.
Pourquoi est-ce que je me sens aussi bien quand il est là ?

Pourquoi ?
J'ouvre la porte avec un petit sourire au lèvre, alors que lui sourit grandement.

C'est tellement agréable ce sentiment.
Je le laisse entrée dans la maison, et nous nous dirigeons vers le salon.

– Attend moi, j'arrive, lui dis je en montant rapidement.

Je me parfume une dernière fois et arrange mon afro, je le vois alors entrer dans ma chambre avec un petit sourire au coin.

– Mais ! Tu comprends pas le français Angelo ? Soupire je.

— T'es entrain de t'arranger pour moi ? S'avance t'il.

Je roule des yeux et saisie mon sac puis m'avance vers la porte pour sortir mais il me retient,

— Ta braguette, me dit il.

La honte.
Il m'approche de lui et la ferme tendrement, sans en faire un drame.

C'est extrêmement mignon.
Je ne peux cacher mon sourire.
Il me regarde et dépose un petit bisous sur mon front avant de me saisir par la main pour descendre.

La tendresse de ses actes me procure d'innombrables papillons dans le ventre.
Je n'avais jamais ressentie autant d'émotions en une période, et pour une personne.

Nous sortons de la maison et je m'assure de bien fermer la porte derrière nous.

Étant donné que nous sommes en début février, l'obscurité arrive vite et la fraîche braise hivernale se fait ressentir.

Nous marchons vers je ne sais où, mais nous marchons main dans la main.
Il caresse parfois la paume de ma main avec son pouce.

𝐘𝐨𝐮𝐫 𝐡𝐚𝐭𝐞 𝐢𝐬 𝐥𝐨𝐯𝐞. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant