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« Darling I care, I care for you more than my own self »
Paris, France Gabriella,
Il salue quelques personnes avant de venir nous rejoindre à table et de s'asseoir a côté de moi. Je soupire rien qu'en voyant le mauvais regard que Noa et sa clique me lance.
Pathétique. Je me décale légèrement laissant un assez grand écart entre lui et moi.
Il salue Ysalis qui venait elle aussi d'arriver puis se tourne vers moi pour me saluer mais fronce les sourcils,
– Quoi encore ? Souffle je.
Il me saisie par la hanche et me colle à lui, sous les yeux du couple i-grecque. Mais qu'est-ce qu'il lui prend, j'enlève ses mains et le toise sévèrement,
— Il t'arrive quoi encore à toi ? S'énerve t'il.
– Pourquoi tu veux me coller ?
— Genre ça te dérange ? On a déjà été plus proches que ça madame, sourie t'il.
Je vais le gifler.
— Quoi ? J'ai mal entendu ? Bébé dis moi que j'ai mal entendu, s'exclame Yassine.
Eh merde. Je ferme fortement les yeux et soupire en les rouvrant.
— Je rigole avec elle Yassine, dit Angelo.
— Arrêtez de me cacher des choses putain ! On est un groupe maintenant ! J'ai l'impression d'être le petit intrus à qui on dit rien, se vexe t'il.
Je ricane légèrement,
– Y'a rien Yassine arrête de t'affoler pour rien, lui dis je.
Angelo hausse les sourcils poussant Yassine a s'affoler encore plus alors je lui pince discrètement la jambe, il est fatiguant.
— C'est bon Yassine arrête de faire l'enfant ! Si y'a un truc à savoir tu le saurais en temps et en heures grandis un peu, souffle Ysalis.
Elle est énervée la miss. Un silence s'installe alors à table, gênant. Étant donnée que ma journée est terminé a cause de mon prof absent, je me lève.
— Tu vas où ? Me demande Angelo.
Pour je ne sais quel raison, cette réflexion me fait sourire mais je me reprend immédiatement.
