Elle balaye la terrasse des yeux et son regard se pose sur ce groupe de 4 mecs. Malgré les larmes qui embrument ses yeux et la quantité d'alcool ingérer qui embrume son cerveau, elle les reconnais. Les trois frères Holland et Harrison.
Contient du L...
Après une longue discussion sur le canapé et un débriefing de la journée de hier, il est temps de passer au choses sérieuse. Ou pas, tout dépend du point de vue. Je me rapproche de lui et je m'assois sur ses jambes. Je m'avance vers son oreille et chuchote
- On peut continuer de discuter ou alors on peut s'amuser. Je descends dans son cou et je commence à l'embrasser, sa respiration s'accélère.
Il se redresse et enlève son pull qui dévoile ses abdos saillant et ses bras musclés. Il me relève la tête et pose ses lèvres sur les miennes. Sa bouche et si douce. Je me décolle de lui et descend plus bas pour lui enlever son pantalon et son boxer. Je prends son sexe dans mes mains et je commence de légers vas et viens qui le font gémir. Autour de ma bouche de prendre le relais, je recommence mes vas en viens. Il fait glisser ses mains dans mes cheveux, les empoigne et m'incite à aller plus vite. Entre deux gémissement de plaisir, il gémit mon nom. Tout en continuant à lui donné du plaisir je plante mes yeux dans les siens, au même moment son corps se tend et il éjacule dans ma bouche. Haletant, il me soulève et il se place au-dessus de moi.
Une main dans mes cheveux, l'autre qui remonte le long de ma cuisse, il hausse un sourcil et m'enlève ma robe à une vitesse folle lorsqu'il se rend compte que je ne porte pas de sous-vêtement. Il fait glisser ses mains les longs de mon corps tout en m'embrassant dans le cou. Il descend ou niveau de ma poitrine une main sur un de mes seins et l'autre au niveau de mon entrejambe. Je gémis son nom. Il descend encore plus et glisse sa tête entre mes jambes cette fois ci. Il passe sa langue sur mon point sensible ce qui me fais gémir de plus belle. Mes mains se perdent dans ses bouclettes blondes. Et tout en me léchant ma partie intime, il entre deux doigt en moi. Il remonte vers moi et me pénètre. Il commence doucement puis accélère, chaque coup de reins nous rapproche de l'orgasme et nous fais gémir un peu plus fort. Il jouit le premier mais continu ces mouvement jusqu'à ce que j'atteignent l'orgasme aussi. Il se détache et s'allonge à côté de moi.
- Je peux te poser une question ? dit-il à bout de souffle
- Tu viens tout juste de le faire ! Il est surpris de ma réponse, ça me fait pouffer
- ... Je vais t'en poser une autre alors, parle moi de ta famille, je ne connais presque rien sur toi.
- Pas de confidence sur l'oreiller avant le deuxième round !
Il est troublé de ma réponse, mais tout aussi étonné.
- Compte sur moi pour ça.
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il me prend par la taille et je me retrouve à califourchon sur lui. Nos deux corps ne font plus qu'un, nous voilà partis pour un second acte. Ça fut beaucoup plus court mais tout aussi intense.
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- T'en eu assez ou tu en veux encore ? Me demanda-t-il encore gonflé à bloc
- Laisse-moi reprendre mon souffle veux tu. Je tourne la tête vers lui, a son regard je vois qu'il ne dirait pas non pour un troisième round.
Je détourne le regard, je me lève du canapé et j'enveloppe mon corps nue dans une couverture. Je vais dans ma chambre et j'enfile une culotte et un tee shirt beaucoup trop large pour moi. Quand je reviens il a remis son boxer. Je me dirige vers la cuisine. J'attrape deux bouteilles d'eau et je lui en lance une.
- Tu vas me parler de toi maintenant ?
- T'as le droit à une seule question, choisis la bien !
- Ok... alors... Pourquoi es-tu venu vivre ici ?
- Je suis arrivé ici en juillet 2018, la première année j'étais étudiante d'échange, j'étais inscrite à l'université en France mais j'étudiais ici. Pareil pour Joy. On s'en fichait dans quelle ville on allait, tous ce qu'on voulait c'était etre ensemble. Et notre choix c'est porté sur Londres. Puis on est tomber amoureuse de cette ville. La rentrée suivante on s'est inscrit à la fac ici, puis celle d'après aussi et donc nous voilà. La France n'est plus qu'un lointain souvenir.
Pendant tout mon récit il ne m'a pas lâcher des yeux, il a bu toutes mes paroles. Ils ouvrent la bouche et commence à me poser plein d'autres questions
- Ça ne te manque pas, même un tout petit peu ? Et il me semble que tu as un frère aussi ? Il ne te manque pas ? Tu le vois souvent ? Et tes parents ? Je le coupe
- Stop, j'ai dit une seule question !
Il croise les bras sur sa poitrine et fais la moue. Je craque, il est trop chou.
- Ok... je t'accorde un joker. Une étincelle éclair ses beaux yeux bleus. Il retrouve le sourire, je n'y avais jamais prêté attention mais deux petites fossette se creuse. Plus je le regarde et plus sa me semble irréel.
- Attends-je réfléchis ! C'est quoi tes origines parce que l'autre jour tu nous as dit que tu étais française, ok. Mais je trouve que pour quelqu'un qui vit à Londres depuis 3 ans tu as un drôle d'accent.
- Haha, oui ! Mon père est américain donc depuis toute petite j'ai appris l'anglais avec cet accent et je n'arrive pas à m'en débarrasser.
- Tout s'explique, donc c'est ta mère qui est française ?
Je baisse les yeux, mes yeux embrument, le ton de ma voie change radicalement, il devient triste
- Était... mais oui c'est ça.
Il lève les yeux vers moi, ils sont remplis de culpabilité. Si je voulais éviter c'était pour une bonne raison, je n'aime pas que les gens ai pitié de moi. Il bafouille,
- Oh... Je suis désolé...
- Ne sois pas désolé, je n'ai pas besoin de ta pitié. Et arrête de me regarder comme si j'étais une petite chose fragile qu'on a besoin de sauver.
Lorsque Joy rentre de la bibliothèque, Haz est toujours en boxer sur le canapé, ma tête poser sur son torse on regarde la télé. Je me tourne vers elle et je vois que ces yeux se posent sur nos habits éparpiller au sol. Je hausse les épaules et j'articule pour quelle puisse lire sur mes lèvres « on c'est éclater » et elle secoue la tête. Le blondinet tente un léger petit signe de main pour paraitre décontracter mais sa gestuelle le trahis, il semble très embarrassé face à la situation. Moi je trouve sa plutôt comique. C'est pas comme si on était en plein partie de jambe en l'air et quelle nous aurais surpris, la on est juste un peu dénudé.
