Ismaël: AÏDA !
Il m'attrape à temps avant que je n'atterrisse au sol.
Ismaël: pourquoi t'as fait ça putain !?
Moi: il... voulait tuer... mon..mon fils.
Ismaël: *surpris* ton fils ?
Il regarde Hayden qui s'approche timidement de moi avec de l'inquiétude et de la panique dans le regard.
Ma respiration devenait difficile et la douleur empirait à chaque seconde.
Hayden: vous n'auriez pas dû faire ça...
Tout devenait petit à petit noir et les battements de mon coeur se faisaient lents.
Ismaël: Aïda tu vas pas me faire ça. Reste avec nous !
Je regarde Hayden en souriant légèrement avant de fermer les yeux.
Ismaël.
Une semaine plus tard.Aïda avait enfin ouvert les yeux. Elle s'est réveillée hier soir et aujourd'hui, nous sommes tous venus la voir.
Docteur: la patiente est dans sa chambre mais seule une personne peut aller la voir.
Je regarde Hayden.
Moi: tu veux y aller ?
Hayden: moi ?
Moi: oui.
Il regarde Nadia qui hoche la tête.
Docteur: venez jeune homme.
Il le suis.
Je pense qu'il est le mieux placé pour aller la voir.
J'arrive toujours pas à croire que notre fils soit parmis nous et je m'en veux d'avoir cru qu'il était mort. Il a rencontré toute la famille, qui l'ont direct accepté lui et Nadia.
Au début il était renfermé avec nous car il pensait qu'il avait été abandonné. Alors je lui ai juste dit que Aïda lui expliquera elle même la vérité quand elle se réveillera.
J'espère qu'il comprendra.
Aïda.
La porte s'ouvre sur le docteur.
Docteur: il y a quelqu'un pour vous.
Il se pousse et je vois Hayden entrer à l'intérieur.
Docteur: je vous laisse.
Il sort.
Hayden s'approche de moi, la tête baissée.
Moi: lève la tête, je vais pas te manger.
Il me regarde en souriant nerveusement. Je tapote le lit pour lui montrer une place. Il vient et s'assoit à côté de moi.
Personne ne parla pendant un moment, ça se voyait qu'il était gêné. Pour détendre l'atmosphère, je lui demande.
Moi: as-tu toujours le vélo que je t'avais acheté ?
Il me regarde.
Hayden: non. Je devenais trop vieux pour, alors je l'ai donné à quelqu'un de plus jeune.