Chapitre 12

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*FITZ*

- Mon chéri ? Une voix croissante hurla depuis l'autre bout de la maison.

- Je suis là de quoi as-tu besoin, Fitz ne c'était pas endormi avant 5 heures du matin et seulement quatre heures après sa futur femme s'était réveillé provoquant le maximum de bruit qu'elle pouvait pour choisir quelle tenue mettre pour allez faire les magasins  avec des amies. Le sommeil du brun n'avait pas bien été réparateur.

- De quoi j'ai l'air là ? Lui demanda-t-elle en papillonnant  ses faux-cils qui mesurait bien 10 centimètres.

- Hé bien tu es magnifique comme toujours mais ne trouve pas que cela est un peu trop... comment dire ? Révélateur ? Sortit Fitz pas convaincu de sa tenue.

En effet elle portait un simple débardeur blanc avec une jupe vraiment très courte et des talons très haut perchés. Le jeune home avait simplement peur des comportements des personnes dans la rue (NDA : si je met ça là se n'est pas un hasard)

- Mais non bien sur que non voyons tu sais que se n'est pas mon genre de vouloir attirer les regards des autres sur moi...

Avant de partir elle se remit une couche de rouge à lèvre liquide (ou gloss c'est plus simple), embrassa Fitz et claqua la porte.

Ce que celui-ci ignorait totalement  c'est que la sortie prévue n'était en autre pas que pour aller s'acheter des vêtements plus colorés et brillants les uns que les autres mais aussi pour aller traîner dans des bars... pour en ressortir ivre et aller le trompé de gauche à droite sans aucun remord. Tout cela dans le dos de son petit ami qui avait confiance en sa personne et en son couple. Une autre des choses qu'il ne savait absolument pas est que c'était loin d'être la première fois en des années.


*SOPHIE*

- SOPHIE ! Marella me hurla de me reculer quand une explosion se fit entendre près de moi.

- RUEWEN SOPHIE ET REDEK MARELLA VOUS ÊTES ACTUELLEMENT EN ÉTAT D'ARRESTATION ! ORDRE DU CONSEIL !

Avant que je ne puisse réagir, dire quoi que se soit ou encore de m'échapper, on me passa des menottes qui m'engourdir le corps d'un coup. Comme une sorte anesthésiant, je ne sentais plus mon corps. A coté de moi, ma sœur résistait comme elle le pouvait, criant sur les gardes qui finirent par la maîtriser pour lui injecter le même genre de produit que moi.

- Ami hein ! Tu avais promis ! Tu voulais juste nous livrer à ses merdes depuis le début sale traître !

Stefan passa devant elle et ne se retourna même pas. Il se mit devant la personne qui avait crié les ordres la personne que je pensais être le commandant.

- Maintenant que vous avez les fugitives je veux ma fille !

- C'est ça cause toujours, lui répondit le commandant d'un ton méprisant on ne pouvais plus.

D'un simple claquement de doigt Stefan se retrouva par terre agonisant sur son tapis.

Je compris bien vite, le Conseil voulait juste nous récupérée il n'avait jamais eu pour projet d'honorée leur promesse d'offrir ce dont la personne rêvait. Je me mis à avoir de la compassion pour lui, le vieil homme voulait simplement revoir sa précieuse fille, cela pouvait se comprendre après tout... Et maintenant il se retrouvait presque mort sur son propre tapis sans pour autant être sur de la revoir.

Sur ces pensées je me fis emporter en dehors de la maison puis de la forêt. Nous nous fîmes transporter pendant un temps et je crois avoir été endormie ou quelque chose qui s'en approchait car je me souvenait plus à quel moment nous étions passés du chemin à un souterrain qui emmenait sûrement à des cachots.

Sophitz - TOME  2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant