Chapitre 3

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Je me réveilla en pleurant.

Je ne sait pas pourquoi, mais le stress y était sûrement pour quelque chose, accumuler avec toutes ses incompréhensions...

Dans mes souvenirs la salle de bain était au troisième étages.

Alors je monta les escaliers jusqu'à trouver la bonne pièce. Heureusement celle-ci n'avait pas trop été dégradée. Quelques serviettes et accessoires traînaient par terre, mais l'eau coulait encore par je ne sais quel miracle.

N'ayant pas l'habitude des douches brûlantes, l'eau froide me suffisait largement.

Après une douche bénéfique je pris des affaires d'Edaline. Ma maigreur me faisait peur : je flottais littéralement dans ses robes.

Qu'es ce qu'il y a des ces tiroirs...

Je fouillais dedans et je butas un petit paquet.

- Tiens je ne l'avais pas vu...

J'ouvris la boîte pour y trouver une paires de lentilles bleus.

Mais pourquoi avoir mis des lentilles de couleurs bleus ici alors que Edaline avait déjà les yeux clairs ?

Mais en même temps mon rêve a toujours été d'avoir une autre couleur que ce marron dégueulasse.

Et après 10 minutes a essayé de les mètrent, bah j'avais les yeux bleus. Mais c'était hautement plus déseagréable que ce que j'avais imaginé. 

Au moins faire une journée avec et on verra la suite...

D'ailleurs il se faisait faim et avant de faire quoi que se soit il était préférable de trouvé des choses à manger.

Ce qui est étrange c'est que les placards étaient vides. Tout les placards étaient vides sans aucune exception. Sans la moindre traces d'éventuelle nourriture. Une simple couche de poussière les recouvraient.

- Bon est bien...

Je mis les mains dans les poches de la robes bleue de ma mère quand soudainement je sentis quelque chose à l'intérieur . Un cristal de foyer ou une petite pierre d'une lueur doré en tout cas.

Puis je me fis projeter autre par... N'es pas Foxfire ? Mais alors cette robe n'était pas à Edaline mais à moi. Je me sentais mal dans mes propres vêtements ! Mais quelle horreur ! Après tout je ne m'étais jamais vraiment regardé tout les choses susceptibles d'avoir un reflet étaient détruite : les vitres, les miroirs...

Mais lorsque je vis ma propre image dans la vitre la plus proche de moi je fût le plus horrifier possible. Mes bras étaient trois fois trop maigres, mon tour de taille n'en parlons pas même mes joues creusé faisait plus peur que mes bras... Des cernes de 1 kilomètres de long donnaient à mon visage des couleurs plutôt ternes et violacé...

Es ce que c'est vraiment moi ? Mon visage avait l'air d'avoir pris quelques années mais j'étais plus fine qu'une poupée Barbie dans les Citées Interdites. Une foule d'élèves se dirigea vers l'endroit où je me tenait et mon premier réflexe fût de me cacher dans la pénombre.

Les conversations n'avait pas beaucoup de sens pour moi, mais époque après époque ce qui était sur c'est que le principal sujet des conversations des filles restera : Les Garçons.

- Vous avez vu comment Dean se pavanait au bras de sa nouvelle petite amie en 7eme année... pff et en plus elle se crois trop intéressante... non mais au secours quoi dans une semaine il va la quitter pour sa pote , la rousse là...Bex ou je sais plus quoi...

Bex ? Ça me dit vaguement quelque chose... une chevelure rousse...des tâches de rousseur un peu partout sur un petit visage tout mignon...mais c'est tout.

Quelle étrange situation.

- Ouais j'avoue !

Elles étaient parce qu'elles parlaient sur le dos de quelqu'un.

Odieuses personnes, moi qui est toujours subit des critiques je peux assurément savoir comment on se sent lorsqu'on est au centre de rumeurs qui ne veule pas votre bien...

- Hé les filles... Si je vous dit un secret vous n'aller pas me trahir hein ?

- Bien sur que non Shéalia, c'est fait pour ça des amies !

Donc la brune s'appelait Shéalia et était d'après ce que je peux voir pas très à l'aise avec ses «amies».

La curiosité me retint et je restais là à écouter le secret de cette Shéalia.

C'est peut-être anodin, ça me regardais sûrement pas mais ce fichu instinct me dit de rester encore quelques secondes.

- Comme vous savez mon père travail pour les Conseillés et il a entendu des infos purement confidentiels...

- Vas y raconte !

- Ne fait pas durer le suspens, renchérie une autre.

- Alors voilà, mon père a entendu parler du cas Colibri Lunaire.

- DU CAS COLIBRI LUNAIRE !

Mais c'est moi le Colibri Lunaire ! Les gens me connaissent encore ici, alors. Attend mais ça fait quelques années en vérité que je dormais !

Mais...mais c'est logiquement impossible !

- Arrête de crier Debby ! Tu vas attiré du monde ! Je disais donc :

Mon père a entendu des propos sur le cas Colibri Lunaire et il ce serait échappé du bâtiment de psychiatrie pour les plus fous et les malades mentaux. La partie des cas incurables et des plus dangereux. D'ailleurs il est recherché partout facile à reconnaître avec ses yeux marrons.

C'est ce que le Conseil à dit ce matin devant leurs châteaux respectifs.

Je restas les yeux et la bouche biens grands ouverts pendants pas moins de 10 secondes.

- Mais c'est pas tout il est introuvable !

IL et ça fait deux fois !?

- Mais es ce que tu sais si les Conseillés on dit si c'était une fille ou un garçon ? Après tout ça fait des années que tout le monde voudrait savoir ça... Debby la regardait avec des yeux encore plus gend que moi.

Donc les elfes ne savent pas si je suis une fille ou un mec. C'est presque insultant ! Mais bon il doit bien y avoir une bonne explication à ça. A tout ça d'ailleurs, y'a intérêt.

- Non il ne l'a pas entendu.

- Enfaîte... Comment tu sais ça toi ? Ton père t'as vraiment dit tout ça ? C'est quasi impossible vu qu'il y a des règles hyper strictes et il risque gros pour rien.

- Heu...bah disons qu'hier il est rentré tard et épuisé alors il s'est endormi sur le canapé. Dans la nuit je suis descendu et je l'es entendu parler dans son sommeil.

- Et pourquoi tu es descendue Shéa' il y a quelque chose que tu nous as pas dit par hasard ?

- C'est pas vos affaires ! Elle rougissait comme pas possible.

A partir de là ce ne sont plus mes affaires.

Et je me retourna.

Je crois que j'ai bien fait de porter des lentilles bleues. Aussi désagréables soient-elles.

Fin

Alors les mangues ?

Chapitre de 1175 mots

Et moi qui m'étais dit : "tu fais pas des chapitres au dessus de 1000 mots parce que t'en faisait en général dans les 700...

Bah tant pis hein mais dîtes moi si vous préféré long ou court parce que moi...  je sais pas enfaîte !

Fin
J'avais dis entre 600 et 800 mots..
11
Bah aussi j'avais de l'inspiration...

Biz'R

Sophitz - TOME  2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant