Victoire

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- Albus?
- Oh Gellert... Comment t'ont-ils capturé ?
- Voldemort en personne est venu. Il m'a pris le bras et a transplanné jusqu'à la salle où tu étais. Les mangemorts m'ont torturés. A la fin j'étais à peine conscient. Mais tu venus mon Albus. Tu m'as sauvé...
- Non, on a eu de la chance que tu survive à ta chute. Je n'ai pas réussi à l'empêcher. Je n'ai servis à rien.
- Pas du tout ! Si tu n'étais pas là, je serais mort. Arrête de te rabaisser, tu es parfait.
Albus l'embrasse fougueusement et pose sa main sur le torse de son amant. Gellert grimace de douleur.
- Désolé !
- C'est rien.
Albus lui prend la nuque pour lui redonner un baiser mais cette fois avec un extrême délicatesse. Gellert se laisse faire. Il s'embrassent passionnément et Gellert entoure le directeur de ses bras.
- Professeur Dumbledore ?
Les deux amoureux se séparent, génés d'avoir été surpris dans un moment si intime. Norbert Dragonneau est là, visiblement aussi génés qu'eux de les interrompre.
- Oui Norbert ?
- Désolée de vous déranger. Vous-savez-qui s'est fait immobilisé mais les aurors ont énormément de mal à le maintenir. Il faut que vous veniez les aider !
- Bien, j'arrive.
- Attends moi Albus. Ensemble, on est plus puissants. Je sais que je ne suis pas en grand forme mais je peux encore tenir debout et je vous serrais utile.
Ne laissant pas le choix à Albus, il se lève et suit Norbert. Tous trois arrivent devant des aurors dépassés qui tentent tant bien que mal de contenir Voldemort. Albus prend la main de son compagnon.
- Tu es prêt ?
- Toujours.
Ensemble, ils lèvent leurs baguette dans un mouvement harmonieux. Des flammes, rouges pour Albus et bleues pour Gellert, en sortent. Elles s'entrelacent, dans un puissance innoui. Les aurors s'écartent et le flammes entourent Voldemort. Elles tournoient de plus en plus vite. À la fin, on ne voit qu'un cercle mi-bleu mi-rouge qui émanait la puissance. Le mage noir au milieu tante de se défendre sans succès. Un grand coup de vent conclut et les flammes disparaissent. Il me reste plus rien du sorcier qui avait terrorisé la Grande-Bretagne durant toutes ces années. Tout d'abord, un silence s'abat sur la salle puis les exclamations de joies fusent. On félicite les deux sorciers, on saute de joie... Tout le monde sont conviés à une fête, dans un endroit plus approprié, mais Albus et Gellert déclinent. Ils étaient fatigués et le blond était encore fragile.

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