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On rentre au campus, le soleil se lève petit à petit. Oli n'a fait que de me poser des tas de questions durant le trajet, souvent des questions à la quelle j'avais du mal à y répondre : Tu a bu combien de verre ? Depuis combien de temps j'y étaie ? Qui étais le garçon avec qui j'étais à la fin de la soirée.

Il ouvre la porte de son appartement, il y entre et m'y amène également. Je reste debout sans bouger tandis que lui s'assoie sur une chaise, le dos plaqué contre le dossier, les jambes écarté. Ça se voit qu'il est énerver contre moi, mais pour ma par, je le trouve très mignon.

- " qu'est-ce qui ta pris d'aller là bas, il aurait pu se passer des choses grave "

- " relaxe c'est qu'une boite, et de toute façon tu serait venu me sauver "

- " doit-je te rappeler que je sors de l'hôpital et que pendant se temps tu pare te bourrer la tronche en boite "

Je sourie, il ne fait pas de même.

- " je t'aime "

Il souffle du nez.

- " moi aussi je t'aime mais je pense que tu n'a pas choisie le meilleur moment pour faire tes déclarations "

Qu'il est beau, même énervé il est beau. Je dois être vraiment insupportable à ne rien prendre au sérieux, mais qu'il est beau. Il décide enfin à lever les yeux sur moi, et à bien regarder chaque centimètre de mon corps.

- " déjà, elle est à qui cette robe ? "

- " Joy "

Il prend une pause en la regardant encore.

- " tu compte la garder ? "

- " je sais pas, j'attends ton avis "

Il soupire et refuse de répondre à ma question, mais je le force.

- " aller dit "

- " elle te va très bien "

Je sourie, il a l'air très gêné tout d'un coup, c'est plutôt marrant. Je décide de jouer à se jeux. Je passe mes mains dans mon dos.

- " peu-être qu'elle mirait encore mieux si je ne portait pas ceci "

J'enlève l'agrafe de mon soutif sans bretelle puis le laisse tomber par terre. Oli le fixe puis relève ses yeux sur moi, je trouve ça amusant de le déstabiliser.

- " Non, non commence pas Elisabeth " soupire t-il.

- " oh vraiment ? "

Je m'avance vers lui, il me regarde en bougeant ses yeux, sa tête reste fixe un peu incliné vers le bas. Je me penche un peu vers lui, étant assis sur une chaise alors que je suis debout. Je pose mes mains sur ses joues et l'incline de façon à se que sa tête sois bien fasse à moi. Mon Dieu mais qu'il est beau.

- " tu veux vraiment que j'arrête ? "

Il ne me répond pas. Je décide de pimenter un peu plus ce jeux qui m'amuse. J'agrippe ses mains et les fait naviguer le long de mon corps en partant de mon cou et mes épaules. En passant sur ma poitrine, je le vois prendre une grande inspiration. Je lui fais caresser mon ventre ainsi que mes cuisses.

- " non, arrête ça Eli' "

Ça se voit qu'il ne pense pas à se qu'il dit. Je fait descendre ses mains sur mes genoux puis les fait remonter mais cette fois ci à l'intérieur de ma robe.

- " se serait dommage de s'arrêter en si bon chemin "

Il me regarde avec des yeux un peu perdu, la bouche entrouverte. J'enlève mes mains de ma robe, mais celle de Oli reste collé à mes cuisses.

- " Elisabeth, c'est de la torture se que tu me fait "

- " non, qui t'interdit de faire se que tu veux faire ? "

Il reste toujours bloqué à me regarder. Après quelques minutes de silence, ses mains se mettent enfin à bouger en remontant vers mon entre jambes. Je prend une long inspiration quand je sens ses doigts retirer le tissu de ma peau puis laisse ma culotte tomber le long de mes jambes jusqu'à tomber par terre.

- " bravo monsieur Olivio "

Juste après l'avoir félicité, il pose ses mains derrière mes jambes et les pousse vers lui. Je me retrouve assise sur ses jambes, sans sous-vêtement. Olivio plaque ses mains dans mon cou et approche dangereusement son visage du mien et se met à embrasser mes lèvres, je soupire d'aise, sa langue passe doucement sur la mienne. Je pose mes deux mains sur ses épaules et les descend doucement sur son torse. Il m'aide à enlever sont sweat beige et le jette par terre au même endroit que mon soutien gorge et ma culotte.

- " j'pense pas que se soit une bonne idée " me dit-il entre deux baiser.

- " pourtant tu ne t'arrête pas "

Une répétition de baiser pendant un long instant se prolonge. Ses mains son baladeuse, il se met à caresser mon dos et mes reins puis descend sur mes cuisses afin de pouvoir les remonter mais cette fois ci totalement en contact avec ma peau et non le tissu de ma robe.

- " Putain... ton corps... me donne envie depuis... tellement longtemps " me dit-il saccadé par nos baiser.

Pour me le confirmer, il créé un mouvement afin que je sente son érection, pressée contre mon entre jambes. Ma main descend le long de son torse puis arrive à son entre jambes. En le caressant par dessus son jean, je peux le voir séparer ses lèvres des miennes et me regarder tout en soupirant bruyamment, ça en devenais un sifflement. Je lui sourit tout en continuant mon geste avec un peu plus d'insistance. Il ne me quitte pas mes yeux.

Je fais sauter les boutons de son jean puis ouvre sa braguette en prenant tout me temps. Mon excitation monte. Après ça, je n'hésite pas une seconde à entrer ma main à l'intérieure et de pouvoir continuer mes mouvement avec ma main mais cette fois ci par dessus un simple boxer. Ses mains sont toujours entrain de frotter mes cuisses. C'est plutôt existant de se dire que je ne porte pas de sous-vêtement alors que ses mains ne sont pas loin de mon entre jambes.

Je baisse le tissu de son boxer pour y faire sortir son membre et pouvoir l'agripper de mes propres main. En commençant les va et vient, sa respiration devient de plus en plus saccadé. Il retire une de ses mains de ma cuisses pour la plaquer dans ma nuque. Fasse à sa réaction, je décide d'accélérer le mouvement.

- " putain... " gémit-il.

C'est drôle de le voir dans cette état.

- " tu veux que j'arrête ? " dit-je amusée.

- " non "

- " quoi ? "

- " non Eli' ! " crache t-il.

Ça m'amuse qu'il soit déstabilisé à cause de moi et de mes geste. Son souffle chaud se frotte à mes lèvres. En le regardant, je vois qu'il à fermé ses yeux et que ses sourcil son froncé. J'accélère un peu plus le mouvement. Après quelques secondes, Il pousse un gémissement plus important et rapproche ma tête de la sienne en fessant un mouvement avec sa main posée dans ma nuque. Oli jure en prononçant mon prénom à plusieurs reprises. Il se met enfin à réouvrir les yeux et on se regarde pendant un long moment, avec nos souffle saccadé.


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