6.

182 9 0
                                    

On est dimanche, et comme bon cliché du dimanche, il pleut. J'ai décidée de passé ma journée entièrement seule, quand je me sens mal j'ai pas l'habitude de parler ou d'être avec des gens, j'ai toujours vécu comme sa, dans la solitude. Il est 11 heure, je garde le rythme des cours en mettant un réveil tout les matin, j'ai trop peur que mon horloge interne sois déréglé. Je me suis glisser dans mes draps avec mon livre du moment, " les bêtes sauvages ". Sa parlent d'une famille meurtrière, un père s'appelant Boris Miroslav, un homme grand, musclé, chauve. Sa femme, Assya Miroslav, une femme grande également, très mince avec un teint très pale et des cheveux noir. Ensemble, ils ont eux cinq enfants dont deux jumelles, Olga et Donia, et trois autres garçon pas très présenter dans cette histoire. J'en suis au chapitre 32 sur 78. Pour une fois j'ai abandonnée mes histoire romantique.

J'entend toqué à ma porte, je m'approche de celle-ci en ayant peur de voir le visage de Oli, que veut-il me dire, pourquoi ferrait-il l'effort de venir juste ici ? Mais nan, en ouvrant le porte, je vois Andrea, avec des cernes bleutées. Elle tient dans sa main gauche une bouteille en verre avec une boisson rose orangé.

- " salut "

- " salut, ça va tu n'a pas l'air bien ? " je demande inquiète en voyant sa tête.

- " ouais nan j'crois j'ai un peu trop bu hier " dit-elle me mettant sa tête sur son front "

- " d'accord, bah entre je vais te faire du café "

Elle entre très lentement dans mon appartement, je ne sais pas à quelle heure elle est rentrée hier, mais surement des heures après moi, je me suis endormie il étais 1h du matin. Elle s'intalle dans le canapé tandis que la recouvre d'un petit plaide gris.

- " oh merci beaucoup, j'tai fais du jus pamplemousse abricot " me dit-elle en me donnant la bouteille en verre.

- " oh ouais merci ! " dit-je en souriant.

- " de rien " en s'arrête, puis continu. " ta bien aimée la soirée d'hier ? "

À se moment la, je ne sait pas trop quoi répondre, je me suis un peu ennuyer avec tous se monde d'inconnu, puis cette fameuse discutions d'une minute avec Oli.

- " euh mouais bof et toi ? " dit-je en m'étais la machine à café en route.

- " bah écoute ouais, je m'en souvient pas trop, j'ai vraiment beaucoup bu, j'aurais du faire comme toi "

- " tu aurais moins apprécier la soirée "

- " peu-être mais je serais en parfaite état comme toi, regarde toi, de bonne humeur, fraiche, belle peau dès le matin ! "

- " arrête, je me suis brosser les cheveux et recourbé mes cils, et puis je suis du matin "

- " ah ouais, moi je vient de me réveiller "

- " à 12h30 ? " je demande en lui donnant son café.

- " ouais, merci tes un ange "

Elle prend la tasse et la recouvre de ses mains gelée, elle boit une gorgée puis me pose une question dont j'ai peur d'entendre:

- " ta vu Mathieu hier ? "

Je n'avais même penser une seconde de Mathieu se matin, je ne l'ai presque pas vu hier à la soirée.

- " nan, et toi ? "

- " ouais nan moi non plus, il nous dira demain "

- " en espérant qu'il soit en cours "





Lundi, 8h57, Montpellier

Je m'installe en compagnie d'Andrea dans le plus grand amphis de cette école, il y a au moins 600 personne. On garde une place pour Mathieu, mais celui-ci n'ai toujours pas venu.

- " j'espère qu'il va venir sinon sa devient inquiétant "

- " tes pas aller le voir ? C'est ton voisin ? "

- " non j'y est pas penser " dit-elle en grimaçant.

Je rigole à sa tête, je prend mon sac à main à mes pied et en relevant la tête, je voit de l'autre ranger de l'amphi, Oli, en sweat noir, ça change. Il se tourne et me regarde, en se frottant la barbe. Maintenant il est sûr de savoir que l'ami de long date de son père étais mon père, alors pourquoi continu t-il de me regarder comme sa ?

Je sors mon ordinateur, le pose sur la table et me répète de ne pas penser à lui, mais à force de le dire, je ne fait que de penser à lui.

- " ça va Elizabeth ? Ta l'air nerveuse d'un coup ? "

Je préfère répondre avec de l'humour.

- " c'est parce que j'ai pas bu ton jus, c'est surement sa "

Elle rie, heureusement qu'elle ne me pose pas plus de question.

Après dix minute de cours sur la culture littéraire, la porte s'ouvre rapidement et on aperçois Mathieu, décoiffée, habillé comme hier mais avec son ordinateur sous le bras.

- " euh pardon pour mon retard ! " dit-il essoufflé aux professeur ne comprennent rien.

Je rit, mais qu'est-ce qui se passe ? Andrea fait des grands signes pour qu'il nous repaire dans l'amphi. Il court s'asseoir à la place qu'on lui à gardé.

- " oh merci "

- " mais qu'est-ce qui se passe ? "

- " Je me suis réveillé devant la porte de chez quelqu'un loin d'ici, je sais plus qu'est-ce qui c'est passé "

- " ta voulu dormir chez une meuf mais elle ta recale donc tes rester comme un con devant la porte "

- " ouais surement "

je rit encore une fois, qu'est-ce que l'alcool rend fou. heureusement je ne suis pas addicts à cette drogue.

AddictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant