Addiction

19.

Cela fait maintenant 35 minute que l'écrivain Émilie Liam nous parle de son livre que j'ai adorée lire. Elle nous parle du contexte, comment elle l'a écrit, sa me passionne. Les minutes passe, je ne l'es vois même pas. Je lui pose des questions qui pourrais m'aider pour plus tard. Je sens que c'est sa que je veux faire, écrire des histoires.

Après 1h30 avec l'écrivaine, je sors de l'amphi avec qu'une idée en tête : être écrivaine. C'est la première fois que je suis prête à tout pour l'être, mais j'ai encore plusieurs années à travailler ici.

Il est 12h19, je sors de la salle et me dirige vers l'extérieur pour rejoindre de bâtiments des appartements. Le ciel est totalement bleu, aucun nuage est en vu. Un petit vent frais vient me donner des petits frissons. 

- " Elisabeth ? "

Je reconnais cette voix, sa me fait du bien de l'entendre. Je me retourne et lui sourit.

- " Oui Olivio ? "

Il me sourit puis reste figé à me regarder.

- " Olivio ? Ah personne m'appelle par mon prénom entier "

- " alors je serai la seule " dit-je en souriant.

Il approche son visage du mien et me laisse un simple petit bisous sur mes lèvres. Je sens des petits piques dans mon ventre. Je lève mes yeux sur les siens, il me sourit de toute ses dents. Il est si beau.

- " je me disais... " Il attrape mes deux mains et commence à les balancer légèrement sur les côtés. " ...qu'on pourrait manger ensemble, se midi "

Je sourit.

- " avec plaisir, chez moi ou chez toi ? "

- " nan, dehors "

- " oh... où sa "

- " dans un p'tit café, pas loin "

Je trouve sa super mignon de sa part, ce n'est pas de son habitude. Mais je trouve sa quand même bizarre se changement d'attitude, hier j'avais l'impression qu'il ne me calculait absolument pas et maintenant il veut passer du temps avec moi. De toute façon, ses moments là quand on est que tout les deux est assez rare, alors je décide de ne pas gâcher se moment en lui posant un tas de question inutile qui n'amène à rien. Alors, je le suis en dehors de l'école, passant par des petites rues que je n'avais encore jamais vu. On arrive devant son café, qui est tout sauf un café. Ici on peut acheter des produits qui mettent en rayon puis les manger sur place avec des tables hautes très sympathique.

On s'installe, il y a presque personne.

- " je n'est fait que de te regarder se matin, tu avais l'air émerveillé de voir cette Émilie " dit-il en ouvrant le sachet en plastique de ses couverts.

- " aha, ouais sa fessait longtemps que j'attendais se cour par rapport à son livre "

Je fait mine de rien, alors que quand il me dit qu'il n'a fait que de me regarder se matin, je sens mon cœur sauter.

- " mouais il étais pas ouf "

- " nan tu la lu ? " dit-je étonnée.

J'aurais du mal à croire qu'il l'es lu, vraiment.

- " euh non genre, j'ai lu la quatrième de couverture à la bibliothèque "

Sa sens le mensonge, je le fixe, en levant le sourcil gauche.

- " quoi ? " dit-il en riant.

- " j'te crois pas "

- " et bah me crois pas "