17.

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" Bonjour Maman, j'espère que tu vas bien, moi en tout cas oui et j'espère que ma joie gatte la tienne. Il y a quelque jours j'ai pu enfin découvrir la plage grâce à un camarade de première année qui me fessait une surprise. Je sais pas si tu à eu l'occasion de voir aussi cette merveille de t'es propre yeux, sa m'étonnerait pas. Sinon à la fac tout se passe bien donc pas la peine de s'inquiéter . Oublie jamais que je t'aime.

à bientôt

ta fille, Elisabeth. "



Voilà la deuxième lettre que j'écris pour ma mère, je la plie puis la range dans l'étagère dans ma table de nuit. J'aimerai pas que quelqu'un tombe sur ces message, je ne pourrais pas expliquer pourquoi.

Il est 19 heure, je sors de ma douche après avoir pris bien soins de ma peau avec un gommage, masque, rasage. J'enfile une nuisette en soie blanche et me glisse dans mes draps propre. J'attrape mon livre bientôt fini et commence à me replongé dans l'histoire. Il ne me reste que deux chapitre avant la fin, mais mon téléphone sonne. Je regarde l'écran allumer, c'est un message de Oli.

Oli ! : t'es où ?

Moi : chez moi, pourquoi ?

Oli ! : ah, j'aurais penser que tu serais venu, y'a Andrea et Mathieu pourtant, tes super pote ;)

De quoi il me parle lui ?

Moi : venu où, sois compréhensif quand t'écrit

Oli ! : bah à la soirée

Moi : ah, pas au courant, comment tu les à reconnu mes " super potes " ?

Oli ! : bah tu sais c'est se seul mec qui me regarde comme si j'avais insulter sa mère.

Je rie.

Moi : tes con

Oli ! : tu vient pas ?

Moi : écoute j'suis bien installer dans mon lit à lire mon meilleur bouquin, donc non j'ai la flemme, je vais encore me faire chier.

Oli ! : même si je suis là ?

Moi : j'ai la flemme


Il à l'air vraiment dégouté que je ne sois pas venu, sa me fait rire. Sa ne ressemble pas à Andrea de ne pas me l'avoir dit qu'il y avait une soirée, mais bon c'est pas grave je ne serait quand même pas venu. C'est là que je me demande vraiment pourquoi Mathieu n'aime pas Oli, il me dit clairement que c'est le seul à ne pas le supporter. Si bien, il n'y à pas de raison.
J'ai malheureusement fini de lire mon livre, sa fin ma vraiment bouleverser, Christophe, le petit ami de l'héroïne, tue Asiliz en disant que si elle ne lui appartiendra pas, elle appartiendra à personne d'autre. C'est le permier livre que je lis avec une fin triste.

Il est 23h et mes yeux sont déjà entrain de me piquer, je pose mon livre sur ma table de nuit et éteins la lumière. En plaquant ma tête contre ma coussin pas assez moelleux à mon goût, je ressent un sentiment que je déteste avoir, un mélange de tristesse et de...je sais pas. J'ai comme l'impression de me sentir seule, pas aimée, pas voulu. Dans mon ancien lycée, l'infirmière étais un ancienne sophrologue, alors quand je lui expliquait se sentiment là qui m'arrivait d'avoir beaucoup de fois, elle m'a dit qu'elle comprenait totalement et que c'étais normal pour moi de ressentir sa avec tout se que j'ai vécu. Sa ma fait du bien de lui parler de sa, mais sa na rien changé à ma vie, je me vois et me verrais toute ma vie comme quelqu'un de seule et pas voulu. Je commence à me placé en boule dans mon lit et ferme fort les yeux, j'ai envie que ces petites voix disparaisse. Elle m'a souvent conseiller de faire la paix avec tout sa mais c'est impossible, tout les jours je me lève et pense à sa et tout les soirs en me regardant dans la glace je ne vois que sa : la solitude.

AddictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant