Addiction

13.

Oli ! : tu fais quoi ?

Pourquoi quand je pense à lui, il le sait et fait en sorte que je n'arrête pas, alors que je devrais plus me concentrer dans mes devoirs. Ne réponds pas, ne réponds pas, sinon tu ne vas jamais reussir à finir tes devoirs.
Oui mais si je ne pense qu'a ne pas lui répondre sa n'arrange pas la choses, je ne vais pas être concentré. J'attrape mon téléphone et lui écrit :

Moi : je travail, pourquoi ?

J'essaye de faire en sorte de ne pas lui posé trop de question, j'ai quand même envie de finir tous se travail.

Oli ! : Je m'ennuie, j'avais envie de te parler

Moi : c'est vrai que je peux vachement arranger ton ennuie

Oli ! : oui

Non Elizabeth, arrête et dit lui que t'es occupé, il comprendra.

Oui mais tu pourra les reprendre après avoir parler avec lui, il est quand même plus compréhensif que tes deux amis qui ne prenne aucune nouvelle de toi.

Compréhensif de quoi ce n'est qu'un mec minable.

Aujourd'hui tu na pensée même pas une seconde sa de lui.

Oui mais je le devrais.

Qu'est-ce qu'il a de minable, il vient de m'envoyer un message car il veut me parler.

Mouais parce qu'il se fait chier.

Oui mais je suis la première personne à qui il a pensée c'est mignon.

T'es déprimer ou quoi ? Travaille !

... Voici une discussion Cœur/Tête que je déteste. Ils ont tout les deux raisons, et je suis perdu. C'est comme si j'avais deux personnalités, une qui pense pour elle, et l'autre qui pense pour les autres.

Moi: écoute c'est pas contre toi mais je suis super occupé

Oli !:   :(

Moi: Je fini dans pas longtemps

Oli ! :    :)

Un vrai gamin, mais j'ai sourit. Je pose mon téléphone et me met vraiment à travailler, en vérité j'ai loin d'avoir fini, je dois répondre à des questions sur trois textes puis faire une dissertation. Pourquoi lui ne fait rien ?

Au bout de 25 minute, j'abandonne et me dit qu'après manger j'aurais le temps de finir. Mais je sais très bien que j'aurais la flemme.

Moi : j'ai finis ! J'espère que je ne t'es pas fait attendre trop longtemps.

Je range mon téléphone dans la poche arrière de mon pantalon et me dirige vers ma cuisine pour commencer à me faire à manger. Rien à voir avec un plat gastronomique, la cuisine d'étudiant se résume à réchauffer des plats au micro-onde et des pâtes.

Oli ! : si t'abuse

Je sourit, je m'en rend même pas compte.

Moi : excusez-moi monsieur mais je travaillais

Oli ! : Sa sert à rien

Moi : bien sûr que si, tu veux faire quoi après les études ?

Oli ! : tu veux pas changer de discussion ?

Oula, qu'est-ce qu'il à ?

Moi : Pourquoi ?

Oli ! : et toi, tu veux faire quoi après les études ?

Moi : plus tard j'aimerais bien être écrivaine, alors faire le tour du monde pour avoir de l'inspiration !

Oli ! : je pourrais me glisser dans ta valise ?

Moi : que si tes sage.

Je me suis même pas rendu compte que mon plat est devenu tiède. Je met de côté mon téléphone pour éviter d'en devenir vraiment obsédé.

22h19

Mes yeux se glisse entre ces mots, chapitre 26, pages 287, " sans moi tu n'est rien " cette phrase me tue de l'intérieur. Je li un livre qu'on va étudier dans quelques jours, c'est une première pour cette école, c'est un livre plutôt récent qui parle d'une relation toxique. On l'étudie pour " mieux explorer les émotions " . Dedans on suit la relation de Asiliz une journaliste et Christophe, un perver narcissique. J'adore les histoires d'amour et de sentiments, mais celle-ci me fou la trouille. Encore heureuse que cette histoire sois inventée, le cauchemar est ranger dans ces pages.
J'ai l'ai acheter dans une librairie y'a deux jours, et je l'ai déjà bientôt fini. On s'attache énormément au personnage c'est pour sa qu'on a du mal à s'arrêter, pour moi personnellement. Je me demande si Oli est aussi entrain de le lire, sa m'étonnerais, déjà rien que de l'acheter serait surprenant, après si bien c'est un grand fan de lecture...ouais non je pense pas.

Aujourd'hui, je passe toute ma journée avec Andrea, apparemment Mathieu ne se sens pas bien, donc il a préféré rester dans son apparts.

- " ah j'ai l'impression que sa fait une éternité qu'on c'est pas vu " dit-elle en s'asseyant dans l'amphi à côté de moi.

- " ouais et... "

- " on devrait grave aller toute les deux en boîte ! "

What ? Pourquoi ? Et pourquoi tu pense à sa maintenant ?

- " euh ouais ? " dit-je avec une envie pas du tout réciproque à la sienne.

- " ouais genre y'a deux boîte de nuit pas très loin d'ici, y'a le macumba, une boîte plutôt calme ou la plus part des gens vienne pour s'amuser et sinon l'autre s'appelle Le Fizz et cela c'est tout le contraire, tu vient la bas pour le défoncée la gueule "

Mmm déjà que le concept de boîte de nuit ne m'intéresse pas alors si j'ai le choix entre gentil et abusé sa va être difficile. J'aimerais bien lui faire plaisir et d'y aller avec elle mais sa m'intéresse vraiment pas. À quoi sa sert de vouloir aller dans un endroit rempli d'inconnus qui te veulent du bien ou pas tu sais pas et de savoir que le lendemain tu ne va pas assumer ta tête et le nombre d'argent que tu a perdu.

- " t'y est déjà aller ? " je lui demande.

- " non, sa pourrait être drôle d'y aller un jour toute les deux, ou avec Mathieu "

- " ouais, j'suis pas trop chaud "

- " bah ouais mais pour s'amuser un peu, tu fais rien de ta vie j'ai l'impression "

Merci. Détrompe toi, j'adore ma vie sans être narcissique, qu'elle bonheur de se glisser sous les draps chaud et de lire toute la soirée, voir la journée complet. J'aimerai que Andréa comprenne que faire la fête ne signifie pas à tout le monde que c'est un plaisir intense.

- " c'est sûr que d'aller en boîte de nuit sa va énormément animé ma vie "

- " tu sais juste pas faire la fête "

Putain mais qu'est-ce qu'elle à ? je suis différente de toi mais c'est pas la peine de me faire comprendre que je suis bizarre. " tu sais juste pas faire la fête " et alors ? Cette phrase me rappelle une de Oli, " tu n'est pas comme eux et tu le serra jamais ". Maintenant j'ai comme l'impression qu'il ne me la jamais dit, aujourd'hui il se comporte comme un ange avec moi, j'adore l'entendre me parler, j'aime le voir, mais il y a quelque semaine il me parlait mal, de mon point de vue.