5.

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- " je connais ton père "

- " impossible "

À quoi il joue ? Se n'est vraiment pas drôles d'inventé des mensonges, surtout à moi dans se sujets là. Il ne sait rien de moi, pourquoi dire qu'il connais mon père ? Sa n'a aucune sens.

- " Éric Marlène " il marque une pause en enlevant la cendre morte du balcon. " grand chanteur de Toulouse "

Éric Marlène, Éric Marlène, Éric Marlène, Éric Marlène, Éric Marlène... ces mots résonne dans moi tête. C'est impossible je ne peut pas croire. Je ne veut plus que se " chanteur " fasse parti de ma vie, je veut que personne sache qu'il est mon père, je ne veut plus, je ne veut plus, je ne peut pas, je ne peut plus.

- " écoute Oli, on a peu-être lui et moi le même nom de famille mais cela ne signifie pas qu'on soit de la même famille "

Je ne peut plus, je n'en peut plus. Pourquoi se fumeur hideux se mêle de chose qui ne lui concerne pas ?

- " ah ouais ? et la même petite tache sous l'oeil droit ne signifie rien ? Et le même oeil gauche un peu plus claire que l'autre sa ne signifie rien non plus ? "

Je me dégoute, j'ai malheureusement beaucoup de mon père en moi. Je n'en veut plus de lui. Je veut qu'il disparaitre. Je veut m'en aller, mais je me sens comme bloqué par ma curiosité. Pourquoi sait-il sa ? Comment sait-il sa ?

- " tu comprend pourquoi j'te regardais ? " dit-il en échappant la fumée de ses poumons.

Il me regarde avec un regard si noir, sa me terrifie, puis retourne regarder les lumières de cette ville qui ne dors pas.

Comment il peu s'avoir tous sa ? Je sens mon nez commencé à me piquée, se qui signifie que je ne vais pas tardé à pleurer. Je n'ai aucune envie de lui montrée ma faillibilité. Alors j'abandonne.

- " comment tu sais sa ? "

- " il suffit de te regarder "

- " non comment tu connais mon père " dit-je d'un ton plus enervé

- " oh c'est ton père ? tu ma dit l'inverse y'a deux minute "

- " arrête "

- " mon père et lui son des amis de long date, il est chanteur aussi "

Je le regarde avec des yeux rouges, je suis détruite mais aussi curieuse. Je lui fait comprendre que je veut plus d'information.

- " quoi ? "

- " tu connais mieux mon père que sa propre fille, et tu croit vraiment que sa me suffit ? "

- " c'est pas à moi de te dire tous sa, si tu veut je peut trouvé son numéro "

- " NON ! " dit-je rapidement sans réfléchir.

Une larmes longe ma joue.

- " ok ok... " murmure-t-il

Ses deux dernier mot me font un sentiment bizarre, se n'ai pas du tout de son habitude d'oublier sa fierté. Il fini sa cigarette en la raclant sur la rembarre puis la jette du balcon. Il se retourne puis rentre dans l'apparts, sans me regarder, comme si je n'exister plus. Je commence à ne pas être bien, ma tête me tape fort, mes cuisse diminue de force, j'ai mal à la nuque. Je commence à pleurer, beaucoup. Et dire que je pensée passé une bonne soirée, il y a toujours une merde.

Amis de long date ? pourquoi ? comment ? Lui a t-il parlé de moi ? Pourquoi lui sait qu'il est mon père alors que dans des journaux Toulousain il dit clairement sans honte qu'il n'a pas d'enfant ? Et pourquoi lui ? Pourquoi Oli ? Andrea me dirait surement que c'est la destin, mais moi sa ne me fait pas rire. En parlant d'Andrea, serait-il le temps de tout lui avouer sur mon enfance ? Non j'ai pas envie qu'elle me voit comme la fille au passé douloureux et que pour lui parlé on doit réfléchir trois quart d'heure pour pas dire une connerie. Mais en même temps c'est mon amie. Amie depuis moins d'une semaine je sais mais, avec Mathieu c'est la seule à qui je peut faire confiance. Même si au lycée j'ai fait l'erreur de faire confiance à un garçon et sa c'est mal fini... Andrea je pense qu'elle comprendrais. Mais j'ai peur, je n'ai pas dit à beaucoup de gens tous sa, pour une personne " normal " c'est ne rien de dire sa, mais il faut le vivre pour comprendre que c'est dure.

Je respire plus lentement et j'essaye de me calmer. Mais comment ? Comment je peux me calmer quand aujourd'hui a 21 ans je ne sache presque rien de mes parents et qu'un inconnu fumeur et " je n'essaye pas de te comprendre " arrive et me dit qu'il connais tout aussi rapidement et facilement. Arrête et calme toi me dit-je.

Ma main commence à virée sur le violet à cause du froid, mais je ne sens même pas le faite qu'il fasse froid, très froid. Pour ne pas trop être malade demain, je préfère rentrée, et même rentrée chez moi. Je nage dans la foule, mon corps collé au siens, sa me rappelle le dernier jour où j'ai vu mon père, arrête Élisabeth ! je sens une main sur mon épaule, je me retourne, j'ai peur que se soit lui. Mais rassuré, c'est Andrea.

- " qu'est-ce que tu fait, mon dieu tes gelée ! " dit-elle inquiète mais aussi un peu sous.

- " je m'en vais "

- " oh bah non reste avec nous "

- " nan vraiment lâche moi ! dit-je énerver

Elle me regarde, d'un air surpris et même blesser, merde. Elle me lâche le bras et continu à me regarder l'air inquiete. J'ouvre la porte et cours pour rentrée chez moi.

AddictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant