chapitre8

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Un mois était passé et c'était toujours  le même rituel, le sport, l'école, mes rv  .
Mais surtout il y avait ce jeune qui devenait de plus en plus audacieux,,  et le plus souvent j'évitais de répondre à ces provocations,  mais lorsqu'il en abusait,  il payait les pots cassés , il avait toujours ce sourire qui me faisait bouilloner de l'intérieur... Vraiment ce petit me suprend de jour en jour.  Enfin breff !!

Comme dhab vers 6h du mat, je mets ma tenu de sport , et part faire du footing et arrivé à la plage je prend un bain , je constacte qu'il y avait un homme qui lui aussi était venu faire du sport, mais je n'y prétais pas attention !! Après avoir fini, je me r'habille et prend le chemin du retour ! Arrivé à la maison ,je me douche, m'habille (jean déchiré, body longue manche  rose et All rose  ), je me fait un petit dej et après je part à l'arrêt, il y avait toujours le petit. Dans le bus il s'assoit à côté de moi,

Le jeune (Sourire aux lèvres ) :  bonjour !!

Moi:......

Jeune: tu es devenu muette maintenant ??

Moi:......

Jeune :  Owéé !! Je te parle la? T'a plus de langue ou quoi ?

Moi: je ne c'est pas ce qui me retient de ne pas de mettre une....

Jeune: parce que tu m'aime

A l'école, je revois  la fille au KO direct, elle avait une plâtre au cou et à la main droite, elle était toute furieuse en me voyant , je lui lance un petit sourire et part en salle.

A la fin des cours, je passe chez  mame Mamadou et mame Sokhna,, on discute un peu puis je leur dis qu'aujourd'hui j'allais pas passé la journée avec eux parce que ma mère devrait rentré plutôt , on se dit au revoir et je leur remet une enveloppe.

A l'arrêt, il y avait beaucoup d'élèves qui attendaient le bus,, certains me regardaient et d'autres se déplaçaient à mon arrivé ,  de l'autre côté j'aperçois le petit qui venais vers moi, je détourne le regard ! Il se mets  à côté de moi, certains élèves  le regardaient de manière étonnée mais  il n'y prête pas attention .

Jeune:  Pourquoi tu leur fais croire ce que tu n'est pas, tu leur montre un faux visage, ils te regardent comme une criminelle et te fuit comme une peste. T'es pas quelqu'une de brûtale, ni agressif . Trop penser à se que les autres pense de nous risque de changer ce que nous pensons de nous même .Sois toi même, ne laisse pas les autres te juger sans te connaître.

Moi:........

Lui: La colère nous dicte  nos geste, la haine dirige notre penser, seul le coeur peut nous faire voir la réalité.Les problèmes ne se résous pas par le silence.

Entendre ces mots on réveiller en moi la douleur la plus atroce, pensé à ce bonheur du passé, une jeune  fille heureuse, comblée d'amour qui ne savais que sourire ,et qui avait pleines d'ambitions mais tous ceci n'était qu'un rêve, le malheur et  la souffrance ont  tout détruit à leur passage et y ont installé  la haine, le dégoût, le regret. La fille timide à était transformée en une  monstre qui se nourrie de la vengeance et le malheur des autres.

Lui:  La haine nous rend non seulement aveugle et sourd mais incroyablement bête, ne le laisse pas te contrôler. Rien n'est plus beau que le sourire, nul remède n'est meilleur que celui de se confier. Tu n'est pas né en haïssant les autres, mais tu est né avec un sourire, un cri de joie, tes première mots ont  fait du bonheur à tes parents, leur sourire t'on permis de grandir et d'aimer. Tu es né avec un coeur mais les circonstances désastreux te font penser le contraire.  

J'avais les larmes aux yeux  , ma gorge se nouée, je respiré à grand coup ,la colère me montée de plus en plus.

Lui:  Même la blessure la plus profonde ce cicatrice alors laisse ton coeur aller à la rencontre des autres, libère toi de se fardo. La vie n'est fait.....

Lorsque j'entendi le nom de père, mon coeur batté d'un d'un rythme fort, j'arrivais plus à me contrôler, je respirais mal, ma gorge se noué de plus en plus mes larme ne cesser tomber, j'avais une vue floue, je repenser à ce bonheur perdu , je voulais crié pour le faire taire  mais aucun son ne sort de ma bouche alors je fait un geste dont j'ignore .

J 'entend un bruit qui me  fît frissonné , puis des cris s'élevèrent, des élèves qui couraient de partout  , un jeune allongé sur la route, baignant  dans son sang, une voirture gris à ces côté,  des pleurs se font entendre de partout, j'étais immobile et fixais se corps par  terre, ce visage mettait si familier, la personne essayait d'articuler un mots ''' .    je respirais de plus en plus vite,  je sentis mes jambes me lacher et là.................. c'était le noir.

L'AMOUR PEUT NOUS CHANGEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant