◾▪️Homosexuel▪️◾ [TaeKook]

Interlude II

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H

ello ! Il y a des chances que vous ne saisissiez pas tout de suite ce qui se passe et c'est le but, donc décrochez pas dès le départ, je pense que ce que vous apprendrez dans ce chapitre vous aidera à mieux comprendre les agissements de certains personnages.

Sur ce, bonne lecture ^^

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Un mois et demi plus tôt

Je me fais sortir de mon sommeil par le son détestable, mais pour le moins efficace de mon alarme. Allant à tâtons, ma main finit par rejoindre le petit appareil blanc où je m'empresse d'enfoncer le bouton rectangulaire pour le faire taire. Instantanément, le silence remplit la pièce où je me trouve et péniblement, je rabats la couverture loin de mon corps.

L'air frais me fait frissonner et je ne me laisse pas le temps de réfléchir avec le risque de vouloir retourner dans cette chaleur agréable qu'est mon lit. Je me lève après peu sur mes deux jambes et m'avance vers la salle de bain, laissant derrière moi le rêve d'un future différent que j'aurais aimé avoir.

Une bonne vingtaine de minutes plus tard et je me retrouve fraîchement lavée et habillée pour descendre en séjour. Mes pieds, chaussés de confortable chaussons, me portent après avoir traversée le salon, en cuisine. Une pièce fermée, mais tout de même spacieuse et grande pour se permettre de manger sur l'îlot centrale. Je passe à côté de l'homme qui se trouve être mon mari, accommodé à l'îlot et sirotant son café noir, tout en travaillant sur son ordinateur.

Et comme une habitude désormais, une fois remarquée, il m'offre un sourire agréable et attrape ma main pour venir y déposer un petit baiser à son dos.

— Bonjour toi, me dit-il tendrement.

— Bonjour, soufflé-je, avant de m'assoir à ses côtés, nous retrouvant donc les deux proches du même coin de l'îlot.

Mon regard fade se pose sur les nombreux petits plats préparés avec les soins de la femme de maison. Bien que délicieux, se faire toujours tout servir sur un plateau d'argent en devient lassant.

— Ton fils n'est pas rentré cette nuit, encore, me prévient mon mari. Il faudrait que tu l'éduques un peu mieux, ajout-il toujours d'une voix calme, bien qu'avec quelques reproches.

— Je fais de mon mieux pour lui donner une éducation meilleure que celle que j'ai pue avoir, DongMin. Et puis, il s'agit également de ton enfant, te ferais-je remarquer, lui répondis-je de ma voix habituellement terne.