Je suis désolé...{Tome 1} (En Correction)

Chapitre XVI

_Je vais à la douche, je déclarais.

Je me levai pour aller dans la salle de bain, laissant la porte grande ouverte. J'ouvris l'eau chaude, avant d'entrer dans la douche. L'eau ruisselait sur ma peau meurtri, détendant mes muscles et me laissant échapper un soupir d'aise. Un sourire se forma sur mes lèvres lorsque des bras m'entourèrent. Je me retournais face à Keigo, il avait les joues complètement rouge et son regard se faisait fuyant. L'eau ruisselait sur nos deux corps, je remis une de ses mèches blondes derrière son oreille.

_C'est..., souffla le blond, c'est la première fois qu'on prends notre douche ensemble...

Je relevai doucement son menton pour l'embrasser tendrement. Il passa ses bras autour de ma nuque, collant son corps contre le mien. Je relâchais ses lèvres, lui faisant un petit sourire.

_Tu veux que je te frotte le dos ? Je lui proposai.

Le héros hocha timidement la tête en me tournant le dos. J'attrapai le gel douche, en faisant coulé dans mes mains avant de les passer sur le bas de son dos, remontant lentement. Je savonnais sa peau entre ses ailes, du moins ce qu'il en restait étant donné que toutes ses plumes étaient éparpillés dans la chambre. Je le vis frissonner sous mes doigts alors que je commençais à massé ses épaules doucement. Je le sentais se détendre alors qu'il soupirai d'aise sous mes massages. Je passais mes mains sur son torse, le surprenant un peu, commençant à lentement caressé sa peau. Je dessinais des cercles autour de ses tétons, le faisant tremblé alors que ses lèvres s'entrouvraient pour laisser passer son souffle qui s'accélérait. Je me collais à son dos, mordillant doucement son lobe d'oreilles alors que je caressai délicatement son ventre avant de descendre juste au dessus de son pubis. Je l'entendis lâché un petit soupir, me faisant sourire.

_Tu veux que j'aille plus bas? Je lui murmurais à l'oreille.

Il hocha doucement la tête, haletant. Ma main s'aventura donc sur son intimité. Il s'appuya contre la paroi de la douche en respirant plus fort, tandis que je caressai lentement son membre qui s'éveillait à mon touché. Mes lèvres passèrent sur son cou avant de remonter vers sa mâchoire alors que de petits gémissements sortaient d'entre les siennes. Il tressailli en sentant mon érection contre le bas de son dos alors que je commençais à exercer des vas et viens sur son sexe.

_Touya, souffla t-il.

_Oui petit oiseau ?

_S'il te plaît...

Il me regarda dans les yeux, faisant raté quelque battements à mon cœur. Je relâchai son membre avant de plaqué contre le mur en l'embrassant. J'agrippais ses cuisses pour le soulever avant qu'il ne les enroules autour de mon bassin, passant ses bras autour de mon cou. Je le pénétrai doucement ne pouvant plus attendre ni l'un ni l'autre. Il gémit contre mes lèvres en plantant ses ongles dans ma peau. Je mis fin au baisé, nous permettant de reprendre un peu notre souffle. Keigo nicha sa tête contre mon cou, y déposant quelques baisers en caressant mes cheveux. Il releva son visage, plongeant son regard dans le mien avant d'onduler son bassin en se mordant la lèvre inférieure. J'embrassai son cou avant de remonter un peu ses cuisses contre mes hanches, bougeant doucement en lui. Ses petits gémissements m'encourageaient à accélérer le rythme ma peau claquant contre la sienne tandis que je lâchai des grognements. L'eau ruisselait sur nos corps qui ne formaient plus qu'un, nos peau glissant l'une contre l'autre alors que des mèches de cheveux tombait sur nos front.

Je pris ses lèvres dans un baisé mêlant passion et amour, étouffant nos bruits obscène. Le blond griffa le haut de mon dos sous le plaisir, faisant tout de même attention à mes cicatrices. Je mis fin au baisé, nos souffle se mélangeant tout comme nos gémissement, accélérant à nouveau la cadence. L'entendre prononcé mon prénom au milieu de toutes cette mélodie de luxure m'excitait au plus haut point. Je touchais son point sensible, ses gémissements se transformant en cri de pure extase. Je regardais attentivement son visage qui était à la fois si innocent et un appel à la luxure. Je mordis son épaule, la marquant à coups de crocs, sous son cri qui m'annonçait qu'il n'allait pas tarder à craquer. Je me sentais venir aussi, alors dans une énième série de vas et viens, on s'offrit à la jouissance du plaisir charnel. Je reprenais mon souffle en me retirant, je relâchais ses cuisses. Je le rattrapais juste avant qu'il ne tombe, ses jambes tremblaient. Son souffle était haletant alors qu'il s'appuyait sur moi, ses yeux papillonnaient tandis que je déposais des baisers sur sa joue.