Partie 1 : Perdus Dans un Monde Cruel

9-Trahisons

Avant de lire le chapitre j'ai une question à vous poser. Même si il n'y a pas beaucoup de commentaire (il n'y en a pas x)), j'aimerai que cette fois-ci vous en écriviez un car j'ai envie de connaitre votre avis sur la question suivante :

Est ce qu'un chapitre sur l'histoire de notre cher Tariel Erth vous intéresserait ? 

Voilà, voilà c'est tout ce que j'avais à vous dire, je remercie d'avance ceux qui répondront à ma question ^^

Bonne lecture, j'espère que ce chapitre et les suivants vous plairont :)

Si des choses ne vont plaisent pas, dites le moi :)

PDV Tariel Erth 

Le soleil se levait, une nouvelle journée de merde débutait dans ce monde de merde, ça en est même un peu poétique... Je me levai de mon lit et me retournai vers Mikasa qui était déjà réveillée, je pris naturellement de ses nouvelles.

Tariel Erth : Besoin de quelque chose ?

Mikasa : J'ai... J'ai besoin de faire mes commissions.

Tariel Erth : Je ne peux pas me permettre de te détacher, ce serait trop risqué.

Mikasa : Sauf que j'aurai du mal à me retenir... Et tu vois bien que dans mon sale état je ne pourrai pas faire grand chose... En plus je ne sais même pas où est-ce que nous sommes...

La situation était assez embarrassante... Mais bon elle n'avait pas tort... Alors d'une humeur joyeuse je la détachai et la fis se lever de sa chaise. Elle était dans un état... déplorable... Elle était toute pale et avait perdu du poids, comment a t-elle fait en seulement une journée ? En plus je la nourrissais correctement. J'avais l'impression d'être un rhumatologue qui transportait un squelette avec lui.

Tariel Erth : Ça va, t'arrives à marcher ?

Mikasa : Oui ça peut aller, merci. 

Je lui avais trouvé un petit coin où elle pouvait faire ce qu'elle devait faire. 

Tariel Erth : Je te laisse cinq minutes.

Je lui offris tout de même cette intimité en tournant le dos mais en gardant les oreilles à l'affut.. D'habitude ça ne se passe jamais comme ça avec mes prisonniers, quand ils ont ce genre d'envie, je leur dis soit de se retenir soit de se lâcher sur leur chaise. Mais là, étonnamment, j'ai été épris de gentillesse. 

Cinq minutes s'écoulèrent.

Tariel Erth : Je pensais que tu allais t'enfuir. Je suis surpris.

Mikasa : Pour aller où ? Et si tu te doutais de ça, pourquoi m'as-tu accordé ce moment ?

Tariel Erth : Je ne sais pas, peut être que je suis un peu idiot sur les bords va savoir. Bon allez on rentre.

Soudain elle s'arrêta devant un banc offrant une vue sur un petit lac et me regarda 

Mikasa : Ça fait plus d'une journée que je suis cloitrée dans ce trou à rat qui me sert de cellule. Je peux un peu profiter de cette matinée avant d'y retourner ?

Et moi comme un idiot...

Tariel Erth : Euh... Oui... si tu le désires tant.

... je lui offris cette faveur..