Je papillonne des yeux. Je respire ? J'ai l'impression... J'ouvre lentement les yeux et essaie de m'habituer à la lumière. Toute la pièce est immaculé de blanc. Une perfusion est attaché à un de mes bras, j'ai aussi un appareil respiratoire sur la bouche. Je suis donc à l'hôpital. Il n'y a personne autour de moi. J'appuie sur un bouton rouge avec le peu de force que j'ai, quelques secondes après un homme vêtu de blanc vient vers moi.
- Bon retour parmi nous.
Il s'approche de moi avec son carnet dans la main. Il vérifie mon poul, ma respiration et teste le réflexe de mes pupilles. J'ai l'habitude de ce genre de banalité. Il enlève lentement la machine qui me permet de respirer et je reprends de moi même le contrôle de mon corps.
- Bonjour.
Je cligne des yeux et fais un signe de la tête je suis encore toute abasourdie.
- Tu sais comment tu t'appelles.
- K...Kim.ie. Su..Ga..Wa..ra...
- C'est normal que ta voix sois faible, tu t'es épuisé après l'incident. Tu te souviens de ce qu'il s'est passé ?
J'hoche la tête pour affirmer.
- Tu sais en quelle année sommes nous.
J'hoche la tête et dis l'année à laquelle nous nous trouvons.
- Tu n'as dormis qu'un seul jour, mais ça à suffit pour te mettre K-O. Tu vas rester ici plusieurs jours en observation bien que tu te sois stabilisé après ton entrée à l'hôpital. J'ai lu ton dossier médical, je ne comprends pas pourquoi tu as fais une si grosse crise d'un coup. Ton frère m'a affirmer que tu prenais tes médicaments, que tu restais calme, que tu n'assistais pas à des activités physiques.
Je ferme les yeux pour l'écouter.
- Je t'ai fait passer quelques radios pour voir l'état de tes poumons et une prise de sang. J'attends les résultats.
J'hoche lentement la tête.
- Je vais appeler ta famille pour les mettre au courant, ton téléphone est juste là si tu veux prévenir des proches.
Il ressort, je laisse mes yeux clos. Je tente de regagner de la force. J'ai atrocement faim cependant. Il se passe une bonne demi-heure avant qu'enfin je n'ose bouger. J'attrape mon téléphone avec lourdeur et le déverrouille. J'ai plusieurs messages, deux de ma mère, un de mon frère, trois de Kuroo, deux de Tobio et deux de Nôya.
Je laisse ma tête tomber en arrière et commence à pleurer. Je me souviens précisément des visages d'Oikawa, de Tobio et de Kôshi lors de ma crise. Ils étaient effrayé... Je ne sais même pas dans quel état se trouvait Nôya, juste son cri me revient en mémoire. Je suis responsable de ça... Honnêteté ? Tu parles Kimie... Du vent. J'ouvre les messages de ma mère elle me demande de lui envoyer un message dès mon réveil.
" De : Kuroo.
- Alors ce match contre AobaJosai ?
- J'ai entendu que quelqu'un s'est évanoui dans le hall de votre gymnase ça va ?!
- Oh la reporter ?! C'est de toi dont-ils parlent à la télé ?! Ils ne montrent pas de photo et ne disent aucuns noms ?!"
Je souris.
" A : Kuroo.
- Je viens de me réveiller. On a perdu contre AobaJosai après trois set à plus de trente points. Je suis à l'hôpital effectivement."
J'appuie sur envoyer et ouvre les message de Kageyama.
" De ; Tobio :)
- Appelle quand tu es réveillé.
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Reporter ! (Kageyama x OC)
FanfictionHistoire Terminé ! --- - Kimie... Pourquoi n'avoir rien dit ? - Pour que les gens n'ai pas pitié de moi Tobio... Puis après tout Kimie signifie la "femme au secret", mes parents ont bien choisis hein. Il ne sourit pas, sa main rencontre la mienne s...