«Tout chAngement demande dEs sacrifices et La paIx des autres engendrA toujours une destruction chez les uns [...] Toute bonne chose a forcément un prix» Extrait de l'ouvrage "L'Homme-Humain" de l'écrivain Tayo Tirinta Store.
---------------------------------------------------------— Franchement, je n'ai pas que ça à faire alors ! Dit Lion, l'homme qui entra dans la piece en éclairant avec sa lampe torche les élèves assis à même le sol pour vérifier s'il y avait un souci mais tout semblait normal ... Sagesse se réfugia derrière la porte d'entrée; elle vit sa vie défiler devant elle car la moindre erreur pouvait lui coûter cher. Au moment où Lion devait se retourner pour inspecter la pièce, Nobel secoua ses menottes puis leva l'indexe ...
— Hum ! Ah oui, tu veux aller te soulager !? Hum ta morphologie, c'est toi le jeune garçon du groupe n'est ce pas ? Allons, je vais m'occuper personnellement de toi mon beau, dit Lion en avançant de près pour mieux éclairer. Lion prit Nobel qu'il conduit en dehors de la pièce.
Arrivé dans le couloir, Lion demanda à Lys d'aller inspecter les menottes des prisonniers dans les deux pièces sans trop s'approcher des filles en attendant qu'il revienne.«Je vais le faire dans dix minutes pfff ! C'est moi qui fait tout ici, je dois aussi aller chercher le patron en plus de ça » dit Lys en mettant ses écouteurs ; pendant ce temps, Sagesse en profite pour retourner rapidement dans sa pièce.
Arrivés au toilette, sombre dégageant une odeur nauséabonde; on pouvait voir les insectes entourant de la merde lorsque Lion éclairait avec sa lampe.
— Alors vas-y jeune homme, tu peux te soulager, dit Lion en fixant Nobel dans les yeux; Nobel voulait bien que se dernier se retourne pour pouvoir retirer son habit mais Lion semblait bien vouloir assister à la scène ... Être qu'à deux dans une pièce avec un homme peut-être pervers coupa l'envie d'uriner à Nobel, des doutes sur son orientation, peut-être qu'en sortant son dard, Lion aurait une envie soudaine de pervers. Les pensées de Nobel s'entremêlaient ...
— Alors quoi !? Tu n'as plus envie se faire mixtion ? Vas-y mon beau, redit Lion en caressant la tête de Nobel mais Nobel ne bougea pas ... Prit de rage, Lion frappa Nobel à la tête; «Alors qu'est ce qui te prends, tu m'as fait déplacer pour rien c'est cela !? Tu ne veux pas réagir ? Ça ne fait rien, j'aime bien les garçons têtus de ton genre; tu as fait ça pour m'attirer n'est ce pas » dit Lion en déshabillant Nobel ... Par peur, pa pression et panique, Nobel pissa dans son pantalon sans le vouloir.
— Ah voilà, c'était facilement et pourtant mon petit, tu l'as finalement fait dans ton froc, maintenant nous pouvons repartir, dit Lion en faisant à Nobel une bise à la joue avec un petit sourire moqueur.De l'autre côté dans le couloir, «Natondisami na mawa na motema na ngayi eh ... Natondisami na mawa na mabanzo na nga eh ... Charly pourquoi otie nga na pourtour
Ya ba amoureux déçus ? ... Ko ko ko ko Ko ko ko oooooooooooo ... Nakomi kotala ... lisano ya bolingo na mosika eh ... Lokola nayebi hum kolinga te !»
(Suis remplie de tristesse au Coeur ... Suis remplie de tristesse dans mes pensées ... Charly pourquoi tu m’as mise dans le pourtour
des amoureux déçus? ... Toc toc toc toc toc toc toc oooooooooooo ... Je contemple le jeu d’amour au loin
comme si je ne sais pas aimer) chantait Lys dans le couloir avec son baladeur ...— Cette chanson ! Et cette manière de chanter ! Dit Nyvie en ayant un visage effrayé et stupéfait ...
— Qu'est-ce qu'il y'a, tu l'as connais ?
— Oui c'est "ko-ko-ko" de Fally Ipupa, un chanteur de Koffi Olomidé, ce qui m'étonne, c'est cette manière de chanter, il chante comme ...
— Comme qui !?
— Non ça va, je me trompe sûrement, je me trompe sûrement.Lys entra dans la première pièce où se trouvaient Marie-Hortelle, Nyvie et autres pour controler les menottes comme l'avait demandé Lion toujours avec ses écouteurs ...
— Je dois vite partir alors ne me faites pas chier, dit Lys mais lorsqu'il remarqua la silhouette de Marie-Hortelle, une grande vague de plaisir traversa son corps, il oublia le controle des menottes ; en se rapprochant de Marie-Hortelle, Nyvie lui poussa avec son pied puis leva son indexe ...
— Merde c'est quoi ça ! Dit Lys, lorsqu'il se tourna, il vit une élève avec l'indexe en l'air; ... Alors comme ça tu veux aller te soulager; allons alors; je reviens ma douce ...Arrivé dans la toilette, Lys baissa la culotte de cette dernière, lui poussa contre le mur en se rapprochant de plus près, de plus en plus de son cou pour sentir son odeur, ça sentait le pervers à plein nez; Nyvie pouvait sentir une bosse au niveau du vêtement de Lys, « Nous ne sommes que deux ici, personne ne va savoir, tout ce qui se passera ici, va rester ici tu m'entends petite fille !» dit Lys tout en douceur en se frottant à Nyvie; on pouvait sentir la respiration de cette dernière accélérer.
— Ouh, tu es si chaude, doucement, laisse moi inspecter, disait Lys en souillant Nyvie ... A un moment, elle commença à bouger dans tous les sens, ce qui enerva Lys et comme avec Marie, il perdit son calme et prit une pince, lui brisa une orteille mais Nyvie ne bougeait pas, puis tomba subitement au sol, elle semblait s'étouffer. Prit de panique, Lys ôta le tissu qui couvrait sa bouche ...
— Merci beaucoup, j'allais mourir, dit Nyvie en prenant de grandes respirations tout en pleurant.
— De rien ma jolie, on ne peut pas laisser un si beau corps mourir, dit Lys en caressant Nyvie.
— Coeur-Coeur !
— Bien sur, cœur-coeu--- !? Comme coupé par le son, Lys se retira rapidement de Nyvie puis se rapprocha de nouveau et ôta le masque de Nyvie.
— Je savais que t'allais réagir à cela, j'ai su que c'était toi dès lors que je t'ai entendu chanter cette chanson et surtout maintenant avec l'odeur de ton parfum, la chanson de mon chanteur préféré comme tu le sais bien, nous l'avons tellement chanté ensemble que je ne peux pas oublier ta manière de chanter, avec ou sans masque !
— Ny, Ny--! Non, je ne vois pas de quoi vous parlez, je ne vous connais pas !
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Kuh-landa
Mystery / Thriller«Peu importe ton niveau de souffrAnce, il Existe queLqu'un d'autre sur terre, qui souffre plus que toi [...]. Un sourire extérIeur n'est pAs synonyme de joie intérieure» ... Extrait de l'ouvrage " L'Homme humain" de l'écrivain Tayo Tirinta Store. L'...