Heya!
The last one, enfin! (Ou pas, je proposerais sûrement des bonus... un jour. Si vous n'en avez pas vu d'ici l'année prochaine rappelez-moi de me bouger le popotin X) En tout cas cette partie deux s'achève ici, en espérant que cela vous plaise~)
Je tiens tout de même à remercier chaleureusement tous ceux qui ont suivi cette histoire, que ce soit depuis le début (et donc depuis... ouh là... Plus d'un an et demi :0) ou que ce soit ceux qui sont arrivés en chemin... Cette histoire ne serait rien sans vous, je vous aime tous, que vous votiez, lisiez juste en fantôme ou commentiez uwu (même si j'ai une préférence pour ceux qui s'expriment, ça me permet de savoir si ce que j'écris à le rendu souhaité ;3)
Bref, je ne suis pas comme une certaine @Tsuuki- à mentionner tous ceux qui m'ont suivi... Désolée, je préfère passer du temps à me relire et éviter les fautes ~ (Oui c'était gratuit, moi aussi je t'aime sis') Mais sachez que juste le fait que vous lisiez ces quelques mots me satisfait largement uwu
Bonne lecture, et à très bientôt! :3
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Après une bonne demi-heure de frayeur intense, bien mieux garantie que par n'importe quelle attraction à sensation existante, à être bringuebalés de-ci de-là, à manquer au moins cinq fois de se retourner, trois fois de se prendre une voiture en face et deux fois de tomber dans un fossé, sans compter le reste, l'aéroport arriva en vue.
Assez conscients qu'ils n'avaient pas le droit de faire cela, et ayant encore une dizaine de minutes devant eux, ils laissèrent le bus en plein milieu de la voie approximativement à mi-chemin entre l'arrêt de bus le plus proche et l'aéroport. Ainsi, les autorités ne devraient pas mettre trop de temps à mettre la main dessus...
Puis ils s'élancèrent comme un seul homme -plutôt une foule compacte d'énergumènes en tous genres- leurs valises roulant à toute allure derrière eux. Poe les devançait tous alors même qu'il avait des capacités physiques relativement médiocres, et pour cause : dans la nuit, la nouvelle était tombée. Son raton-laveur adoré était rentré au bercail, et il le reverrait dès que l'avion aurait atterri chez eux.
Ils arrivèrent sous les regards sévères des professeurs Kunikida et Christie, et un réel soulagement pu se lire sur les visages des professeurs Rimbaud et Melville, qui devaient vraiment s'être inquiétés pour eux et leur santé plutôt que pour le fait de rater l'avion.
Mais l'heure tournait, les autorités n'étaient pas encore arrivées pour faire des réclamations par rapport au bus, ce qui était une bonne chose, et il fallait embarquer. Il était temps de faire ses adieux à ces colocataires de deux semaines.
Atsushi avait tellement été pris dans la course folle pour arriver à l'heure qu'il venait tout juste de réaliser. Il sentit presque comme un coup de poing venir le cueillir à l'estomac à cette pensée. Il vit qu'il n'était pas le seul, car beaucoup autour de lui commençaient à arborer des visages tristes, certains ne pouvant déjà plus retenir leurs larmes.
« Tss, on ne va même pas avoir le temps de faire passer l'album photo, à cause de ces retardataires, s'exclama au loin le professeur Doppo.
-Mais si, mais si mon cher. On va juste le faire circuler plus vite que d'habitude. Il faut que jeunesse se fasse ! » répliqua immédiatement à côté de lui l'exubérant professeur Fitzgerald, incapable de se faire oublier bien longtemps.
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Le voyage infernal
Hayran KurguTous les trois ans, le lycée public de Yokohama organise un échange culturel avec un lycée de San Diego, une ville jumelée. Et cet échange-ci est un peu particulier... Entre des soucis de compréhension, une famille d'accueil peu communicative et de...