Chapitre 15 : Comment oserais-je ??

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« Et voilà un an de plus dans cette vie de réincarné ! o()o »

Magnifique transition...

« As-tu vu ? J'en suis particulièrement fière ! ('ー`)»

Euh.....

« Douterais-tu de mes compétences ?? () »

Oh non, plus de tes attentes futures en fait.

« Tu me connais si bien Soliès ! ('')/ »

Après avoir squatté pendant quatre ans dans ma tête, évidemment... Maintenant, laisse-moi me concentrer, j'ai du travail.

« Argh ! Pas juste ! ( ̄ヘ ̄) »

Je secouai de nouveau ma tête, chassant mes pensées et l'auteur de mon esprit afin de mieux me reconcentrer sur mes plans.

En une seule année, beaucoup de choses s'étaient déroulées. Bien trop longues pour certaines, pour avoir la patience de tout vous résumer.

« Je m'en occupe ! »

Oh non.

« Résumons les amis, parce que l'autrice est une grosse flemmarde et qu'elle n'a pas envie de mettre des chapitres là-dessus parce que sinon ce serait trop long et trop ennuyeux »

Incroyable.

« Alors, Narel et Soliès sont devenus meilleurs amis, notre poulet a réussi à passer son permis »

Une sacrée épreuve, vu que la circulation n'est pas la même, comme les panneaux de signalisation d'ailleurs.

« Orias et Soliès sont toujours ensemble, Mariana s'est mariée il y a deux mois () »

Un très grand mariage en passant et oui j'y ai assisté, en effet, en tant que témoin de mariage en plus !

« Et tu mates toujours autant le patron ( ͡° ͜ʖ ͡°) »

OH ! Bah, ça va ! Tu ne te gênes pas non plus pour le faire !

« Je suis célibataire moi »

Mouais...

Bon, je dois te laisser, j'ai mon rendez-vous.

« Et mais ! »

Je m'étirai sur ma chaise, les autres étaient toujours en train de travailler et penchés sur ce qu'ils faisaient.

« Bon, désolé, je dois vous laisser !, m'exclamai-je.

- Tu vas où ??, me demanda Méaline en se retournant d'un coup.

- Un simple rendez-vous médical, répondis-je alors que je ramassais mes affaires.

- Fais gaffe à tes dents ! », ricana Narel en relevant la tête, me rappelant un mauvais souvenir chez un dentiste.

Je roulai des yeux.

« Va voir ailleurs si j'y suis Narel ! », lui lançai-je avec amusement.

Mes deux coéquipiers pouffèrent de rire comme des idiots. Orias m'envoya un simple sourire en soutien. Je le lui rendis puis je sortis de la pièce, descendant tout l'immeuble pour récupérer ma voiture.

Réincarnation d'une auteur schizophrène ✓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant