I'm too bad without you (H.Styles)

Chap 50

Salut, je poste rapidement, donc désolé pour les fautes. J'espère qu'l vous plaira... A ce que j'ai vu tout le monde à aimer la fete des pelles mdrrrr... tout le monde s'est défoulé! Bien, en tout cas Caleb a un très gros mal de tete le pauvre... Sinon dans ce chapitre ci il y aura aussi des rebondissements, je ne vous dit pas plus.

121K pour le tome 3, je suis aux anges! J'avais réellement peur qu'il ne soit pas terrible mdrr. J'avais vraiment peur de me louper mais apparament, il vous plais toujours. Je vous remercie pour cela. Je vous offre donc un chapitre particulier. ahaha! Bonne lecture!

PDV Beth

Dimanche 1ère semaine de Décembre.

 

-Mais il faut tout le temps remuer, grondais-je en me dirigeant vers la casserole emplis de la sauce rouge qui bouillonnait.

-Je ne l’ai laissé qu’une seconde me dit Harry en arrêtant de couper l’oignon. Je touillai dans la casserole, baissant le feu au minimum et il arriva dans mon dos, voyant les dégâts des projections sur le mur blanc. Il récupéra une éponge et passa sur la surface en rallant.

-Une seconde suffit ! lui répondis-je en posant le couvercle sur la casserole.

-Pourquoi ça saute autant cette fucking connerie ?

-La sauce est trop épaisse… l’air a besoin de sortir donc la vapeur se réuni en un endroit qui explose expliquais-je et il passa sa main sur ses yeux qui semblait lui bruler.

-Et ces fucking oignon aussi ! râla-t-il et je rigolai en enlevant ses mains de son visage, essuyant les larmes.

-Je croyais que tu voulais faire à manger pour une fois, pourquoi tu te plain ?

-Je ne savais pas que faire de la sauce allait etre aussi cas-couille, me dit-il face à moi et je déposai une baiser sur ses lèvres.

-Ne pleure pas pour si peu mon gros bébé, dis-je en faisant une moue et il me poussa gentiment.

-Tu sais que ce sont les oignons ! arête de te foutre de moi, je ne pleure jamais ! clama-t-il en reprenant la découpe des différents ingrédients.

-Tu ne pleures jamais ?! le taquinais-je et il roula des yeux.

-Ta gueule !

-Quand tu es parti 18 jours, a Holborn quand je suis venu te demander des explications, tu as pleuré ! dis-je en m’asseyant sur la paillasse après un petit bond.

-Tu pleurais aussi !

-Ok, alors… tu m’as dit avoir pleuré quand Byron… ok, ce n’est pas un bon exemple, dis-je en le voyant me jeter un regard noir… « a notre rupture ! »

-C’était ma première vrai rupture ! se défendit-il à nouveau et je le charriait à nouveau.

-Et tu étais si amoureux.

-Oh la ferme ! me dit-il en riant et il finit la découpe de son oignon qui ressemblait à un millions tranches irrégulière… « Je fais quoi avec ? »

-Dans la casserole, avec le persil et le thym… et l’ail écrasé !

-Comme ça, dit-il en pressant l’air entre son doigt.

-Non, avec la lame du couteau… tu ne me regarde jamais le faire ?

-Non, je te mate le cul…

-Eh bin c’est moi qui mate aujourd’hui, le taquinais-je en donnant un coup de pied à ses fesses pendant qu’il éclata de rire.

-Il faut tout ça pour de vulgaire lasagne ?