Chapitre 1

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Gwen c'était toujours demander ce qui se serait passé si ses parents n'avaient pas divorcé.

 Peut-être qu'ils vivraient encore tous sous le même toit ? Qu'ils prendraient leur petit-déjeuner ensemble, en se racontant leurs rêves étranges qu'ils auraient faits la nuit ? Peut-être que ça grande sœur, Alix, n'aurait pas autant changé de personnalité ? Elle qui était si gentille et attentionnée aux prés de sa petite sœur, ne serait peut-être pas devenue une peste de compétition ?

Elle n'en savait rien, et ne le saura jamais. Peut-être qu'ils auraient été heureux ou, ils auraient continué de se déchirer dans le silence, comme ils savaient si bien le faire avant que ses parents ne prennent la décision réfléchie d'en finir avec leur mariage.

  D'une main crispée, Gwen appuyait sur le bouton de la portière pour faire descendre la vitre du taxie. L'air frais s'engouffra dans la voiture comme s'il voulait se réchauffer et comblait l'espace vide, présent dans le véhicule. L'air froid, du mois de novembre, fit un bien fou à Gwen. Il la sortie de ces penser morose et lui permit de se concentrer sur les quelque dernières minutes qui lui rester de liberté à vivre.

 Quand l'air froid toucha la joue creuser de sa sœur, son visage se déforma en une grimace. Ne voulant pas provoquer de dispute avant leur arriver, Gwen appuya sur le bouton pour, cette fois-ci, fermer la vitre du taxi. Sa sœur avait toujours été « plus » qu'elle. Plus frileuse, plus jolie, plus grande, plus intelligente, plus sociable, plus gâtée par les parents, plus douer avec les garçons... 

Elle était la fierté de leur père et le diamant de leur mère.

 Même son prénom était « plus » que Gwen. Leur cher parent l'avait appelé Alix, ce qui signifiait noble, alors qu'elle avait grandi dans un tout petit appartement et manger des pâtes chaque jour de la semaine, pendant pratiquement toute ça vie. Les seules fois où elle avait pu aspirer à la noblesse c'était quand elle sortait avec un certain Don. Un gosse de riches en toutes lettres. Le clichait dans toute ça splendeur.  

Pour Gwen, il n'avait pas réfléchi longtemps. Il n'avait pas voulu savoir le sexe de l'enfant. Une perte de temps d'après eux et avait choisi un prénom mixte. Un prénom qui irait aussi bien a une fille, qu'a un garçon. Le seul prénom qui avait été dit comme une simple idée avait été retenu et ce fut Gwen. Un prénom qui passe partout, a l'image de leur fille. Discrète, associable, petite et toute en forme. 

Après une première année en tant que femme fraîchement divorcer, leur mère avait retrouvé l'amour et n'avait pas attendu une seule seconde pour acceptait la demande en mariage de celui-ci. Elle qui avait vécu toute sa vie dans un petit appartement en plein cœur d'un quartier de réputation dangereuse en pleins milieux de la grande ville, avait tout changé du jour au lendemain pour épouser un châtelain de classe mondiale.

 Certains hommes aimaient collectionner des montres, des voitures, des femmes, des bouteilles de vin... Le nouvelles homme de leur mère aimaient collectionner des châteaux. Il en possédait un, ou plusieurs, dans chaque paye du monde.

 Alix en était ravie, elle qui rêver depuis ça plus tendre enfance de vivre une vie de princesse dans de grands châteaux. Elle allait enfin pouvoir vivre la vie qu'elle voulait.

  Depuis que leur mère leur avait annoncé leur mariage, Gwen ne pouvait s'empêcher de se poser des questions. Mais pour son plus grand malheur ou son plus grand bonheur Alix lui parla, lui épargnant de retomber dans ces penser.

- Maman m'a dit que Messieurs Harold avait un fils de mon âge et qu'il était un vrai homme. Le genre d'homme que l'on rêve d'épouser, commença Alix des étoiles dans les yeux. Messieurs Harold lui a même demandé de s'occuper de nous avant qu'ils ne rentrent de leur voyage en Chine.

- Attends, tu veux dire que maman ne sera pas là, en compagnie de Messieurs Harold pour nous accueillir ? Demanda Gwen dont la voix trahisse son angoisse et sa déception.

  La seule raison pour laquelle Gwen avait acceptait de venir un mois avant le mariage, dans une des demeures d'Harold, c'était parques leur mère lui avait dit qu'elle les y attendrait. Depuis le divorce elle ne c'était vu qu'une seule fois : le jour de l'anniversaire d'Alix. Visiblement, elle n'avait pas tenu le même discourt devant sa sœur.  

- Ne soit pas débile Gwen ! Tu ne comprends pas que maman en a mare de s'occuper de toi. Il est grand temps que tu deviennes indépendante et que tu réfléchisses par toi-même. Sort un peu la tête de tes livre et retires un peux plus tes écouteur avec ta musique de mauvais goût et vas parler avec des vrais êtres humains ! Dit Alix ennuyait de devoir parler avec sa sœur.

Gwen voulut lui répondre méchamment mais se ravisa. Si elle devait vivre pendant plusieurs semaines, en attendant le retour de leur mère, dans un château complètement inconnue, en compagnie d'un homme qu'elle ne connaissait pas, elle ne voulait pas arriver en terrain ennemi complètement seul. Même si elle ne s'entendait pas bien avec sa sœur, elle gardait espoir que celle-ci la protégerait de tous les dangers que le monde pouvait provoquer.

 Alix se tourna vers sa sœur, un sourire moquer sur le visage. Son sourire lui déformer son magnifique visage de poupée. Sont rouges à lèvres avait légèrement bavé au coin de ses lèvres. Elle ressemblait à un clown. Gwen se détourna de sa sœur tout en étouffant un rire entre les pages du livre qu'elle tenait entre ses mains.

 Le fait d'apprendre que ni sa mère, ni Harold – qu'elle c'était préparé mentalement a rencontré – ne serait  présent lors de leur arriver, mais un parfait inconnu lui donna des sueurs froides.

Il ne lui restait plus que quelques minutes pour se préparaient psychologiquement a rencontré un homme dont elle ne connaissait ni le prénom, ni l'âge, ni la mentalité. Elle du se faire violence pour réprimer une vague de panique qui manqua de la submerger quand le taxi ralenti pour passer entre les grandes portes en fer forger du portail.

 Le chauffeur de taxi lui adressa un regard moquer dans le rétroviseur. Il n'avait rien perdu de la conversation qu'elle venait d'avoir avec sa sœur, et l'éclat qui se dessina dans ses yeux montrait son amusement de la situation dans laquelle elles se trouvaient.

Dès que le taxi dépassa le grand portail en fer forger, la route c'était transformer en chemin de terre et de gravier. Inconsciemment, ou, par peur de mourir, Gwen s'agrippa avec force à l'habitacle de la voiture. 

 Alix, toute exciter à l'idée de rencontrer le fils d'Harold, attrapa le bras de sa sœur et manqua de lui briser le poignet et de l'étrangler avec la ceinture de sécurité par la même occasion.

 - Tu crois qu'il va nous accueillir comme dans les filmes ? Imagine qu'il ait toute une armé de domestique ? Je vais enfin pouvoir vivre une vie de Reine. Proclama Alix avec des étoiles dans yeux à la vue du château qui se dessiner devant elles.

Quand Alix réalisa qu'elle tenait le bras de sa sœur, son expression rêveuse se transforma en dégoût. 

- Maintenant il y a juste à espérait que tu fasses partie des domestiques, pour ne pas venir gâcher mon rêve. Tu en as la tête et tu en as l'habit. Dit Alix en rigolant bêtement.

Avant que Gwen ne puisse lui répondre vulgairement, le taxi coupa le moteur devant la grande porte d'entrait en bois du château. Deux hommes se tenait devant. Droit comme des I et habiller comme certains clicher que l'on pouvait trouver que dans les films des années 70s ou dans de mauvais livres a l'eau de rose.

   Il portait tous les deux un costumes noirs, comme s'il sortait tout juste d'un enterrement. L'un afficher un sourire charmeur et l'autre un visage de pierre. Mais tous les deux avaient cette même lueur sombre dans leur regard. 

 Avant même d'avoir posé un pied à l'extérieur du taxi, Gwen regretta de n'être pas resté avec son père, en sécurité a l'autre bout du pays.


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Merci d'avoir pris le temps de lire ! 

Désoler pour les fautes d'orthographe... 

Innocente MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant