Je te promets qu'on se retrouvera.

Chapitre 13 : La pression qui s'accumule au fil des jours.

Martin : Y'a pas que ça je le sais.
Aurore : Ce procès me stresse, j'avais juste besoin d'être dans tes bras parce que y'a que près de toi que je me sens bien et en sécurité.
Martin : Je suis là je te lâcherai pas.
Aurore(en se blotissant dans ses bras) : Je t'aime, je te le montre pas assez je le sais mais si je suis encore là aujourd'hui c'est grâce à toi.
Martin : Je l'ai fais par amour.
Aurore : T'as été bien plus que ça et tu le sais, tu m'as porté à bout de bras quand ça allait pas, tu es resté alors que j'étais désagréable, tu m'as avoué tes sentiments alors que je t'ai repoussé, tu me soutiens chaque jour, chaque minute depuis un an et je voulais te dire merci.
Martin(ému) : Ne me remercie pas, je t'aime c'est normal d'être là quand l'autre va mal, et avant qu'on soit en couple t'était ma meilleure amie donc c'était normal.
Aurore : Prends moi dans tes bras !
Martin : Faut pas me le dire plusieurs fois.
Ils se prennent dans les bras, des larmes commencent à couler elle les essuie avant que Martin ne les voit, mais il les a vu.
Martin : Mon cœur ? Aurore ?
Aurore : Oui ?
Martin : Pourquoi tu pleures ?
Aurore : Ca va ne t'inquiète pas.
Martin : Non ça va pas, dis moi.
Aurore : J'ai peur Martin.
Martin : Peur de quoi ?
Aurore : De ce procès qui a bientôt lieu mais surtout j'ai peur qu'il s'en sorte.
Martin : C'est normal ce que tu ressens mon cœur mais faut pas te mettre la pression.
Aurore : T'es marrant toi, et j'ai peur de te perdre aussi.
Martin : Pourquoi tu me perdrais ?
Aurore : Parce que je suis obsédé par ce procès, par cette envie qu'il paie et on passe plus de temps ensemble à part au travail et j'ai peur qu'à la longue ça te pèse et que tu partes.
Martin : C'est vrai qu'on passe pas beaucoup de temps ensemble mais je comprends, et non je partirai pas, je sais que t'as besoin de ce procès pour aller mieux et je serai avec toi du début jusqu'à la fin.
Aurore : Merci j'ai vraiment de la chance de t'avoir.
Martin : Moi aussi j'ai de la chance de t'avoir.
Ils s'embrassent sous les yeux bienveillants de Karim.