Azélia avait passée sa journée dans la pièce de travail de Paolo accompagné de son père et bien sûr Tino qui lui aussi s'y connaissait pas mal en photographie. Elle avait la chance de pouvoir réaliser ce projet avec un aussi grand photographe, cela allait pouvoir l'aider pour ses futures années d'études.
Assise au bureau la brune se releva et s'en alla vers l'intérieur de la grande maison. Elle chercha les toilettes durant un long moment au rez-de-chaussée mais ne trouva rien, ayant besoin d'y aller au plus vite elle couru à l'étage et attrapa la poignée de la première porte qui se trouvait en face d'elle. Azélia s'était préparé à tomber sur tout et n'importe quoi, mais ce fut avec surprise qu'elle aperçu la fille du photographe et Damiano à moitié nue sur ce qui semblait être le lit de la jeune femme. La française, surprise, croisa le regard de Damiano, quelques secondes et baissa la tête, s'excusant de les avoir interrompus ne s'attardant pas plus longtemps devant le palier de la porte.
Azélia s'en alla jusqu'au fond du couloir où elle aperçu la baignoire dans l'encadrement de la porte.
— Azélia attend !
La jeune femme soupira et leva les yeux au ciel claquant simplement la porte de salle de bain qu'elle ferma à clés. Bientôt, de petits coups contre la porte se firent entendre et la voix de Daminao retentit enfin à travers la porte.
— Azélia, ouvre la porte s'il te plaît. Dit-il.
— Je peux pisser en paix ou c'est trop demandé ? Répondit la jeune femme qui commençait à être sérieusement agacée.
— Je veux te parler. Repris Damiano.
Azélia se rhabilla et tira la chasse d'eau se dirigeant ainsi vers l'évier pour se laver les mains, ne voulant pas croiser Daminao, la brune regarda autour d'elle et remarqua la petite fenêtre, elle était assez large pour qu'elle puisse y passer. Sans hésitation et le cœur battant à 100 à l'heure elle se glissa dehors à travers la fenêtre et se laissa tomber. Un seule étage ne pouvait pas la tuer ou lui briser les jambes mais ses genoux s'egratinerent. Sans attendre plus longtemps, Azélia courue jusqu'à l'atelier de Paolo qui se trouvait dans le fond du jardin. A bout de souffle, Azélia s'excusa et récupéra son sac.
— J'ai oublié je dois aller rejoindre des amis pour un truc. Dit-elle. Notre projet n'est pas terminé, excusez-moi monsieur Paolo, je reviendrai demain à la même heure.
Les trois hommes se mirent à rire et Azélia s'en alla d'un pas rapidement. Arrivé devant le portail, elle entendit de nouveau la voix de Damiano l'appeler au loin. Azélia l'ignora et se mit de nouveau à couvrir, suivis de près par Damiano. Par chance, le bus qui passait par là direction le centre ville s'appraitait à partir et Azélia réussi à monter à l'intérieur laissant ainsi Daminao à moitié nu sur le bord de la route.
— Putain... dit-elle en récupérant son téléphone à bout de souffle, téléphonant à Victoria point la prévenir de son arrivée, et sans grande surprise Victoria accepta et lui répondit simplement de venir à l'appartement et que Ethan était lui aussi là.
[ ... ]
— Salut lia ! La voix de Victoria retentit et bientôt la brune se retrouva dans ses bras. Azélia répondit à son étreinte et remarque Ethan étalé sur le canapé, elle fit un simple signe de la main et Ethan lui répondit un sourie aux lèvres.
Victoria et Azélia se dirigèrent toutes deux sur le canapé et la brune s'assît sur le canapé juste à côté d'Ethan qui n'hésita pas et s'allongea de nouveau posant sa tête sur les jambes d'Azélia.
— Thomas n'est pas là ? Demanda Azélia alors que sa main passait dans les longs cheveux d'Ethan.
— Il à un rencard. Répondit Victoria qui revint de la cuisine trois bouteilles de bières en main.
— Elle est canon en plus. Repris Ethan qui se mit à rire récupérant ensuite la bouteille de bière fraîche entre ses mains.
— Il à de la chance quand même, ils vont aller à une super fête ensemble et nous on passe notre soirée ici. Déclara Victoria qui fit de même.
— Hey, si on ne peut pas aller à la fête, pourquoi on ferait pas la fête ici ensemble ? Rétorqua Azélia.
Victoria et Ethan se regardèrent un instant et se levèrent en même temps. La blonde s'en alla dans la cuisine pour amené des alcools plus forts et Ethan brancha son téléphone laissant ainsi la musique résonner dans la pièce. Azélia se releva et décida d'éteindre la lumière laissant simplement celle de la cuisine légèrement les illuminer.
Au bout de quelques minutes, et quelques shot de tequila, les trois jeunes gens dansaient les uns contre les autres au rythme de la musique qui résonnait fort dans la pièce. Azélia avait la tête lourde, tout autour d'elle bougeait à cent à l'heure et elle avait l'impression que son corps et ses mouvement étaient lent. Devant d'elle se trouvait Victoria, qui un sourire aux lèvres passa ses bras autour de la taille de la française, dansant contre elle. Derrière Azélia, se trouvait Ethan qui lui aussi déposa ses mains sur les hanches de la brune qui suivit simplement ses pas.
La vision trouble, Azélia eu l'impression, durant quelques instants d'apercevoir Damiano devant elle, il était là, son corps bougeait près du sien et son odeur lui chatouillait les narines.
— Embrasse-moi Lia..
La voix de Damiano retentit dans les oreilles de la jeune femme alors que ses mains se posèrent sur le visage du jeune homme et bientôt leurs lèvres se rencontrèrent. Le baiser était à la fois diffèrent mais similaire, et Azélia sentait son coeur battre vite dans le fond de sa poitrine. Son attention dériva bientôt sur les baisers qu'elle put sentir dans le creux de son cou, sa tête se tourna légèrement et de nouveau elle eu l'impression de voir Damiano alors que ses lèvres se reposèrent sur celle du jeune homme qui cette fois était devant elle. C'était mal, il avait été ignoble avec elle, mais cette sensation était tellement agréable.
— Je te déteste... murmura simplement la jeune femme entre deux baisers.
Bonjour ! Oui je sais je sais... j'ai été absente très longtemps... me tuez pas... <3
Mais voilà la deuxième partie du chapitre 7 ! J'espère qu'il vous plaira et je vous dis à bientôt pour la suite.
Xx
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DOMANI - Damiano David ( Måneskin )
Romance« J'aimerais que cet été ne se termine jamais »