Chapitre 18. Aaron

437 32 0
                                    


Je finis de prendre ma douche et part rejoindre ma petite maladroite préférée dans le lit.

A peine je me suis installée qu'elle vient se coller à moi, entourant ma taille d'une main et collant sa joue sur mon torse nu.

J'enroule alors automatiquement un bras autour de ses épaules et l'autre sur sa taille.

Je m'endors alors rapidement à l'odeur de son parfum et à la vue magnifique que j'ai quand elle est dans un de mes T-shirts.

*

Un énorme fracas de casseroles qui tombent nous réveille en sursaut et je viens frapper ma tête sur la tête de lit.

Moi : Aïe !

Emma : Chut !

Emma aussi c'est réveillée au bruit et à claqué ses mains sur ma bouche quand je me suis plains.

J'attrape doucement ses poignets et chuchote :

Moi : Je me suis fais mal, soi un peu plus clémente avec moi.

Emma : Chut !

Elle a de nouveau claqué ses mais sur ma bouche et semble écouter à la recherche d'un signe.

Un nouveau fracas se fait entendre et elle se crispe automatiquement.

Je me lève alors pour aller voir mais Emma m'arrête.

Emma : Tiens, prend ça avant de partir.

Elle me tend ma lampe de chevet et je la regarde amusée.

Emma : Je n'ai pas trouvée d'autres armes, alors prend la.

Je prends la lampe et m'avance vers la cuisine, Emma se cachant dans mon dos.

Nous marchons doucement sans faire de bruits.

Un nouveau fracas se fait entendre et Emma vient attraper mon T-shirt dans ses mains.

J'allume la lumière de la cuisine avec appréhension et la, nous voyons...

Une souris.

Je baisse aussitôt ma garde et détend mes épaules.

Emma semble aussi soulagée.

Je prends alors la souris, j'ouvre la porte de mon appartement, descend les escaliers et la met devant l'immeuble.

Je remonte et Emma m'attend, toujours aussi magnifique dans mon T-shirt.

Emma : Pourquoi tu es descendu ?

Moi : C'était hors de question que je tue cette souris, alors je l'ai mit devant.

Elle me sourit et je la reprends comme tout à l'heure en la portant sous les cuisses, direction la chambre.

Moi : Ce n'est pas tout mais moi j'ai une nuit à finir.

Elle rigole dans mon cou ce qui me donne des frissons et nous allons finir notre nuit dans les bras l'un de l'autre.

........................................................

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
La bonne empreinteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant