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 ───── C H A P I T R E 27 ─────

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Une semaine comme une autre

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1 mois et demi après ༭


Provoquant des claquements insupportables sur le parquet de la classe, mon pied ne cessait de tressauter sur place. Tandis que ma main était prise de tics nerveux, je ne pouvais pas m'empêcher de vérifier, pour la énième fois,l'heure qu'indique l'horloge perchée au-dessus du tableau.

Rapidement, mon professeur de mathématiques se munit de sa craie blanche et écrivit les derniers mots de sa définition sur la grande surface verte. Mon crayon dansa aussitôt sur mon cahier pour former de belles lettres bien soignées.

Quand le professeur posa sa craie, un bruit strident résonna dans tous les couloirs du collège.

- Sur ce, je vous souhaite un bon week-end, les enfants ! annonce le professeur.

Des remerciements fusèrent pendant que des crissements de chaises frottèrent contre le parquet de la salle de classe. Je décidai d'en faire autant et je me précipitai de ranger grossièrement mes affaires dans mon sac de cours.

Une fois mon sac sur les épaules, je me pressai de rejoindre la porte de la classe. Avant de franchir le seuil, je saluais une dernière fois Baji et Chifuyu, qui n'avaient pas réussi à égaler ma vitesse, puis fonçai jusqu'à mon casier.

A toute vitesse, je troquai mes chaussons avec mes chaussures de villes puis passai enfin la grille du collège. Je pris le premier bus qui passa devant mon établissement puis, une fois sortie, j'entrepris une dernière marche rapide avant d'arriver devant ma destination finale.

L'architecture d'un nouveau collège se leva devant moi progressivement tandis que j'avançais dans le sens inverse de la marée d'élèves qui sortaient des cours. Lorsque j'arrivais dans les grands couloirs de l'institut, je fus dévisagée par les nombreux regards que je croisais sur mon chemin. Ma peau matte et mon uniforme, qui appartenait à autre collège, provoquèrent de nombreux questionnements.

Soudain, la silhouette masculine qui m'était familière se révéla au fond du couloir vide. Elle se dirigeait dans ma direction. A mesure que le garçon se rapprochait de moi, je compris qu'il s'agissait de Ryohei Hayash, plus communément surnommé Peyan, capitaine de la troisième division.

- Amaya ? lance-t-il une fois à ma hauteur. T'es encore là pour Taka ?

- Oui, comme d'hab ! je déclare gaiement.

- C'est dingue, vous êtes constamment collés à l'un et l'autre.

Sa remarque me fit aussitôt rougir. Pour chasser mes rougeurs, Je me raclai la gorge puis le dépassai avant de me retourner vers lui.

𝐋𝐈𝐁𝐄́𝐑𝐄́𝐄 𝐃𝐄 𝐌𝐄𝐒 𝐓𝐄́𝐍𝐄̀𝐁𝐑𝐄𝐒 ¹ #Takashi M.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant