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───── C H A P I T R E 12─────
Sortie plage
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༭ 4 jours après ༭
Quatre jours se sont écoulés depuis la soirée du rassemblement, du 23 juillet. J'en ai donc profité pour me réadapter au rythme de la vie de Tokyo en compagnie d'Emma, Manjiro, Draken, et d'Hina.
Hina avec qui je m'entendais dorénavant très bien, me présenta son petit ami, Takemichi Hanagaki, que j'avais déjà brièvement croisé à l'assemblée. J'avais d'ailleurs été touché par la gentillesse et la naïveté que dégageait ce garçon. Mais une pointe de maturité étonnante résidait également chez lui, comme s'il avait vécu des choses que nous ne pouvions pas comprendre.
Une question sur laquelle je ne m'étais pas plus étalée, voulant désormais profiter de mon Été pour retrouver mes bonnes vieilles habitudes et rattraper le temps perdu que j'avais passé loin de mes meilleurs amis.
En dépit du peu de temps qui s'est écoulé depuis mon arrivée ici, de multiples événements assez déroutants se sont déroulés entre temps.
Le gang ennemi actuel du Toman, le Moebius, s'est permis de faire une petite visite surprise à mes deux meilleurs amis, ainsi qu'à Takemichi et au capitaine de la 3ème division avec son vice-capitaine. Un combat a donc eu lieu dans l'entrepôt abandonné dans lequel ils se trouvaient, mais la situation vira très vite au vinaigre. Le capitaine de la 3ème division, ce fameux Pachin que j'avais renommé « la chialeuse », a été pris d'un pulsion inattendu en allant poignardé leur connard de chef. Par la suite, Pachin a décidé d'assumer son acte en se rendant auprès de la police et a été immédiatement emmené en maison de correction.
Voilà seulement 1 semaine que je suis de retour au Japon et une série d'événements complètement fous s'empilaient les un après les autres. Si on m'avait dit que la vie au Japon était aussi mouvementée, je serais bien parti dans un autre pays...
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Me prélassant dans mon lit moelleux, je vivais ma meilleure grasse mat après le décalage horaire de malade que j'avais encaissé ces 6 derniers jours.
Je me retourne dans mon lit mais quelque chose vient me chatouiller le bout du nez.
Sans ouvrir les yeux, je fronce le nez, démangée par cette gêne soudaine. Mais même après m'être grattée, la sensation désagréable persista.
