Sweethearts (Mikey x reader)

Sun & Moon

Coucou tout le mondeeee ! J'espère que vous allez tous bien, moi ça va ! Je vous laisse avec la suite. Bonne lecture !

PDV T/P

J'ouvrais la porte de chez moi et vis Mikey, assis à la même place, le regard vide. Alors je me dirigeais vers lui, une fois à sa hauteur, je m'asseyais devant lui :

T/p : Vide ton sac.

Il ne répondit rien. Je m'apprêtais à lui hurler dessus, lorsque j'aperçus des larmes couler sur ses joues.

Je soupirais, et le pris dans mes bras.

On restait comme ça une vingtaine de minutes, avant qu'il ne commence à parler. Lorsqu'il eut terminé, je le pris encore une fois dans mes bras.

NDA : Elle y a prit goût.

T/p : Un macdo, ça te ferait du bien ? Dis-je en souriant.

Il se mit à rire, avant de dire :

Mikey : C'est mieux que des mouchoirs !

Et me mis à rire à mon tour.

Après avoir mangé, on se posait devant un film.

T/p : Tu me déposes ?

Il s'arrêtait.

Mikey : Flemme. En plus, je suis trop fatigué.

J'acquiesçais.

PDV MIKEY

Je n'ai surtout aucune envie d'être seul.

Cela faisait déjà une heure qu'elle lisait à côté de moi.

Mikey : Eh Sun, viens dormir.
T/p : Sun ?

Il me sourit. Alors je répliquais :

T/p : Si je suis Sun, toi t'es forcément Moon.

Il lâchait un rictus.

Mikey : C'est assez logique, c'est vrai.

Elle me sourit en retour, puis se remit à lire.

Non mais elle m'a écouté au moins, pensais-je.

Alors je prenais son livre, le refermais, puis le posais à côté de moi.

T/p : MAIS JE N'AI PAS MIS MON MARQUE PAGE !
Mikey : 299.
T/p : Hein ?
Mikey : Page 299.
T/p : Co-

Je lui attrapais le bras pour la tirer vers moi.

Elle était désormais allongée sur mon bras droit. Pris d'une énorme vague d'émotion, je pris la parole :

Mikey : J'ai perdu beaucoup de gens auxquels je tenais. Aujourd'hui, j'en ai encore perdu un. Je ne pourrais plus supporter de perdre encore quelqu'un. Tu vois ?

Elle hocha la tête, me faisant signe de continuer.

Mikey : Donc quand je dis que tu pues le soleil, ce n'est pas parce que tu pues de la gueule, même si un peu. C'est parce que tu es comme un Soleil. Alors oui, tu pues le soleil de ouf, dis-je en tournant ma tête pour la regarder dans les yeux.