Chapitre TROIS

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Il n'y avait pas de voitures de Police, et il ne pleuvait plus, quand le jeune garçon arriva sur les lieux de son non-vol. Il s'approcha de la voiture. Il savait qu'il y avait une personne dans la voiture. Il ne sait pas comment, mais il sait qu'elle est là.

Il trouva une solution pour ne pas faire peur à la fille. Il prit son portable, il mit la lampe torche en marche et il toqua à la vitre de la voiture et rentrit dedans en sautant sur la banquette arrière. Il masqua la bouche surprise de la personne et l'aveugla avec la lumière de son téléphone.

- Tu dis rien à personne. On te veut pas de mal. T'as appelé la Police ?

Le jeune enleva un peu sa main pour faire passer la réponse de la fille, mais tout ce qu'il réussit à avoir, ce sont des pleurs incontrôlables et surtout, ça ne venait pas d'une fille.

Le jeune garçon visa le visage entier avec son portable et vit le visage d'un garçon désastreux, d'au moins la vingtaine d'années comme lui. Il comprit rapidement qu'il avait très mal vu la personne, à cause des cheveux et des bruits de pleurs.

Dans sa tête, c'était la folie. Il ne voulait pas mettre au courant Bernie de sa bêtise de confusion et surtout qu'il avait menti à propos de la fille. Il soupira.

- C'est bon, remets-toi, je t'ai pas frappé. Alors t'as appelé la Police, oui ou non ?

Le deuxième garçon secoua la tête, puis poussa le garçon au-dessus de lui pour aller fouiller dans son sac. Il sortit une ventoline et prit deux bouffées du médicament.

Le voleur se sentait coupable. Il sortit de derrière et rentre par l'avant. Il s'assoit sur le siège et avec la manche de sa veste, il essuya les endroits qu'il avait touché sur le volant. Une main tremblante vient près de son bras et tendit un linge jaune.

- L-La b-boîte à g-gants.

Le voleur prit le linge et essuya les endroits où il avait touché, puis le milieu et il rentra les fils à l'intérieur du boîtier. Dans sa tête, il avait envie de dire "merci" au garçon, mais il était énervé contre lui, alors il se taisait et il sortit de la voiture en faisant la même chose pour les poignées de devant et derrière.

- Rappelle-toi, tu dis rien. Sors de la ville, reviens jamais à Londres.

Une fois la portière fermée, il partit en éteignant la lampe torche de son portable, mais il avait le linge jaune dans sa main. Il fit quelques pas en arrière pour lui donner son linge, mais il soupira et laissa tomber.

Le voleur partit dans la rue pour rentrer revoir son matelas. Il habitait loin, alors il prit un bus de nuit. Il se paya la place et il rentrit chez lui. Allongé dans son lit, il soupira de ses récentes aventures. Voleur n'était pas son but premier, mais il ne pouvait faire autrement. Il avait besoin d'argent.

En espérant que vous avez aimé ce troisième chapitre. Bisous. 😘❤️

Rencontres Fortuites [Larry Stylinson]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant