Chapitre QUARANTE-ET-UN

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Harry se réveille très en retard aujourd'hui. Ils ont passés la nuit à s'aimer avec Louis, par des mots, des rires, des baisers, en parlant de leur futur, mangeant des bâtonnets de surimi sur leur lit, et ils se sont endormi seulement à 5h30 en finissant de rêver de leur grande maison à trois étages avec des escaliers qui reflètent avec les lustres en diamant et leurs sept chiens dit chien saucisse. Ils ont dormit presque trois heures, jusqu'à maintenant.

Harry est fatigué de toutes ses émotions de la veille et de l'évènement le plus important de la soirée la demande en mariage de Louis, en chanson, qu'il a décrit comme la plus belle des demandes romantiques, puisqu'elle a été demandé avec amour, sincérité, émotion et envie, mais il doit se lever pour aller suivre son avant-dernière journée de cours par internet chez Gemma à trente-cinq minutes de son lit. Tandis que Louis, qui préfère dormir dans les bras de son homme, ne répond pas aux appels d'Harry sous lui.

- Je dois aller à la douche, mon amour.

Murmure Harry.

Louis ne bouge pas. Il dort sur Harry et bande même contre son ventre. Harry protège Louis du froid en l'entourant de ses bras sous la couverture. Harry regarde le plafond mal peint. Harry sort sa main de sous la couverture pour attraper son portable dans le petit épongier.

- Prends ton portable, je te mords jusqu'au sang.

- Mais je dois aller chez Gemma. Je pue.

- Non, tu sens bon. Huuum. Bon. Tu sens très bon.

Harry rit.

- Je suis sûr d'avoir du surimi écrasé dans le dos. Ça colle.

- Non, c'est du sperme.

- Sur mon dos ? À quel moment tu as mis du sperme sur mon dos ?

- J'ai écris Harry Tomlinson avec mon sperme après t'avoir prit sur la porte du frigo quand tu as rangé la barquette de surimi.

- Je pensais que tu embrassais mon dos. J'étais encore dans mon moment à moi. Je veux me remémorer chaque rapport avec toi et à chaque fois que je pense à un rapport, je trouve qu'ils sont tous aussi meilleur, les uns que les autres.

- Comment tu fais ?

- Je pense à un rapport qu'on a eu et je décortique tous ce que j'ai ressenti et ce que tu me dis.

- J'adore ça. Tu m'apprendras ?

- Il suffit que tu penses à un rapport que tu le décortiques. Quand tu caresses mes cuisses quand tu sors et que tu reviens t'enfoncer voulant atteindre le fond de mon corps. Quand tu lèches ma peau après que je gémis un oui ou ton prénom ou même autre chose.

- Je lèche ta peau parce que j'en ai envie. Tu n'aimes pas ?

- J'adore. J'adore tout.

- T'es l'homme parfait. Je t'aime.

- Excepté les fessées.

- Quoi ?

- Oui, j'ai aimé les petites quand tu m'encourages à aller plus vite ou quand tu t'amuses à tapoter tes paumes de mains sur mes fesses, mais... les claques avant que tu me baises m'ont un peu...

- Pourquoi tu l'as pas dis tout de suite !? Pourquoi t'as rien dis !?

Louis se lève de suite de sur Harry et débande d'un coup. Le dos contre le mur, il regarde le sol, l'espace vide de l'appartement, la fenêtre fermée et les volets blancs qui empêchent la lumière du jour d'entrée dans ce qui est la chambre.

Rencontres Fortuites [Larry Stylinson]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant