Rencontres Fortuites [Larry Stylinson]

Chapitre TRENTE-NEUF

Depuis trois jours, dans la vie de nos amoureux, tout allait très bien pour eux, sauf quand ils sortaient de leur appartement.

Louis avait donné son accord à Niall pour enlever Will de la vie d'Harry. Donc Harry avait reçu un appel de Will lui disant que c'était terminé et qu'il lui laissait l'appartement, puisqu'il était payé.

Mais Zayn ne l'entendait pas de la bonne oreille. Il voulait qu'Harry vienne dormir à l'université. Gemma avait proposé à Harry de dormir chez elle et Harry avait accepté.

Il ne part pas dormir chez elle toutes les nuits. Il rentre à l'appartement de Will et dort dans les bras de son amoureux qui jubile du trouble qu'il a causé chez son patron.

Dès que Bernie est rentré du restaurant, il s'est prit une engueulade de Peter, sans que Carlos entende la conversation, il était déjà entrain de se préparer pour une folle nuit d'amour.

Bernie se sentait mal de faire du mal à son fils adoptif, mais ce n'était pas intentionnel. Quand Bernie a entendu de la bouche de Peter que même Louis n'était pas accepté aux côtés d'Harry, il s'est dit qu'il avait perdu son fils.

Il est monté chez lui et il a dit à son amoureux, qu'il n'avait pas la tête à faire l'amour toute la nuit. Alors que de leur côté, Louis et Harry en profitaient très bien.

Pour l'instant, sur les caméras, il n'y avait rien qui sortait du lot. Aucune visite dans la nuit ou en plein jour et les cours se passaient bien.

Greg pensait que le jeune mentait et qu'il était l'auteur des méfaits, mais le portrait robot de la jeune fille, voisine de Louis n'était pas celui du jeune mineur. Ils ne se ressemblaient pas à part leurs cheveux bruns. Puis il pensait qu'il n'était pas seul à habiter dans cette pièce cachée, mais aucune preuve existé pour vérifier cela.

Bernie avait placé le jeune dans un foyer d'accueil là où des jeunes sans famille et sans argent, vivaient. Il était reconnaissant de ne pas avoir de problème avec la police et filait droit à chaque fois qu'on lui disait de faire quelque chose.

Bernie avait un œil sur lui. Mais là, ce matin, il était très énervé. Il attendait que Peter revienne de sa planque pour lui parler. Dès que Louis était arrivé, il lui avait dit de venir dans son bureau avec lui.

Louis se demandait ce qui se passait, Bernie ne donnait pas de rendez-vous comme ça et c'était bizarre puisque pour l'instant, rien ne bougeait par rapport à l'université. Louis se demandait si c'était en rapport avec Harry et que Bernie essayait de monter une opération spéciale pour parler à son fils adoptif.

Peter venait d'arriver quand Louis jette sa cigarette dans une flaque d'eau, dehors.

- Bernie veut nous voir.

- Il attendra que j'aille pisser et chier et que je mange un vrai petit-déjeuner.

Peter était toujours en colère contre Bernie, mais Louis n'en avait que faire, aussi énervé que lui contre leur patron. Louis souhaitait que son compagnon soit respecté et il n'aimait pas qu'on lui fasse du mal.

Louis sort une autre cigarette en attendant que Peter fasse ce qu'il veut de son temps. Bernie repère la voiture de Peter de cette nuit et part à sa recherche.

De son côté, Harry arrive en voiture sur le parking de l'université et prend le bras de Gemma, dehors.

- Enlève ce sourire béat. Tu n'as pas de suçons ?

- Non, je t'ai déjà dis. Louis fait très attention.

- D'accord, d'accord, mais enlève ce sourire béat d'amoureux, là. T'es censé avoir été lourdé par un connard dont tu es amoureux.